Et bien on rêve de moins en moins serait-on tenté de dire à la vue de ce qui vient de se passer vendredi dernier à Bordeaux.
En effet, vendredi a eu lieu le ‘’1er vol commercial européen en apesanteur’’, les vols de ce type n'étant jusqu’alors qu’opérés aux Etats-Unis et en Russie.
Après un petit briefing matinal, 40 passagers très enthousiastes, se sont retrouvés en en combinaison de vol grise et ont embarqué depuis la base de Novespace de Bordeaux-Mérignac à bord de l’'Airbus A300 Zéro-G, qui a décollé à 13h de Bordeaux-Mérignac,
Les 40 premiers clients, encadrés par l'astronaute et président de Novaspace Jean-François Clervoy, se sont vus proposer 15 paraboles cumulées de 22 secondes chacune, soit 5 minutes d'apesanteur cumulée.
La première parabole a permis d'atteindre la gravité martienne (un tiers du poids ressenti), puis a été suivie de deux paraboles lunaires (1/6 du poids), soit la sensation d'être debout sur la Lune, puis de 12 paraboles en apesanteur.
En effet, vendredi a eu lieu le ‘’1er vol commercial européen en apesanteur’’, les vols de ce type n'étant jusqu’alors qu’opérés aux Etats-Unis et en Russie.
Après un petit briefing matinal, 40 passagers très enthousiastes, se sont retrouvés en en combinaison de vol grise et ont embarqué depuis la base de Novespace de Bordeaux-Mérignac à bord de l’'Airbus A300 Zéro-G, qui a décollé à 13h de Bordeaux-Mérignac,
Les 40 premiers clients, encadrés par l'astronaute et président de Novaspace Jean-François Clervoy, se sont vus proposer 15 paraboles cumulées de 22 secondes chacune, soit 5 minutes d'apesanteur cumulée.
La première parabole a permis d'atteindre la gravité martienne (un tiers du poids ressenti), puis a été suivie de deux paraboles lunaires (1/6 du poids), soit la sensation d'être debout sur la Lune, puis de 12 paraboles en apesanteur.
Sur les 40 passagers à bord de l'A300 Zéro-G, une trentaine ont déboursé chacun 6.000 euros, les autres, dont 5 étudiants, ont gagné un concours organisé par le CNES, l'agence spatiale française, qui utilise habituellement cet avion à des fins scientifiques.
A l’image du Tourisme Spatial, ‘’un tourisme sans frontières’’, les clients venaient d’horizons bien différents. Si la majorité était de nationalité française, il y avait aussi des Suisses, des Belges, un Cubain, une Turque….
Pour la petite histoire, la doyenne était âgée de 67 ans
Pour ce baptême d'apesanteur, les clients étaient accompagnés par l'astronaute Jean-François Clervoy, président de Novespace, filiale du CNES, qui compte 3000 paraboles à son actif, mais aussi trois vols à bord de la navette spatiale américaine.
Le Tourisme Spatial s’approche de plus en plus de la réalité et du concret, preuve en est cette nouvelle aventure.
A l’image du Tourisme Spatial, ‘’un tourisme sans frontières’’, les clients venaient d’horizons bien différents. Si la majorité était de nationalité française, il y avait aussi des Suisses, des Belges, un Cubain, une Turque….
Pour la petite histoire, la doyenne était âgée de 67 ans
Pour ce baptême d'apesanteur, les clients étaient accompagnés par l'astronaute Jean-François Clervoy, président de Novespace, filiale du CNES, qui compte 3000 paraboles à son actif, mais aussi trois vols à bord de la navette spatiale américaine.
Le Tourisme Spatial s’approche de plus en plus de la réalité et du concret, preuve en est cette nouvelle aventure.