Des TO dos au mur
« Thomas Cook, par exemple, s’installe en Russie… la France ne l’intéresse presque plus, car pour lui, la consolidation y est quasiment faite et le rendement qu’il pourrait tirer du rachat d’un tour opérateur ne pèse pas assez face au potentiel de croissance chinois, russe ou indien »
Sauf peut-être s’il s’agit d’un « hyper-spécialiste » à forte valeur ajoutée, concède-t-il en tempérant cependant ces propos.
On ressort de ces entretiens avec le sentiment que les Tour opérateurs français ont le dos au mur.
Ceux qui n'ont ni la taille critique ni les fonds propres pour grandir ou tenir face aux aléas conjoncturels, devront se débrouiller seuls.
A bon entendeur...
Sauf peut-être s’il s’agit d’un « hyper-spécialiste » à forte valeur ajoutée, concède-t-il en tempérant cependant ces propos.
On ressort de ces entretiens avec le sentiment que les Tour opérateurs français ont le dos au mur.
Ceux qui n'ont ni la taille critique ni les fonds propres pour grandir ou tenir face aux aléas conjoncturels, devront se débrouiller seuls.
A bon entendeur...