Et c’est assez amusant de constater que la nouvelle guerre des "low-cost" est déclarée.
Vous auriez dit, il y a à peine quelques années à easyJet par exemple qu’il fallait être accessible sur les GDS, on vous aurait ri aux naseaux…
Idem pour Ryanair, laquelle jurait ne pas vouloir passer par les agences de voyages.
On a vu !
De même que la compagnie irlandaise dédaignait les aéroports principaux, préférant les aéroports style Beauvais pour desservir Paris, et n’a eu de cesse de tenter de tendre une aile vers Roissy...
Et cette même compagnie qui ne jurait que par le vol « point à point » vient de se décider à établir des liaisons « en correspondance » à Rome vers plusieurs destinations européennes.
Vous auriez dit, il y a à peine quelques années à easyJet par exemple qu’il fallait être accessible sur les GDS, on vous aurait ri aux naseaux…
Idem pour Ryanair, laquelle jurait ne pas vouloir passer par les agences de voyages.
On a vu !
De même que la compagnie irlandaise dédaignait les aéroports principaux, préférant les aéroports style Beauvais pour desservir Paris, et n’a eu de cesse de tenter de tendre une aile vers Roissy...
Et cette même compagnie qui ne jurait que par le vol « point à point » vient de se décider à établir des liaisons « en correspondance » à Rome vers plusieurs destinations européennes.
Vous me direz que, finalement, c’est faire preuve d’intelligence en changeant d’avis lorsque l’on s’aperçoit de certaines erreurs…
En même temps, c’était pas la peine de jouer, tel le O’Leary, de la provoc intensive et, accessoirement, un peu de pipeau.
Du coup, sans doute à la fois pour prendre une place décisive dans cette lutte assez sournoise que se mènent les compagnies "low cost" en Europe, peut-être aussi pour réagir à l’arrivée en force de Norwegian, Ryanair noue maintenant des « partenariats », guignant d’un œil assez malin, le low-cost long-courrier.
Et c’est loin d’être une baliverne que cet accord noué entre Air Europa et Ryanair, laquelle commercialise depuis hier les vols de la compagnie de Pepe Hidalgo vers le continent américain.
Pour l’instant, il n’est pas encore question de « vols en correspondance » avec Air Europa.
Il n’empêche que tous les vols sont vendus au départ de Madrid et que le « second volet » de cette opération sera lancé plus tard cette année…
A condition, bien sûr, que les deux partenaires arrivent à y trouver, chacun, leur bénéfice.
En même temps, c’était pas la peine de jouer, tel le O’Leary, de la provoc intensive et, accessoirement, un peu de pipeau.
Du coup, sans doute à la fois pour prendre une place décisive dans cette lutte assez sournoise que se mènent les compagnies "low cost" en Europe, peut-être aussi pour réagir à l’arrivée en force de Norwegian, Ryanair noue maintenant des « partenariats », guignant d’un œil assez malin, le low-cost long-courrier.
Et c’est loin d’être une baliverne que cet accord noué entre Air Europa et Ryanair, laquelle commercialise depuis hier les vols de la compagnie de Pepe Hidalgo vers le continent américain.
Pour l’instant, il n’est pas encore question de « vols en correspondance » avec Air Europa.
Il n’empêche que tous les vols sont vendus au départ de Madrid et que le « second volet » de cette opération sera lancé plus tard cette année…
A condition, bien sûr, que les deux partenaires arrivent à y trouver, chacun, leur bénéfice.
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Il est certain qu’entre les deux patrons de compagnie que sont O’Leary et Hidalgo (non, pas la mère, le pépé patron du groupe Globalia), tout va être étudié à la loupe.
L’un et l’autre sont de sacrés malins…
Mais rien n’indique, du moins pour le moment, que l’un aurait des velléités de… rouler l’autre ? Quoi que…
Néanmoins, pour Ryanair, c’est quand même un sacré changement, pour ne pas dire un total revirement, face à un marché aérien de plus en plus soumis aux turbulences.
En tout cas, et pour le moment, un net avantage à la compagnie irlandaise. Du moins sur le papier. Parce que toutes ces manœuvres ont aussi un coût qu’il faudra forcément absorber vite.
D’autre part, il semble probable que l’autre low-cost majeure européenne ne regardera pas ces mouvements sans réagir.
Et qu’il serait aussi de bon ton que certaines compagnies aériennes au pavillon bleu-blanc-rouge, se sortent un peu les doigts d’où vous savez, avant que, comme d’habitude, il ne soit trop tard.
Je dis ça, je dis rien... mais je le partage !
L’un et l’autre sont de sacrés malins…
Mais rien n’indique, du moins pour le moment, que l’un aurait des velléités de… rouler l’autre ? Quoi que…
Néanmoins, pour Ryanair, c’est quand même un sacré changement, pour ne pas dire un total revirement, face à un marché aérien de plus en plus soumis aux turbulences.
En tout cas, et pour le moment, un net avantage à la compagnie irlandaise. Du moins sur le papier. Parce que toutes ces manœuvres ont aussi un coût qu’il faudra forcément absorber vite.
D’autre part, il semble probable que l’autre low-cost majeure européenne ne regardera pas ces mouvements sans réagir.
Et qu’il serait aussi de bon ton que certaines compagnies aériennes au pavillon bleu-blanc-rouge, se sortent un peu les doigts d’où vous savez, avant que, comme d’habitude, il ne soit trop tard.
Je dis ça, je dis rien... mais je le partage !