Il existe beaucoup de légendes au sujet du financier belge Albert Frère. Parmi celles-ci, le fait qu’il serait parti de rien pour construire sa fortune ou encore qu’il s’agit d’un industriel plaçant son argent à long terme.
Né en 1926, très jeune, il s’est intéressé au commerce de sa famille dans la sidérurgie et a étendu les activités de l’affaire familiale à tout l’éventail des produits du fer. Financier de génie, car Albert Frère est avant tout un financier, il a pu gravir les marches de la fortune grâce à des alliances personnelles avec d’autres financiers.
Parmi ses amitiés « financières » les plus connues, le canadien Paul Desmarais ou le français Bernard Arnauld. La seule différence entre ces trois hommes, c’est que le Belge a été titré baron, ce qui ferait envie aux deux autres, disent les méchantes langues.
Né en 1926, très jeune, il s’est intéressé au commerce de sa famille dans la sidérurgie et a étendu les activités de l’affaire familiale à tout l’éventail des produits du fer. Financier de génie, car Albert Frère est avant tout un financier, il a pu gravir les marches de la fortune grâce à des alliances personnelles avec d’autres financiers.
Parmi ses amitiés « financières » les plus connues, le canadien Paul Desmarais ou le français Bernard Arnauld. La seule différence entre ces trois hommes, c’est que le Belge a été titré baron, ce qui ferait envie aux deux autres, disent les méchantes langues.
L’exigence de dividendes réels
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le baron Albert Frère fait une incursion dans le tourisme
Quand au modus vivendi de ses opérations, elles sont généralement toujours les mêmes : des opérations de rachats avec toujours un réel pouvoir dans les entreprises reprises, suivies de ventes avec profits quelques années plus tard.
Et entre les deux, l’exigence de dividendes réels. Actuellement, il est l’actionnaire de référence du groupe Suez, de Total Elf Fina, des Ciments Lafargues, etc….
Ce qu’il faut surtout retenir, c’est que pour Albert Frère, il est très important lorsqu’il investit dans une entreprise soit de percevoir des dividendes conséquents, soit d’espérer une sérieuse plus-value en cas de revente de l’actif.
Or, comme tout le monde le sait, en ce qui concerne les dividendes, le tourisme n’est pas le meilleur placement qui soit. Alors comme beaucoup de nos confrères belges, la question qui se pose réellement aujourd'hui est moins celle de l’achat que de savoir quand et à qui Albert Frère revendra-t-il ses parts dans GO Voyages…
Et entre les deux, l’exigence de dividendes réels. Actuellement, il est l’actionnaire de référence du groupe Suez, de Total Elf Fina, des Ciments Lafargues, etc….
Ce qu’il faut surtout retenir, c’est que pour Albert Frère, il est très important lorsqu’il investit dans une entreprise soit de percevoir des dividendes conséquents, soit d’espérer une sérieuse plus-value en cas de revente de l’actif.
Or, comme tout le monde le sait, en ce qui concerne les dividendes, le tourisme n’est pas le meilleur placement qui soit. Alors comme beaucoup de nos confrères belges, la question qui se pose réellement aujourd'hui est moins celle de l’achat que de savoir quand et à qui Albert Frère revendra-t-il ses parts dans GO Voyages…