Il devra dresser un état des lieux, cibler la volonté des communes. « Il faut replacer Nice, et son agglomération, comme ville phare du tourisme », annonce Denis Zénon, directeur de l’office de tourisme et des congrès de Nice.
Même si l’office de tourisme de Nice avec 60 personnes et un budget de 13 M€ (dont la moitié affectée au carnaval) est le second de France après Paris, ses moyens de promotion restent modestes par rapport aux destinations européennes concurrentes ( Barcelone, Budapest, Milan, Amserdam….).
La mutualisation se fera au niveau de la promotion, car chacune des communes composant l’agglomération ne peut se dispenser de supprimer son office de tourisme qui joue également un rôle d’accueil de proximité.
Parallèlement la ville engage une politique visant à créer un périmètre d’excellence touristique dans le centre-ville, le Vieux Nice et autour des places Garibaldi, Masséna mais aussi le port et la Promenade. Dans ce périmètre, les espaces verts, la signalisation, l’aménagement des terrasses devront répondre à une charte de qualité.
L’office veut également mieux situer l’image de Nice qui est d’abord une grande ville avec une vie culturelle, universitaire et un patrimoine historique important.
Même si l’office de tourisme de Nice avec 60 personnes et un budget de 13 M€ (dont la moitié affectée au carnaval) est le second de France après Paris, ses moyens de promotion restent modestes par rapport aux destinations européennes concurrentes ( Barcelone, Budapest, Milan, Amserdam….).
La mutualisation se fera au niveau de la promotion, car chacune des communes composant l’agglomération ne peut se dispenser de supprimer son office de tourisme qui joue également un rôle d’accueil de proximité.
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