« La situation de crise était déjà installée avant mon arrivée à la tête de Bravo Voyages, début 2012.
Nous, les nouveaux associés (parmi lesquels figurant également Claude Odri, propriétaire du TO français SVPA, Mme Alfina Odri et M. Mauro Lombardo, basé en Italie, ndlr), avons investi beaucoup d’argent, mais ce n’était pas suffisant, vu l’état actuel du marché.
Bravo Voyages était une entreprise familiale, créée par M.Gatto. Nous avons essayé de l’aider à relancer l’activité, mais la tâche était difficile, étant donné que nous avons repris une compagnie en mauvaise santé financière.
La perte nette mentionnée dans l’article date de 2011, et les nouveaux associés n’en sont pas responsables. Ils ont aidé la compagnie à survivre.
Dans tous les cas, il n’y a aucun client en situation délicate. Tous ont été reprotégés.
Bravo Voyages va changer de business model pour faire face aux changements du marché actuel.
Nous n’avons par conséquent plus besoin de la garantie financière de l’APST, étant donné que nous arrêtons notre activité en tant qu’opérateur de voyages et de séjours.
Il n’y a aucun conflit entre la société et ses salariés. Tous sont conscients de l’énorme effort fourni pour remonter Bravo Voyages.
En tant qu’ancien gérant, j’ai fait tout mon possible, en accord avec la loi française, pour protéger les intérêts des employés, des fournisseurs, des partenaires et de toute personne impliquée dans l’affaire ».
Nous, les nouveaux associés (parmi lesquels figurant également Claude Odri, propriétaire du TO français SVPA, Mme Alfina Odri et M. Mauro Lombardo, basé en Italie, ndlr), avons investi beaucoup d’argent, mais ce n’était pas suffisant, vu l’état actuel du marché.
Bravo Voyages était une entreprise familiale, créée par M.Gatto. Nous avons essayé de l’aider à relancer l’activité, mais la tâche était difficile, étant donné que nous avons repris une compagnie en mauvaise santé financière.
La perte nette mentionnée dans l’article date de 2011, et les nouveaux associés n’en sont pas responsables. Ils ont aidé la compagnie à survivre.
Dans tous les cas, il n’y a aucun client en situation délicate. Tous ont été reprotégés.
Bravo Voyages va changer de business model pour faire face aux changements du marché actuel.
Nous n’avons par conséquent plus besoin de la garantie financière de l’APST, étant donné que nous arrêtons notre activité en tant qu’opérateur de voyages et de séjours.
Il n’y a aucun conflit entre la société et ses salariés. Tous sont conscients de l’énorme effort fourni pour remonter Bravo Voyages.
En tant qu’ancien gérant, j’ai fait tout mon possible, en accord avec la loi française, pour protéger les intérêts des employés, des fournisseurs, des partenaires et de toute personne impliquée dans l’affaire ».