Dans un an, la SBM engagera simultanément deux chantiers très importants avec la reconstruction du Sporting d’Hiver et la restructuration ainsi que l’extension de l’Hôtel de Paris. La Place du Casino, cœur névralgique de Monte Carlo, va donc être en chantier pour quelques années.
L’architecte Richard Rogers supervisera la démolition du bâtiment Art déco qui laissera la place à quatre immeubles de verre. De son côté, l’hôtel de Paris devra être restructuré et étendu sur sa partie Ouest pour près de 250 millions d'euros.
Reste à financer près de 600 millions d'euros de travaux. Les fonds propres n’étant pas suffisants trois sources solutions sont à l’étude. Soit l’augmentation de la dette via un emprunt bancaire, la cession d’actifs ou l’augmentation de capital avec l’entrée d’un nouvel actionnaire apportant les fonds nécessaires.
On pense ainsi à la montée en puissance du Qatar qui, avec 5 % du capital de la SBM, est déjà le deuxième plus gros actionnaire derrière l’Etat monégasque (69 %).
Il y a quelques années, le gouvernement monégasque avait d’ailleurs bloqué un projet d’augmentation du capital via l’entrée à hauteur de 30% d’un groupe qatari.
La SBM étudie d’autres solutions comme une dette hypothécaire en donnant en garantie en actif la résidence du Balmoral ou l’émission d’obligation sur la place financière monégasque.
Elle pourrait également envisager la cession de la résidence du Balmoral dont la valeur est estimée entre 250 et 300 millions d'euros, soit 50 % des investissements envisagés.
La SBM pourrait encore vendre à sa livraison l'un des 4 immeubles qui doivent remplacer le sporting d’hiver. Mais la direction penche pour l’emprunt sachant que la valeur des biens construits sera à terme le triple de la dette supplémentaire .
L’architecte Richard Rogers supervisera la démolition du bâtiment Art déco qui laissera la place à quatre immeubles de verre. De son côté, l’hôtel de Paris devra être restructuré et étendu sur sa partie Ouest pour près de 250 millions d'euros.
Reste à financer près de 600 millions d'euros de travaux. Les fonds propres n’étant pas suffisants trois sources solutions sont à l’étude. Soit l’augmentation de la dette via un emprunt bancaire, la cession d’actifs ou l’augmentation de capital avec l’entrée d’un nouvel actionnaire apportant les fonds nécessaires.
On pense ainsi à la montée en puissance du Qatar qui, avec 5 % du capital de la SBM, est déjà le deuxième plus gros actionnaire derrière l’Etat monégasque (69 %).
Il y a quelques années, le gouvernement monégasque avait d’ailleurs bloqué un projet d’augmentation du capital via l’entrée à hauteur de 30% d’un groupe qatari.
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Elle pourrait également envisager la cession de la résidence du Balmoral dont la valeur est estimée entre 250 et 300 millions d'euros, soit 50 % des investissements envisagés.
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