B2B ou B2C ? Les deux mon général ! /raph
Donc, Top Résa, traditionnelle rencontre, (marché ?) entre producteurs, ceux qui payent pour exposer leurs dernières trouvailles et distributeurs, qui, eux, en théorie, viennent faire leur marché.
Un marché de plus en plus confus et complexe.
Et sur fond de crise économique dont le tourisme fait, comme d'habitude, les frais, si je puis m'exprimer ainsi.
Top Résa IFTM c'est avant tout la grand'messe entre les producteurs et les distributeurs.
Les premiers reprochent aux seconds d'être de plus en plus couteux pour des prestations qui ne sont pas en adéquation avec les services rendus.
Les seconds rétorquent aux premiers de ne pas être assez performants et de tenter de vouloir les doubler en se servant de promos déloyales, de ristournes plus importantes vers les pure players et leurs sites de ventes directes…
Bref, le grand bazar où chacun accuse l'autre de ne pas jouer "fair play".
Sans parler des grands industriels qui eux ne savent plus dans quelle cour jouer et qui voient leurs grandes stratégies, établies à coups de millions d'euros, s'effondrer les unes après les autres.
C'est d'ailleurs comme leur masse salariale, dont ils rognent une partie à chaque bilan négatif.
La faute à qui ? Mais à Internet bien sûr, la vente en ligne qui permet aux consommateurs d'accéder directement au producteur en se passant du distributeur traditionnel.
Un marché de plus en plus confus et complexe.
Et sur fond de crise économique dont le tourisme fait, comme d'habitude, les frais, si je puis m'exprimer ainsi.
Top Résa IFTM c'est avant tout la grand'messe entre les producteurs et les distributeurs.
Les premiers reprochent aux seconds d'être de plus en plus couteux pour des prestations qui ne sont pas en adéquation avec les services rendus.
Les seconds rétorquent aux premiers de ne pas être assez performants et de tenter de vouloir les doubler en se servant de promos déloyales, de ristournes plus importantes vers les pure players et leurs sites de ventes directes…
Bref, le grand bazar où chacun accuse l'autre de ne pas jouer "fair play".
Sans parler des grands industriels qui eux ne savent plus dans quelle cour jouer et qui voient leurs grandes stratégies, établies à coups de millions d'euros, s'effondrer les unes après les autres.
C'est d'ailleurs comme leur masse salariale, dont ils rognent une partie à chaque bilan négatif.
La faute à qui ? Mais à Internet bien sûr, la vente en ligne qui permet aux consommateurs d'accéder directement au producteur en se passant du distributeur traditionnel.
Que foutaises, oui !
Sauf, peut-être pour les industriels style Thomas Cook ou TUI, dont les produits "mainstream" (décidément, ce vocable est bien étrange) ne requièrent qu'un minimum de conseil dans la vente, mais beaucoup de marketing coûteux.
Pourtant, il existe des moyens de concilier internet et distribution classique.
Eh oui, j'avoue avoir été bluffé par certains TO, de taille moyenne, gestionnaires rigoureux, qui ont tout compris aux nouvelles donnes du marché.
Comme d'habitude, ce sont des gens qui anticipent, ce qui, de nos jours, n'est pas forcément très courant...
Je le cite, c'est pas un secret, mais je suis sûr que l'exemple sera suivi très prochainement, c'est Exotismes.
Cisnéros et son équipe ont tout compris, depuis longtemps, convaincus sans doute que producteurs et distributeurs avaient une carte à jouer ensemble… et pour longtemps encore.
Sauf, peut-être pour les industriels style Thomas Cook ou TUI, dont les produits "mainstream" (décidément, ce vocable est bien étrange) ne requièrent qu'un minimum de conseil dans la vente, mais beaucoup de marketing coûteux.
Pourtant, il existe des moyens de concilier internet et distribution classique.
Eh oui, j'avoue avoir été bluffé par certains TO, de taille moyenne, gestionnaires rigoureux, qui ont tout compris aux nouvelles donnes du marché.
Comme d'habitude, ce sont des gens qui anticipent, ce qui, de nos jours, n'est pas forcément très courant...
Je le cite, c'est pas un secret, mais je suis sûr que l'exemple sera suivi très prochainement, c'est Exotismes.
Cisnéros et son équipe ont tout compris, depuis longtemps, convaincus sans doute que producteurs et distributeurs avaient une carte à jouer ensemble… et pour longtemps encore.
C'est le producteur qui a fait les investissements nécessaires et coûteux, afin de donner au distributeur les moyens de le vendre, via Internet, pour le plus grand bénéfice des uns et des autres.
Le distributeur engrange la même commission, ne passe pas des plombes au téléphone à tenter de joindre un improbable service de réservation basé dans un pays à mouches et conforte son client en deux temps trois mouvements.
Quant au producteur, il peut réserver ses équipes à appuyer la distribution sur un service plus "pointu", le "sur mesure" ou le "à la carte", en attendant de développer aussi un outil internet conséquent.
Eh bien, je le dis haut et fort. Chapeau ! D'autant que, pour couper court à toute trahison, le producteur en question avoue aussi mettre ses produits en ligne chez les pure player au même tarif que chez Selectour ou Manor. C'est vrai, j'ai vérifié...
Exotismes devrait engranger un volume d'affaires de 120 briques cette année. Sans PSE. Ça mérite d'y réfléchir, non ?
Le distributeur engrange la même commission, ne passe pas des plombes au téléphone à tenter de joindre un improbable service de réservation basé dans un pays à mouches et conforte son client en deux temps trois mouvements.
Quant au producteur, il peut réserver ses équipes à appuyer la distribution sur un service plus "pointu", le "sur mesure" ou le "à la carte", en attendant de développer aussi un outil internet conséquent.
Eh bien, je le dis haut et fort. Chapeau ! D'autant que, pour couper court à toute trahison, le producteur en question avoue aussi mettre ses produits en ligne chez les pure player au même tarif que chez Selectour ou Manor. C'est vrai, j'ai vérifié...
Exotismes devrait engranger un volume d'affaires de 120 briques cette année. Sans PSE. Ça mérite d'y réfléchir, non ?