Euro Disney, société d'exploitation de Disneyland® Paris, a annoncé un chiffre d'affaires consolidé en baisse de 10,5%, à 292 M€, au cours du premier trimestre de l'exercice 2010 (clos le 31 décembre 2009).
Le chiffre d'affaires généré par les activités touristiques diminue de 10 % pour s'établir à 290,8 millions d'euros contre 323,0 millions d'euros au titre du premier trimestre de l'exercice précédent.
Les chiffres d'affaires des parcs à thèmes et des hôtels ainsi que du Disney® Village baissent respectivement de 12% (à 164,7 M€) et 10 % (à 112,3 M€).
Les autres revenus, qui incluent les redevances de participants ainsi que les services de transport et de voyages proposés aux visiteurs, sont en hausse de 1,5 million d'euros pour s'établir à 13,8 millions d'euros.
Le chiffre d'affaires généré par les activités touristiques diminue de 10 % pour s'établir à 290,8 millions d'euros contre 323,0 millions d'euros au titre du premier trimestre de l'exercice précédent.
Les chiffres d'affaires des parcs à thèmes et des hôtels ainsi que du Disney® Village baissent respectivement de 12% (à 164,7 M€) et 10 % (à 112,3 M€).
Les autres revenus, qui incluent les redevances de participants ainsi que les services de transport et de voyages proposés aux visiteurs, sont en hausse de 1,5 million d'euros pour s'établir à 13,8 millions d'euros.
"Le chiffre d'affaires du premier trimestre de l’exercice reflète le prolongement d'un contexte économique difficile, marqué par une diminution de la fréquentation de notre Resort.", souligne Philippe Gas, Président d'Euro Disney S.A.S.
"Au premier trimestre de l’exercice 2009, la crise économique n’avait pas encore pleinement impacté nos revenus, essentiellement parce que les visiteurs réservaient très en amont des dates de leur visite. Ceci a évolué et s’est intensifié au cours de l’année puisque, désormais, les visiteurs réservent plus tardivement tout en recherchant des offres promotionnelles. "
"Au premier trimestre de l’exercice 2009, la crise économique n’avait pas encore pleinement impacté nos revenus, essentiellement parce que les visiteurs réservaient très en amont des dates de leur visite. Ceci a évolué et s’est intensifié au cours de l’année puisque, désormais, les visiteurs réservent plus tardivement tout en recherchant des offres promotionnelles. "