Après le bleu de ses lagons, Tahiti mise sur le vert de ses greens
Partant du constat que le golf est aujourd'hui un produit touristique indispensable, attirant des touristes à haut niveau de revenus, ce projet, longtemps resté dans les tiroirs, voit enfin le jour.
" Tous les pays qui veulent développer un tourisme sélectif font des golfs" estime Jean-Louis Gregori, investisseur et à la tête de la société "Gregori International" spécialisée dans la réalisation de golfs.
"Il faut que la Polynésie devienne une destination golf"
Arguant du fait que la Polynésie n'est pas très loin d'Hawaii et que les Etats-Unis comptent environ 36 millions de licenciés, pour Jean-Louis Gregori le constat est simple : "Il faut que la Polynésie devienne une destination golf".
Pour cela, les promoteurs ont misé sur un cadre magnifique, une partie du parcours étant situé en bord de lagon avant de rejoindre la montagne, avec en point d'orgue, un "trou signature" se situant à environ 70m d'altitude. Un hôtel 5 étoiles, comportant de 100 à 150 chambres, ainsi qu'une résidence hôtelière et des villas sont prévus pour le début de l'année 2008. Le tout pour un investissement de 10 milliards de Fcfp, golf compris.
Une partie du parcours sera situé en bord de lagon
Pour sa part, Teva Rohfritsch, ministre de l'Economie et du Tourisme estime que Moorea, destination touristique par excellence, ne peut tirer que des bénéfices de ce golf, tant au niveau emploi, qu'environnemental.
D'une superficie de 50 hectares, ce golf sera édifié en grande partie sur une zone marécageuse (environ 38 hectares), ce qui aura comme conséquence de rendre salubre et donner une plus value aux terrains jouxtant le projet.
Une étude d'impact sur l'environnement a été réalisée et selon les promoteurs, l'on note une renaissance de la faune à chaque endroit où un golf est édifié.
Concernant le problème de l'eau, qui est récurrent à Moorea, Teva Rohfritsch tient à préciser qu'en aucun cas, le système d'arrosage du golf sera branché sur le réseau d'adduction d'eau de Moorea.
Selon Jean-Louis Gregori, " il y a des résurgences d'eau dans le sous-sol et de plus l'eau sera récupérée en bas du bassin versant et sera drainée vers des lacs artificiels, donc le golf sera totalement autonome en matière d'arrosage".
PB (TahitiPresse) - redaction@tourmag.com
" Tous les pays qui veulent développer un tourisme sélectif font des golfs" estime Jean-Louis Gregori, investisseur et à la tête de la société "Gregori International" spécialisée dans la réalisation de golfs.
"Il faut que la Polynésie devienne une destination golf"
Arguant du fait que la Polynésie n'est pas très loin d'Hawaii et que les Etats-Unis comptent environ 36 millions de licenciés, pour Jean-Louis Gregori le constat est simple : "Il faut que la Polynésie devienne une destination golf".
Pour cela, les promoteurs ont misé sur un cadre magnifique, une partie du parcours étant situé en bord de lagon avant de rejoindre la montagne, avec en point d'orgue, un "trou signature" se situant à environ 70m d'altitude. Un hôtel 5 étoiles, comportant de 100 à 150 chambres, ainsi qu'une résidence hôtelière et des villas sont prévus pour le début de l'année 2008. Le tout pour un investissement de 10 milliards de Fcfp, golf compris.
Une partie du parcours sera situé en bord de lagon
Pour sa part, Teva Rohfritsch, ministre de l'Economie et du Tourisme estime que Moorea, destination touristique par excellence, ne peut tirer que des bénéfices de ce golf, tant au niveau emploi, qu'environnemental.
D'une superficie de 50 hectares, ce golf sera édifié en grande partie sur une zone marécageuse (environ 38 hectares), ce qui aura comme conséquence de rendre salubre et donner une plus value aux terrains jouxtant le projet.
Une étude d'impact sur l'environnement a été réalisée et selon les promoteurs, l'on note une renaissance de la faune à chaque endroit où un golf est édifié.
Concernant le problème de l'eau, qui est récurrent à Moorea, Teva Rohfritsch tient à préciser qu'en aucun cas, le système d'arrosage du golf sera branché sur le réseau d'adduction d'eau de Moorea.
Selon Jean-Louis Gregori, " il y a des résurgences d'eau dans le sous-sol et de plus l'eau sera récupérée en bas du bassin versant et sera drainée vers des lacs artificiels, donc le golf sera totalement autonome en matière d'arrosage".
PB (TahitiPresse) - redaction@tourmag.com