Mayotte est une destination très jeune face à Maurice, aux Seychelles ou encore à la Réunion - DR
La plongée sous-marine est l’une des principales attractions de l’île de Mayotte.
Sur les 53 000 visiteurs qu’elle a reçu l’an passé, près de 40% sont venus pour découvrir les merveilles aquatiques de son immense lagon.
D’une superficie de 1500 km2, c’est le plus grand de l’océan Indien.
Véritable aquarium à ciel ouvert, il abrite 310 espèces de coraux, 22 mammifères marins dont les fameux dugongs, 750 espèces de poissons et trois types de récifs.
Afin de protéger et de mieux comprendre ce patrimoine, le lagon a été déclaré parc naturel marin le 18 janvier 2010. Un statut qui lui permettra de protéger son fragile équilibre naturel de toute dégradation humaine.
Sur les 53 000 visiteurs qu’elle a reçu l’an passé, près de 40% sont venus pour découvrir les merveilles aquatiques de son immense lagon.
D’une superficie de 1500 km2, c’est le plus grand de l’océan Indien.
Véritable aquarium à ciel ouvert, il abrite 310 espèces de coraux, 22 mammifères marins dont les fameux dugongs, 750 espèces de poissons et trois types de récifs.
Afin de protéger et de mieux comprendre ce patrimoine, le lagon a été déclaré parc naturel marin le 18 janvier 2010. Un statut qui lui permettra de protéger son fragile équilibre naturel de toute dégradation humaine.
Manque de lits
Mayotte est une destination très jeune face à Maurice, aux Seychelles ou encore à la Réunion. Elle espère ainsi profiter du concept des Iles Vanilles pour développer son marché touristique.
« Nous souhaitons notamment nous appuyer sur l’expérience de La Réunion car nous accueillons la même clientèle » explique Abdou Rastami, le président du CDT.
Son budget communication de 1,6M€ va certainement doubler l’an prochain pour couvrir diverses campagnes et participations aux salons.
Mais le principal frein au développement de la destination, ce sont ses capacités hôtelières bien limitées. Il n’existe en effet que 1016 lits répartis entre des petits hôtels et chambres d’hôtes. Des appels à projets ont été lancés sur trois sites, avec notamment la chaîne Hilton, mais ils n’aboutiront pas avant 2014.
La fréquentation reste donc confidentielle. 45% des touristes sont des Métropolitains et 44% des Réunionnais. Les autorités lorgnent sur la clientèle sud-africaine et mauricienne, mais les problèmes de visas limitent tout développement sur cet axe.
Le 101e département français va donc certainement rester pour quelques années encore une destination totalement préservée.
« Nous souhaitons notamment nous appuyer sur l’expérience de La Réunion car nous accueillons la même clientèle » explique Abdou Rastami, le président du CDT.
Son budget communication de 1,6M€ va certainement doubler l’an prochain pour couvrir diverses campagnes et participations aux salons.
Mais le principal frein au développement de la destination, ce sont ses capacités hôtelières bien limitées. Il n’existe en effet que 1016 lits répartis entre des petits hôtels et chambres d’hôtes. Des appels à projets ont été lancés sur trois sites, avec notamment la chaîne Hilton, mais ils n’aboutiront pas avant 2014.
La fréquentation reste donc confidentielle. 45% des touristes sont des Métropolitains et 44% des Réunionnais. Les autorités lorgnent sur la clientèle sud-africaine et mauricienne, mais les problèmes de visas limitent tout développement sur cet axe.
Le 101e département français va donc certainement rester pour quelques années encore une destination totalement préservée.
Consultez le Manuel des Ventes voyages à Mayotte