Le SNAV fera connaître cette semaine si les négociations paritaires entreprises entre la commission des affaires sociales présidée par Guy Besnard et les différents syndicats employés ont abouti à un accord sur l’augmentation annuelle des salaires.
Les représentants syndicaux avaient initialement jusqu’à vendredi dernier, 2 mars, pour faire connaître leurs décisions mais Guy Besnard, contacté brièvement, a laissé entendre que le délai était repoussé.
Le SNAV a proposé une revalorisation de 2,4% du niveau A sur la base de 35 heures hebdomadaires, collant ainsi à l’indice INSEE de l’inflation pour 2011 et le maintien des écarts actuels entre les différents niveaux définis par la convention collective.
Les représentants syndicaux avaient initialement jusqu’à vendredi dernier, 2 mars, pour faire connaître leurs décisions mais Guy Besnard, contacté brièvement, a laissé entendre que le délai était repoussé.
Le SNAV a proposé une revalorisation de 2,4% du niveau A sur la base de 35 heures hebdomadaires, collant ainsi à l’indice INSEE de l’inflation pour 2011 et le maintien des écarts actuels entre les différents niveaux définis par la convention collective.
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Une proposition jugée insuffisante par certains représentants syndicaux.
Ce qui est certain, à l’heure où nous bouclons, c’est que la CFDT est bien signataire de l’accord comme nous l‘a confirmé son représentant, Christophe Dez.
Il suffirait alors qu’un second syndicat représentatif le paraphe également pour que le texte soit validé.
Dans le cas contraire, le SNAV pourrait toujours « recommander » à ses membres d’appliquer le nouveau barème, comme cela s’est déjà produit à maintes reprises par le passé.
Mais les entreprises auraient alors le libre choix de suivre cette recommandation ou pas.
Ce qui est certain, à l’heure où nous bouclons, c’est que la CFDT est bien signataire de l’accord comme nous l‘a confirmé son représentant, Christophe Dez.
Il suffirait alors qu’un second syndicat représentatif le paraphe également pour que le texte soit validé.
Dans le cas contraire, le SNAV pourrait toujours « recommander » à ses membres d’appliquer le nouveau barème, comme cela s’est déjà produit à maintes reprises par le passé.
Mais les entreprises auraient alors le libre choix de suivre cette recommandation ou pas.