Pour leur 50 ans de mariage, un couple d'octogénaire est parti en croisière sur la méditerranée à bord d'un bateau MSC Croisières.
Mais le voyage n'a pas duré 8 jours : le couple a été débarqué du navire. En cause, la maladie d'Alzheimer de Marie Mérel, l'épouse, 81 ans.
Son mari Jean Mérel avait demandé à l'équipage de sécuriser la cabine, qui ne fermait pas à clé de l'intérieur, afin d'éviter que sa femme ne sorte dans la nuit et ne se perde dans le navire.
Le médecin de bord a alors immédiatement décidé de débarquer le couple, seule solution pour la sécurité de la femme selon lui.
Le couple a du quitter le bateau au port de Brindisi (Italie) et organiser son retour en Bretagne sans l'assistance de MSC Croisières.
Jean Mérel a décidé de porter plainte suite aux nombreuses dépenses générées par ce débarquement (le coût de la croisière et celui du retour forcé, soit un total de plus de 4000€) et au fait que le médecin n'ai a priori pas examiné son épouse avant de prendre la décision de les faire quitter le navire.
Mais c'est surtout le préjudice moral et le manque d'attention "humaine" que regrette le voyageur. Il estime que sa femme a été victime d'une discrimination, d'autant que le spécialiste gérant la maladie de sa femme avait validé le voyages, le trouvant très positif pour elle.
Une discrimination que conteste MSC Croisière, qui se dit prêt à proposer une "belle réduction" au couple.
Mais le voyage n'a pas duré 8 jours : le couple a été débarqué du navire. En cause, la maladie d'Alzheimer de Marie Mérel, l'épouse, 81 ans.
Son mari Jean Mérel avait demandé à l'équipage de sécuriser la cabine, qui ne fermait pas à clé de l'intérieur, afin d'éviter que sa femme ne sorte dans la nuit et ne se perde dans le navire.
Le médecin de bord a alors immédiatement décidé de débarquer le couple, seule solution pour la sécurité de la femme selon lui.
Le couple a du quitter le bateau au port de Brindisi (Italie) et organiser son retour en Bretagne sans l'assistance de MSC Croisières.
Jean Mérel a décidé de porter plainte suite aux nombreuses dépenses générées par ce débarquement (le coût de la croisière et celui du retour forcé, soit un total de plus de 4000€) et au fait que le médecin n'ai a priori pas examiné son épouse avant de prendre la décision de les faire quitter le navire.
Mais c'est surtout le préjudice moral et le manque d'attention "humaine" que regrette le voyageur. Il estime que sa femme a été victime d'une discrimination, d'autant que le spécialiste gérant la maladie de sa femme avait validé le voyages, le trouvant très positif pour elle.
Une discrimination que conteste MSC Croisière, qui se dit prêt à proposer une "belle réduction" au couple.
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