Le groupe hôtelier français avait sollicité une exonération fiscale sur l’ensemble des matériaux et équipements destinés aux travaux de construction.
Les tractations se sont déroulées à Antananarivo pendant toute l’année 2004. Elles ont culminé à Paris en novembre 2004 quand Jacques Sylla, de passage à Paris, a reçu les patrons d’Accor.
Une ultime tentative a été réalisée récemment, en juin 2005, quand Gérard Pélisson, co-fondateur du groupe Accor a siégé dans la délégation d’opérateurs économiques français qui a accompagné Jacques Chirac dans l’île.
A cette occasion, la demande a été de nouveau adressée aux autorités malgaches mais semble s’être heurtée à un mur. Depuis, Accor ne sollicite plus d’entretien avec la partie malgache. On ne sait cependant si en même temps, il a abandonné l’idée de construire à Antananarivo un complexe hôtelier de 180 chambres.
Exonérations d’impôts de grande envergure promise au groupe Accor
On doit à la vérité de dire que c’est Marc Ravalomanana qui avait promis des exonérations d’impôts de grande envergure au groupe Accor. C’était en 2003, quand les dirigeants du groupe hôtelier étaient venus au Palais d’Ambohitsorohitra pour évoquer le projet.
Depuis, le chef de l’Etat s’est mis aux abonnés absents et fait le mort quand il est relancé par Accor. L’explication en est simple : Madagascar est “sous programme” avec le FMI et la Banque mondiale, et les exonérations, détaxations et autres défiscalisations lui sont interdites.
Marc Ravalomanana s’est même engagé par écrit auprès des institutions de Bretton Woods à respecter cette conditionnalité. Apparemment, Accor ne doit plus compter sur cette détaxation promise en 2003…
Les tractations se sont déroulées à Antananarivo pendant toute l’année 2004. Elles ont culminé à Paris en novembre 2004 quand Jacques Sylla, de passage à Paris, a reçu les patrons d’Accor.
Une ultime tentative a été réalisée récemment, en juin 2005, quand Gérard Pélisson, co-fondateur du groupe Accor a siégé dans la délégation d’opérateurs économiques français qui a accompagné Jacques Chirac dans l’île.
A cette occasion, la demande a été de nouveau adressée aux autorités malgaches mais semble s’être heurtée à un mur. Depuis, Accor ne sollicite plus d’entretien avec la partie malgache. On ne sait cependant si en même temps, il a abandonné l’idée de construire à Antananarivo un complexe hôtelier de 180 chambres.
Exonérations d’impôts de grande envergure promise au groupe Accor
On doit à la vérité de dire que c’est Marc Ravalomanana qui avait promis des exonérations d’impôts de grande envergure au groupe Accor. C’était en 2003, quand les dirigeants du groupe hôtelier étaient venus au Palais d’Ambohitsorohitra pour évoquer le projet.
Depuis, le chef de l’Etat s’est mis aux abonnés absents et fait le mort quand il est relancé par Accor. L’explication en est simple : Madagascar est “sous programme” avec le FMI et la Banque mondiale, et les exonérations, détaxations et autres défiscalisations lui sont interdites.
Marc Ravalomanana s’est même engagé par écrit auprès des institutions de Bretton Woods à respecter cette conditionnalité. Apparemment, Accor ne doit plus compter sur cette détaxation promise en 2003…