FRAM : des pieds solides, une tête fragile
Cet examen vaut pour les entreprises de petite taille comme pour les grosses, pour peu que leur développement nécessite un financement conséquent qu’elle compterait amortir à plus ou moins long terme.
Prenons par exemple le cas de FRAM. Selon nos spécialistes du marché financier, le TO toulousain par exemple, peinerait à intéresser un investisseur car, malgré sa notoriété, sa belle trésorerie, ses résultats et la fidélité de sa clientèle, il manque d'une stratégie claire.
Mais surtout, faiblesse pernicieuse mais rédhibitoire pour qui veut placer son argent : il ne jouit pas d’un tour de table serein. « Cela fragilise la société, » explique notre spécialiste des dossiers industriels du tourisme.
Pour trouver de l’argent, (si FRAM en avait besoin,) « l'entreprise aurait 4 solutions, « 1) fusionner avec d’autres entreprises; 2) chercher un fond de « private equity » (investissement hors bourse); 3) se développer par croissance externe; 4) adapter ses projets à ses capacités d’autofinancement. »
Prenons par exemple le cas de FRAM. Selon nos spécialistes du marché financier, le TO toulousain par exemple, peinerait à intéresser un investisseur car, malgré sa notoriété, sa belle trésorerie, ses résultats et la fidélité de sa clientèle, il manque d'une stratégie claire.
Mais surtout, faiblesse pernicieuse mais rédhibitoire pour qui veut placer son argent : il ne jouit pas d’un tour de table serein. « Cela fragilise la société, » explique notre spécialiste des dossiers industriels du tourisme.
Pour trouver de l’argent, (si FRAM en avait besoin,) « l'entreprise aurait 4 solutions, « 1) fusionner avec d’autres entreprises; 2) chercher un fond de « private equity » (investissement hors bourse); 3) se développer par croissance externe; 4) adapter ses projets à ses capacités d’autofinancement. »