Le baromètre du bonheur au travail révèle que 66% des salariés français sont heureux au travail (contre 70% en mars 2010).
Ce qu’ils apprécient le plus ce sont « les choses qu’ils apprennent dans leur travail », et « les gens avec qui ils travaillent », à respectivement 78% et 74% (contre 80% et 81% en mars 2010).
62% et 55% des personnes interrogées ont respectivement connu une augmentation de leur charge de travail et de leur rythme de travail.
L’ensemble des sondés se déclare néanmoins toujours aussi confiants dans l’avenir de leur entreprise (69%).
On constate ainsi depuis mars 2010 une diminution de 4 points de la part de salariés considérant le facteur stress comme un des aspects qu’ils aiment le moins dans leur travail (26%), ainsi qu’une baisse de 4 points de leur peur de perdre leur emploi (11%).
Le manque de perspectives d’évolution devient l’aspect qu’ils aiment le moins (30%). Effets perceptibles de la reprise, on note une hausse de 6 points du nombre de salariés ayant reçu une augmentation cette année (44%), et bénéficiant d’un dispositif de participation, intéressement ou primes (54%).
On constate à 39% (contre 28% en mars 2010) un respect des attentes des salariés en termes de primes pour l’année 2011.
Néanmoins, on note toujours pour 2012 de réels désirs de changements professionnels : avoir plus de responsabilités (66%), changer d’employeur (41%), bénéficier d’une mobilité interne (41%)
Ce qu’ils apprécient le plus ce sont « les choses qu’ils apprennent dans leur travail », et « les gens avec qui ils travaillent », à respectivement 78% et 74% (contre 80% et 81% en mars 2010).
62% et 55% des personnes interrogées ont respectivement connu une augmentation de leur charge de travail et de leur rythme de travail.
L’ensemble des sondés se déclare néanmoins toujours aussi confiants dans l’avenir de leur entreprise (69%).
On constate ainsi depuis mars 2010 une diminution de 4 points de la part de salariés considérant le facteur stress comme un des aspects qu’ils aiment le moins dans leur travail (26%), ainsi qu’une baisse de 4 points de leur peur de perdre leur emploi (11%).
Le manque de perspectives d’évolution devient l’aspect qu’ils aiment le moins (30%). Effets perceptibles de la reprise, on note une hausse de 6 points du nombre de salariés ayant reçu une augmentation cette année (44%), et bénéficiant d’un dispositif de participation, intéressement ou primes (54%).
On constate à 39% (contre 28% en mars 2010) un respect des attentes des salariés en termes de primes pour l’année 2011.
Néanmoins, on note toujours pour 2012 de réels désirs de changements professionnels : avoir plus de responsabilités (66%), changer d’employeur (41%), bénéficier d’une mobilité interne (41%)
Relations managers-employés, un dialogue difficile
Dans ce que les salariés aiment le plus au travail, l’aspect « les gens pour qui ils effectuent des tâches » accuse une forte diminution, -11 points depuis mars 2010.
On constate un vrai problème de reconnaissance du travail. 55% des sondés ont le sentiment que leurs efforts ne sont pas reconnus par leur hiérarchie.
Alors que 58% trouvent que le président de leur entreprise s’implique dans la vie de l’entreprise, ils ne sont que 34% à estimer qu’il est à l’écoute de ses salariés.
Ce chiffre est toutefois variable selon la taille de l’entreprise (56% pour les TPE, 34% pour les PME et 26% pour les GE).
56% déclarent rencontrer des difficultés à s’exprimer avec leurs responsables et à faire en sorte que leur avis soit pris en compte.
En revanche, ils sont 47% à avoir le sentiment d’être écoutés par les personnes et organismes chargés de les représenter.
On constate un vrai problème de reconnaissance du travail. 55% des sondés ont le sentiment que leurs efforts ne sont pas reconnus par leur hiérarchie.
Alors que 58% trouvent que le président de leur entreprise s’implique dans la vie de l’entreprise, ils ne sont que 34% à estimer qu’il est à l’écoute de ses salariés.
Ce chiffre est toutefois variable selon la taille de l’entreprise (56% pour les TPE, 34% pour les PME et 26% pour les GE).
56% déclarent rencontrer des difficultés à s’exprimer avec leurs responsables et à faire en sorte que leur avis soit pris en compte.
En revanche, ils sont 47% à avoir le sentiment d’être écoutés par les personnes et organismes chargés de les représenter.