Au titre de l'exercice 2011, clôturé au 30 septembre, Euro Disney S.C.A annonce une perte nette qui se creuse à 63,9 millions d'euros, contre 45,2 millions d'euros au titre de l'exercice précédent.
Une baisse qui résulte "des activités de développement immobilier au cours de l'Exercice", précise le groupe dans un communiqué.
La fréquentation des parcs à thèmes, quant à elle, augmente de 600 000 visiteurs, soit 15,6 millions au total.
Le chiffre d'affaires généré par les activités touristiques est en hausse de 60 millions d'euros pour s'établir à 1 275,2 millions d'euros, contre 1 215,2 millions d'euros au titre de l'exercice précédent.
Le chiffre d'affaires des parcs à thèmes augmente de 6 % pour s'établir à 724,3 millions d'euros, contre 685,3 millions d'euros au titre de l'exercice précédent, reflétant une augmentation de 4 % de la fréquentation, ainsi qu'une hausse de 2 % de la dépense moyenne par visiteur à 46,23 euros.
La hausse de la fréquentation des parcs à thèmes s'explique par un plus grand nombre de visiteurs français, britanniques et espagnols. La hausse de la dépense moyenne par visiteur traduit une augmentation des dépenses liées aux entrées et à la restauration.
Une baisse qui résulte "des activités de développement immobilier au cours de l'Exercice", précise le groupe dans un communiqué.
La fréquentation des parcs à thèmes, quant à elle, augmente de 600 000 visiteurs, soit 15,6 millions au total.
Le chiffre d'affaires généré par les activités touristiques est en hausse de 60 millions d'euros pour s'établir à 1 275,2 millions d'euros, contre 1 215,2 millions d'euros au titre de l'exercice précédent.
Le chiffre d'affaires des parcs à thèmes augmente de 6 % pour s'établir à 724,3 millions d'euros, contre 685,3 millions d'euros au titre de l'exercice précédent, reflétant une augmentation de 4 % de la fréquentation, ainsi qu'une hausse de 2 % de la dépense moyenne par visiteur à 46,23 euros.
La hausse de la fréquentation des parcs à thèmes s'explique par un plus grand nombre de visiteurs français, britanniques et espagnols. La hausse de la dépense moyenne par visiteur traduit une augmentation des dépenses liées aux entrées et à la restauration.
Le prix des chambres et des dépenses en restauration en hausse
Le chiffre d'affaires des hôtels et du Disney Village(R) est en hausse de 7 % pour s'établir à 513,2 millions d'euros, contre 480,2 millions d'euros au titre de l'exercice précédent, reflétant une hausse de 5 % de la dépense moyenne par chambre à 219,74 euros, combinée à une augmentation de 1,7 point du taux d'occupation des hôtels à 87,1 %.
L'augmentation de la dépense moyenne par chambre s'explique par une hausse du prix des chambres et des dépenses en restauration.
La hausse du taux d'occupation des hôtels correspond à 35 000 nuitées supplémentaires par rapport à l'exercice précédent, reflétant une augmentation du nombre de visiteurs français et britanniques, et une hausse des activités de tourisme d'affaires, partiellement compensées par une baisse du nombre de visiteurs néerlandais.
Les autres revenus, qui incluent principalement les redevances de partenariat et les services de transport et de voyages proposés aux visiteurs, sont en baisse de 12 millions d'euros pour s'établir à 37,7 millions d'euros, contre 49,7 millions d'euros au titre de l'exercice précédent.
Cette baisse s'explique par une diminution des redevances de partenariat et par un produit enregistré au cours de l'exercice précédent dans le cadre du règlement d'un litige.
Pour l'exercice 2012, Euro Disney indique que "si les engagements financiers ne pouvaient être satisfaits, le Groupe serait amené à réduire ses coûts d'exploitation, une partie de ses dépenses d'investissements prévues, vendre des actifs et/ou solliciter l'aide de TWDC ou d'autres parties, dans les conditions prévues par les accords de financement.
Même si aucune assurance ne peut être donnée, la direction estime que le Groupe dispose de ressources suffisantes pour un avenir prévisible compte tenu des disponibilités existantes, de la ligne de crédit disponible de 100 millions d'euros octroyée par TWDC et des possibilités futures de reports conditionnels supplémentaires."
L'augmentation de la dépense moyenne par chambre s'explique par une hausse du prix des chambres et des dépenses en restauration.
La hausse du taux d'occupation des hôtels correspond à 35 000 nuitées supplémentaires par rapport à l'exercice précédent, reflétant une augmentation du nombre de visiteurs français et britanniques, et une hausse des activités de tourisme d'affaires, partiellement compensées par une baisse du nombre de visiteurs néerlandais.
Les autres revenus, qui incluent principalement les redevances de partenariat et les services de transport et de voyages proposés aux visiteurs, sont en baisse de 12 millions d'euros pour s'établir à 37,7 millions d'euros, contre 49,7 millions d'euros au titre de l'exercice précédent.
Cette baisse s'explique par une diminution des redevances de partenariat et par un produit enregistré au cours de l'exercice précédent dans le cadre du règlement d'un litige.
Pour l'exercice 2012, Euro Disney indique que "si les engagements financiers ne pouvaient être satisfaits, le Groupe serait amené à réduire ses coûts d'exploitation, une partie de ses dépenses d'investissements prévues, vendre des actifs et/ou solliciter l'aide de TWDC ou d'autres parties, dans les conditions prévues par les accords de financement.
Même si aucune assurance ne peut être donnée, la direction estime que le Groupe dispose de ressources suffisantes pour un avenir prévisible compte tenu des disponibilités existantes, de la ligne de crédit disponible de 100 millions d'euros octroyée par TWDC et des possibilités futures de reports conditionnels supplémentaires."