La réputation des taxis niçois n’est plus à faire face à des tarifications fantaisistes notamment vis-à-vis des touristes étrangers qui débarquent à l’aéroport et qui ne sont pas souvent au courant des pratiques locales si souvent dénoncés.
La ville de Nice souhaite depuis deux ans mettre un terme aux abus.
La première mesure sera d’imposer, avant la loi en cours d’études, l’obligation aux chauffeurs de taxi d’imprimer et de remettre à leurs clients un ticket qui sera une trace avec le prix acquitté et la distance parcourue à l’achèvement de leur course.
Ce dispositif est destiné à éviter les « abus». Le ticket avec le numéro permet de remonter au chauffeur de taxi.
On pourra ainsi éviter les prix fantaisistes comme ce journaliste qui a dû acquitter 36 euros entre l’aéroport et la gare Nice Thiers durant la période de paralyse du trafic aérien par le nuage de cendres.
La ville de Nice souhaite depuis deux ans mettre un terme aux abus.
La première mesure sera d’imposer, avant la loi en cours d’études, l’obligation aux chauffeurs de taxi d’imprimer et de remettre à leurs clients un ticket qui sera une trace avec le prix acquitté et la distance parcourue à l’achèvement de leur course.
Ce dispositif est destiné à éviter les « abus». Le ticket avec le numéro permet de remonter au chauffeur de taxi.
On pourra ainsi éviter les prix fantaisistes comme ce journaliste qui a dû acquitter 36 euros entre l’aéroport et la gare Nice Thiers durant la période de paralyse du trafic aérien par le nuage de cendres.
Sachant que la distance entre l’aéroport et la gare est de 5 km cela fait du 7 euros le kilomètre. La mesure imposée par la ville devance une circulaire ministérielle qui prescrira ce système à la France en 2011.
On enregistre à Nice une moyenne de 4500 courses par jour. Autre abus dénoncé par la ville l’accord tacite entre certains hôtels et des transporteurs « pirates » pour acheminer leurs clients vers l’aéroport avec une tarification à la « tête du client ».
On enregistre à Nice une moyenne de 4500 courses par jour. Autre abus dénoncé par la ville l’accord tacite entre certains hôtels et des transporteurs « pirates » pour acheminer leurs clients vers l’aéroport avec une tarification à la « tête du client ».