Luxe : la mondialisation met-elle la France en position de challenger ?

En dépit de son patrimoine, de sa culture, de son savoir-faire, de la renommée de sa gastronomie et de ses articles de luxe, la France est, sur ce marché, en compétition directe avec des destinations concurrentes qui sont aussi, à l’instar de l’Inde ou de la Chine des marchés émetteurs. La mondialisation du marché du luxe oblige la France à repenser le secteur et à s’engager vers une nouvelle mutation.

Selon une étude IPSOS sur les hauts revenus, le luxe c’est d’abord du plaisir pour soi (55 %), de l’exclusivité (23 %) et la possibilité d’affirmer son statut. Le luxe se compose en réalité de multiples facettes.

Il se traduit dans les services, dans le besoin de sécurité et d’exclusivité, dans la haute technologie. Il s’exprime de multiples façons, du voyage dans l’espace à l’odeur du pain grillé en Première Classe dans un avion ou de la cire et de la lavande comme le suggère finement la Messardière de Saint-Tropez

Rapport établi par l'Odit France

La diversification des clientèles suppose une prise en compte des cultures propres. Dans cet esprit le document édité par ODIT France fait ressortir les différences et redéfinit la notion de luxe en fonction des grands marchés émetteurs.

Cette étude étayée par de nombreuses statistiques et enquêtes donne les grandes tendances des marchés américain, asiatique, japonais, chinois, indien, russe et arabe.

Avec le concours d’Ana Bauer sociologue et consultante en marketing, Odit France a réalisé un travail de réflexion. Les impacts, les menaces, les opportunités, les nouvelles clientèles et les nouveaux marchés sont repris dans un rapport très complet de 136 pages disponible au prix de 40 €.

Pour plus d’informations : www.odit-france.fr