Nouvelle-Zélande : les "navires de croisières chassés" du pays ?

La Nouvelle-Zélande passe aux actes.

Alors que la taxe de séjour a quasi triplé, ce 1er octobre,. passant de 35 à 100 dollars (néo-zélandais, donc de 20 à 56 euros) le gouvernement poursuit son offensive sur le tourisme.

Cette fois-ci ce sont les croisiéristes qui devront passer à la caisse.

L'augmentation des frais de traitement aux frontières va frapper les passagers des bateaux de croisière dès décembre, puisqu'ils vont passer de 16 dollars néo-zélandais (9 euros) à 27 dollars (15 euros).

Cela représente 1,6 million d’euros supplémentaires pour les compagnies de croisière cette saison, selon l’association de la croisière de Nouvelle-Zélande, cité par Seatrade Cruise.

"Le directeur général de la Cruise Lines International Association Australasia, Joel Katz, a averti que les navires de croisière internationaux étaient chassés de Nouvelle-Zélande," affirme même le média.

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Les conséquences n'ont pas attendu à se faire ressentir.

899 escales sont prévues cette saison avec l’accueil de plus de 279 000 passagers et 119 000 membres d'équipage sur 46 navires. Une réduction de 20 % par rapport à la saison 2023-24.

L'évaluation de l'impact économique des croisières en « Australasie » pour 2023-24 est en cours de finalisation et devrait être publiée d'ici la fin du mois.

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