Jean-Luc Dufrenne est revenu chez l'un de nos confrères de la presse professionnelle sur la présidence de Laurent Abitbol - DR
C’est lui faire beaucoup d’honneur que de citer Jean-Luc Dufrenne dans mes colonnes, mais il m’est impossible de passer outre.
Cet homme veut exister, comme chacun d’entre nous, c’est un fait.
Faut-il pour ça agir en criant haut et fort, que le passé, c’était beaucoup mieux, du temps où avec ses camarades issus aussi du passé, il pouvait « tout oser ».
Selectour a changé de président, de gouvernance, c’est vrai. Ce sont des élections démocratiques, peut-être un terme que ne connait pas trop bien Dufrenne, qui ont amené à la présidence de ce réseau Laurent Abitbol, auquel Dufrenne, qui n’est plus qu’un adhérent parmi les autres, s’en prend bêtement.
Comme il l’annonce lui-même dans sa rédaction chez l'un de nos confrères de la presse pro, "il ose tout".
Ben, Dufrenne ose lui aussi tout, ce qui me rappelle une célèbre réplique de mon regretté Michel Audiard et que je ne vous ferai pas l’injure de vous remémorer…
Cet homme veut exister, comme chacun d’entre nous, c’est un fait.
Faut-il pour ça agir en criant haut et fort, que le passé, c’était beaucoup mieux, du temps où avec ses camarades issus aussi du passé, il pouvait « tout oser ».
Selectour a changé de président, de gouvernance, c’est vrai. Ce sont des élections démocratiques, peut-être un terme que ne connait pas trop bien Dufrenne, qui ont amené à la présidence de ce réseau Laurent Abitbol, auquel Dufrenne, qui n’est plus qu’un adhérent parmi les autres, s’en prend bêtement.
Comme il l’annonce lui-même dans sa rédaction chez l'un de nos confrères de la presse pro, "il ose tout".
Ben, Dufrenne ose lui aussi tout, ce qui me rappelle une célèbre réplique de mon regretté Michel Audiard et que je ne vous ferai pas l’injure de vous remémorer…
Dominique Gobert et chien Charly - DR
Jean-Luc Dufrenne semble s’apercevoir, tout à coup, que le directeur général du réseau, Laurent Maucort et Laurent Abitbol, d’un commun accord, se sont séparés.
Parce que, selon les propos de Dufrenne, Bitbol est un « omni président», que les salariés, ne sont pas d’accord, mais comme la période est délicate, il vaut mieux s’accrocher à son boulot ou plus exactement, et je cite, « à l’amour de leur métier ».
Dufrenne oublie sans doute ses rapports pour le moins délicats avec les salariés de la maison.
Je passerai sur les mesquineries consistant à raconter, sans aucune raison probante, que les « administrateurs » (plusieurs d’entre eux) sont « pieds et mains » (on dit plutôt « pieds et poings ») liés par des intérêts avec El Presidente.
Pour mémoire, et il ne s’en cache pas, Bitbol se fait appeler El Duce, et c’est vrai qu’il veut diriger et donner un sens à ce réseau.
Il est vrai que le temps où Dufrenne sévissait, par la volonté (?) des électeurs, au conseil d’administration est bien révolu.
Le Président ose tout, « ose » écrire l’administrateur balayé par la voix des électeurs. Oui, parce que le secteur a changé.
Oui, il fallait trancher au sujet de la marque. Quant aux « avantages palpables », le client s’en fout comme de sa première chemise.
Parce que, selon les propos de Dufrenne, Bitbol est un « omni président», que les salariés, ne sont pas d’accord, mais comme la période est délicate, il vaut mieux s’accrocher à son boulot ou plus exactement, et je cite, « à l’amour de leur métier ».
Dufrenne oublie sans doute ses rapports pour le moins délicats avec les salariés de la maison.
Je passerai sur les mesquineries consistant à raconter, sans aucune raison probante, que les « administrateurs » (plusieurs d’entre eux) sont « pieds et mains » (on dit plutôt « pieds et poings ») liés par des intérêts avec El Presidente.
Pour mémoire, et il ne s’en cache pas, Bitbol se fait appeler El Duce, et c’est vrai qu’il veut diriger et donner un sens à ce réseau.
Il est vrai que le temps où Dufrenne sévissait, par la volonté (?) des électeurs, au conseil d’administration est bien révolu.
Le Président ose tout, « ose » écrire l’administrateur balayé par la voix des électeurs. Oui, parce que le secteur a changé.
Oui, il fallait trancher au sujet de la marque. Quant aux « avantages palpables », le client s’en fout comme de sa première chemise.
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La campagne de communication à venir ? Oh, qu’il est colère le Dufrenne…
C’est vrai que du temps où il venait, telle la diva, chanter sur scène (et j’ai les enregistrements) de sa voix profonde, le truc improbable de Mango (à quel prix ?), la croissance s’est montrée au rendez-vous ?
Je n’ai, hélas, pas ici la place de passer en détail les divagations dufrenoises (ou niennes, comme vous le sentez).
Juste un mot sur la renégociation des accords TO : Dufrenne a fait partie de ces personnes qui ont voulu faire plier leurs fournisseurs en imposant la rémunération sur la base du TTC. On a vu le résultat…
Et pour finir, le souhait de Dufrenne qui « préférerait que tout ceci se passe dans la confidentialité et la communication interne ».
C’est fini, mon vieux, les petits secrets échangés « entre initiés ». Bitbol veut faire de ce réseau une véritable entreprise de distribution et faire gagner du pognon à tout le monde.
Sans pour autant massacrer ses fournisseurs.
Y’a quelqu’un qui a écrit : « du passé, faisons table rase », non ?
C’est vrai que du temps où il venait, telle la diva, chanter sur scène (et j’ai les enregistrements) de sa voix profonde, le truc improbable de Mango (à quel prix ?), la croissance s’est montrée au rendez-vous ?
Je n’ai, hélas, pas ici la place de passer en détail les divagations dufrenoises (ou niennes, comme vous le sentez).
Juste un mot sur la renégociation des accords TO : Dufrenne a fait partie de ces personnes qui ont voulu faire plier leurs fournisseurs en imposant la rémunération sur la base du TTC. On a vu le résultat…
Et pour finir, le souhait de Dufrenne qui « préférerait que tout ceci se passe dans la confidentialité et la communication interne ».
C’est fini, mon vieux, les petits secrets échangés « entre initiés ». Bitbol veut faire de ce réseau une véritable entreprise de distribution et faire gagner du pognon à tout le monde.
Sans pour autant massacrer ses fournisseurs.
Y’a quelqu’un qui a écrit : « du passé, faisons table rase », non ?