Et pour l’intégration, il faut une direction belgo-hollando-teutonne, en oubliant totalement au passage la spécificité du marché français - crédit photo : TUI Group
Têtus et obstinés sont ces Germains, malgré les maigres (pour ne pas dire anorexiques) résultats générés par TUI France.
Et encore, on n’arrive pas à connaitre les vrais chiffres, mais ça n’est pas vraiment réjouissant.
Qu’importe pour Fred Joussen et son Etat Major, on « réorganise » une énième fois et cette fois, on va voir ce qu’on va voir.
Le Basque Bondissant, à qui il faut reconnaître une énorme capacité à avaler les serpents (je crois qu’on dit couleuvres) aura finalement préféré jeter l’éponge et se consacrer à Corsair (dont je vous donnerai des nouvelles dans très peu de temps).
Parce qu’il ne faut pas se leurrer : chez TUI France, c’est pas la joie, malgré la « réorganisation », totalement factice : il ne s’agit, ni plus ni moins pour le Groupe que d’intégrer une fois pour toutes et définitivement, la filiale française au sein de cette région « Ouest » du Groupe.
Et pour l’intégration, il faut une direction belgo-hollando-teutonne, en oubliant totalement au passage la spécificité du marché français.
Et encore, on n’arrive pas à connaitre les vrais chiffres, mais ça n’est pas vraiment réjouissant.
Qu’importe pour Fred Joussen et son Etat Major, on « réorganise » une énième fois et cette fois, on va voir ce qu’on va voir.
Le Basque Bondissant, à qui il faut reconnaître une énorme capacité à avaler les serpents (je crois qu’on dit couleuvres) aura finalement préféré jeter l’éponge et se consacrer à Corsair (dont je vous donnerai des nouvelles dans très peu de temps).
Parce qu’il ne faut pas se leurrer : chez TUI France, c’est pas la joie, malgré la « réorganisation », totalement factice : il ne s’agit, ni plus ni moins pour le Groupe que d’intégrer une fois pour toutes et définitivement, la filiale française au sein de cette région « Ouest » du Groupe.
Et pour l’intégration, il faut une direction belgo-hollando-teutonne, en oubliant totalement au passage la spécificité du marché français.
Oh, bien sûr, pour le « fun » on nomme un Directeur Général Adjoint « chargé de la représentation externe de TUI France », ce qui ne veux pas dire grand-chose, mais bon. Serge Laurens au moins, est sûrement très compétent, même s’il a tendance à le cacher, modeste, mais au moins il est français, ce qui devrait rassurer les salariés.
Salariés qui sont de plus en plus inquiets et ils ont bien raison. On se souvient que, récemment, les syndicats ont écrit à Joussen afin de lui demander une entrevue.
Entrevue que ce dernier a purement et simplement refusé !
Et pourtant… Cessons de nous voiler la face : rien ne va plus chez TUI France, malgré les paroles rassurantes tenus par Laurens la semaine dernière.
Oh, bien sûr, on sort des chiffres encourageants, les réservations sont en hausse et l’été sera beau… et chaud !
Certes. En attendant, les services informatiques pédalent dans la semoule avec une techno qui n'a jamais été au rendez-vous. Quant à la production, c’est clair : le groupe s’arque-boute sur ses clubs et point barre.
Le reste, ce qui faisait la spécificité de Nouvelles Frontières notamment ou de Transat et de ses circuits, bof, ça n’est pas vraiment dans la ligne du parti...
Salariés qui sont de plus en plus inquiets et ils ont bien raison. On se souvient que, récemment, les syndicats ont écrit à Joussen afin de lui demander une entrevue.
Entrevue que ce dernier a purement et simplement refusé !
Et pourtant… Cessons de nous voiler la face : rien ne va plus chez TUI France, malgré les paroles rassurantes tenus par Laurens la semaine dernière.
Oh, bien sûr, on sort des chiffres encourageants, les réservations sont en hausse et l’été sera beau… et chaud !
Certes. En attendant, les services informatiques pédalent dans la semoule avec une techno qui n'a jamais été au rendez-vous. Quant à la production, c’est clair : le groupe s’arque-boute sur ses clubs et point barre.
Le reste, ce qui faisait la spécificité de Nouvelles Frontières notamment ou de Transat et de ses circuits, bof, ça n’est pas vraiment dans la ligne du parti...
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Et puis, comme les c... volent souvent en escadrille, après avoir imposé imposée la mise en vente de 800.000 sièges aériens (histoire de faire tourner TUI Fly, dont tous les invendus, nombreux, ont été facturés à TUI France), la direction « Western » de TUI Ag, se ravise cette année et ne remet au pot que... 700 000.
Chassez le naturel, il revient au galop !
Mais finalement, est-ce si grave pour les grosses têtes de TUI AG ? Non, cette fois, on va passer en force.
En attendant, une fois de plus et après plus de 10 ans d’errance, TUI France et ses salariés risquent encore de souffrir. Plus de 200 d'entre eux, vraisemblablement dans la seconde quinzaine de mars prochain, pourraient être concernés par un nouveau plan social. Et, cette fois, ce ne serait pas un Plan de départs volontaires...
Quel gâchis. Où sont donc passés ces belles marques, Nouvelles Frontières, Marmara, Look ? Gloupées (du terme glouper, faire gloup, avaler sans mâcher) par un TUI je ne sais d’ailleurs toujours pas ce que ça veut dire) ?
Au moins, et pour se faire un peu de fraîche, les Teutons auraient pu vendre ces marques. Je connais plus d’un professionnel français qui aurait été heureux d'en racheter…
Du moins, j’en connais au moins un !
Chassez le naturel, il revient au galop !
Mais finalement, est-ce si grave pour les grosses têtes de TUI AG ? Non, cette fois, on va passer en force.
En attendant, une fois de plus et après plus de 10 ans d’errance, TUI France et ses salariés risquent encore de souffrir. Plus de 200 d'entre eux, vraisemblablement dans la seconde quinzaine de mars prochain, pourraient être concernés par un nouveau plan social. Et, cette fois, ce ne serait pas un Plan de départs volontaires...
Quel gâchis. Où sont donc passés ces belles marques, Nouvelles Frontières, Marmara, Look ? Gloupées (du terme glouper, faire gloup, avaler sans mâcher) par un TUI je ne sais d’ailleurs toujours pas ce que ça veut dire) ?
Au moins, et pour se faire un peu de fraîche, les Teutons auraient pu vendre ces marques. Je connais plus d’un professionnel français qui aurait été heureux d'en racheter…
Du moins, j’en connais au moins un !