Avec CityJet, Air France veut contrecarrer les low cost (Flybaboo et easyJet) qui desservent Genève
Air France revient de façon plus agressive sur la ligne Nice-Genève avec l’aide de sa filiale CityJet et bien sûr des tarifs suffisamment attractifs pour contrecarrer les low cost (Flybaboo et easyJet).
Ces dernières devant l’absence d’Air France ont, progressivement, capté les passagers sur cette ligne qu’elle avait quitté en 2000. A compter du 5 mai, la compagnie proposera un vol quotidien Nice - Genève avec un prix d’appel à 38 euros l’aller simple.
Normal, Genève fait partie des 4 principales destinations ayant connu la plus forte fréquentation à Nice en 2007. Ce sont 140 000 passagers, souvent à haut pouvoir d’achat, qui l’empruntent.
Ces dernières devant l’absence d’Air France ont, progressivement, capté les passagers sur cette ligne qu’elle avait quitté en 2000. A compter du 5 mai, la compagnie proposera un vol quotidien Nice - Genève avec un prix d’appel à 38 euros l’aller simple.
Normal, Genève fait partie des 4 principales destinations ayant connu la plus forte fréquentation à Nice en 2007. Ce sont 140 000 passagers, souvent à haut pouvoir d’achat, qui l’empruntent.
un vol quotidien à compter du 5 mai prochain
L’aéroport de Genève, en fort développement depuis quelques années, est 29e aéroport européen, avec un total de 10,8 millions de passagers en 2007 soit à peu près le trafic de l’aéroport Nice Côte d'Azur.
Mais au-delà le retour d’Air France sur Nice Genève comme sur Nice Londres en 2007 illustre un infléchissement de la politique de la compagnie tricolore.
Elle avait supprimé progressivement au départ de Nice toutes liaison européennes laissant le champ libre aux compagnies étrangères et notamment low cost qui gèrent désormais plus de 60 % du trafic du premier aéroport de province.
AF-KLM entend bien récupérer une partie du trafic en ouvrant au départ de Nice des liaisons européennes alors qu’auparavant elle misait sur son hub de Lyon.
Mais les azuréens et les étrangers ne jurent désormais que sur le point à point et si possible avec des tarifs attractifs...
Mais au-delà le retour d’Air France sur Nice Genève comme sur Nice Londres en 2007 illustre un infléchissement de la politique de la compagnie tricolore.
Elle avait supprimé progressivement au départ de Nice toutes liaison européennes laissant le champ libre aux compagnies étrangères et notamment low cost qui gèrent désormais plus de 60 % du trafic du premier aéroport de province.
AF-KLM entend bien récupérer une partie du trafic en ouvrant au départ de Nice des liaisons européennes alors qu’auparavant elle misait sur son hub de Lyon.
Mais les azuréens et les étrangers ne jurent désormais que sur le point à point et si possible avec des tarifs attractifs...