Relancé à l’automne 2010, le train Nice-Moscou vient de célébrer son premier anniversaire à la gare de Belorussky de la capitale russe.
Près de 6.000 passagers l'ont emprunté au cours des 12 derniers mois.
A bord, le train propose des wagons en deuxième, première classe et Luxe pour 130 passagers. Les voyageurs ont à leur disposition deux wagons-restaurants à la cuisine européenne et russe.
Pouvant rouler sur certaine sections à 160 kilomètres/heure, il avale les 3200 km qui séparent les bords de la Neva à la Baie des Anges 50 heures 23 minutes.
C’est l’itinéraire ferroviaire transeuropéen le plus long passant à travers le territoire de sept Etats.
Près de 6.000 passagers l'ont emprunté au cours des 12 derniers mois.
A bord, le train propose des wagons en deuxième, première classe et Luxe pour 130 passagers. Les voyageurs ont à leur disposition deux wagons-restaurants à la cuisine européenne et russe.
Pouvant rouler sur certaine sections à 160 kilomètres/heure, il avale les 3200 km qui séparent les bords de la Neva à la Baie des Anges 50 heures 23 minutes.
C’est l’itinéraire ferroviaire transeuropéen le plus long passant à travers le territoire de sept Etats.
Un train direct Moscou-Berlin-Paris en décembre
A partir de la mi décembre, le train fera une escale de 2 minutes à Monaco, selon Andreï Kaliberdine, responsable de la société FPK, une filiale des Chemins de fer russes (RZD).
L’arrêt a été organisé à la demande de la Principauté de Monaco. Et le groupe RZD menait des négociations en ce sens avec la SNCF.
Par ailleurs, la coopération des Chemins de fer russes - à l’origine du train Nice Moscou - et la SNCF s’intensifie. Un nouveau train direct Moscou-Berlin-Paris prendra son départ en décembre en développant les systèmes de distribution des billets.
La compagnie Rail Europe assurera la commercialisation plus touristique. Pour 2012, la compagnie russe souhaite lancer des trains supplémentaires Moscou-Nice. Deux trains par semaine sont envisagés dès l’été prochain.
Ce sera un train régulier et non pas touristique, avec la possibilité de l’emprunter pour de courtes distances et d’acheter les billets le long de l’itinéraire grâce à la technologie développée par la SNCF.
L’arrêt a été organisé à la demande de la Principauté de Monaco. Et le groupe RZD menait des négociations en ce sens avec la SNCF.
Par ailleurs, la coopération des Chemins de fer russes - à l’origine du train Nice Moscou - et la SNCF s’intensifie. Un nouveau train direct Moscou-Berlin-Paris prendra son départ en décembre en développant les systèmes de distribution des billets.
La compagnie Rail Europe assurera la commercialisation plus touristique. Pour 2012, la compagnie russe souhaite lancer des trains supplémentaires Moscou-Nice. Deux trains par semaine sont envisagés dès l’été prochain.
Ce sera un train régulier et non pas touristique, avec la possibilité de l’emprunter pour de courtes distances et d’acheter les billets le long de l’itinéraire grâce à la technologie développée par la SNCF.
Le train reliant Moscou à la Côte d’Azur, une histoire ancienne
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Monaco se dote d'un nouveau centre de conférences
Les aristocrates russes aiment se reposer sur la Côte d’Azur au 19e siècle. L’impératrice russe Alexandra Fedorovna a acheté la première une propriété sur la Côte d’Azur.
Vers le début du 20e siècle, il y a avait près de 600 propriétaires russes des villas et des hôtels particuliers à Nice.
Or, le train n’a circulé que pendant 50 ans jusqu’à 1914.
Aujourd’hui la clientèle russe emprunte plutôt la voie des airs, comme les lignes directes qui relient Nice-Côte d’Azur aux grandes villes russes.
En 2010, 40.000 russes ont généré 114.300 nuitées. C’est une clientèle qui dépense en moyenne 1489 euros par séjour.
Vers le début du 20e siècle, il y a avait près de 600 propriétaires russes des villas et des hôtels particuliers à Nice.
Or, le train n’a circulé que pendant 50 ans jusqu’à 1914.
Aujourd’hui la clientèle russe emprunte plutôt la voie des airs, comme les lignes directes qui relient Nice-Côte d’Azur aux grandes villes russes.
En 2010, 40.000 russes ont généré 114.300 nuitées. C’est une clientèle qui dépense en moyenne 1489 euros par séjour.