Dans le cadre de la compétition boursière autour de la prise de contrôle du Club Med, des articles auraient été publiés sous de fausses identités sur plusieurs sites internet afin d'influencer les marchés, révèle le Journal du Net.
Il cite notamment l'exemple d'un papier publié sur cette même plateforme. Il est signé par « Marc Fortin » présenté comme un analyste financier travaillant pour la société MFR Business. Dans sa chronique, il s'attache à démonter l'offre établie par l'investisseur italien Andrea Bonomi.
Un compte Twitter, un CV sur le réseau professionnel Linkedin et un profil Google + ont même été créés pour renforcer la crédibilité du prétendu spécialiste. Le Journal du Net a également repéré d'autres chroniques à charge contre l'Italien suspectes dans Les Echos et sur Médiapart.
Le journal en ligne spécialisé a remonté la piste en partant de l'adresse IP utilisé pour lui soumettre l'article litigieux. Elle mène à deux sociétés. Parmi elles, iStrat se présente, sur son site Internet, comme spécialiste de la « coloration de l'information » accessible au public.
Ses dirigeants nient être à l'origine de telles pratiques. Le Journal du Net n'est donc pas en mesure d'accuser directement l'entreprise mais fait tout de même part de ses forts soupçons.
Il rappelle d'ailleurs que l'usurpation d'identité est punie d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros par l'article 226-4-1 du Code pénal. Le faux et l'usage de faux sont, eux, sanctionnés, par 3 ans d'emprisonnement et 45 000 d'amende comme le prévoit l'article 441-1 du même Code.
De con côté, l'Autorité des Marchés Financiers (AMF) interdit formellement la diffusion de fausses informations dans l'article 632-1 de son Règlement général.
Il cite notamment l'exemple d'un papier publié sur cette même plateforme. Il est signé par « Marc Fortin » présenté comme un analyste financier travaillant pour la société MFR Business. Dans sa chronique, il s'attache à démonter l'offre établie par l'investisseur italien Andrea Bonomi.
Un compte Twitter, un CV sur le réseau professionnel Linkedin et un profil Google + ont même été créés pour renforcer la crédibilité du prétendu spécialiste. Le Journal du Net a également repéré d'autres chroniques à charge contre l'Italien suspectes dans Les Echos et sur Médiapart.
Le journal en ligne spécialisé a remonté la piste en partant de l'adresse IP utilisé pour lui soumettre l'article litigieux. Elle mène à deux sociétés. Parmi elles, iStrat se présente, sur son site Internet, comme spécialiste de la « coloration de l'information » accessible au public.
Ses dirigeants nient être à l'origine de telles pratiques. Le Journal du Net n'est donc pas en mesure d'accuser directement l'entreprise mais fait tout de même part de ses forts soupçons.
Il rappelle d'ailleurs que l'usurpation d'identité est punie d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros par l'article 226-4-1 du Code pénal. Le faux et l'usage de faux sont, eux, sanctionnés, par 3 ans d'emprisonnement et 45 000 d'amende comme le prévoit l'article 441-1 du même Code.
De con côté, l'Autorité des Marchés Financiers (AMF) interdit formellement la diffusion de fausses informations dans l'article 632-1 de son Règlement général.
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