Jean-Louis Borloo a présenté les conclusions des réunions d’Eurocontrol et des Ministres chargés des transports qui se sont tenues aujourd’hui au niveau européen.
Sur proposition de la France, il a été convenu de distinguer une zone interdite à la circulation, fixée par Eurocontrol, et correspondant à la zone de plus forte concentration des particules et des zones de précaution définies au niveau de chaque Etat, dans lesquelles le trafic aérien sera autorisé sous certaines conditions et avec un encadrement et un contrôle spécifique visant à assurer toutes les garanties de sécurité pour les passagers.
Le territoire français serait concerné par ces zones de précaution, ce qui signifie que la réouverture de l’ensemble des aéroports va être progressivement engagée.
Sur proposition de la France, il a été convenu de distinguer une zone interdite à la circulation, fixée par Eurocontrol, et correspondant à la zone de plus forte concentration des particules et des zones de précaution définies au niveau de chaque Etat, dans lesquelles le trafic aérien sera autorisé sous certaines conditions et avec un encadrement et un contrôle spécifique visant à assurer toutes les garanties de sécurité pour les passagers.
Le territoire français serait concerné par ces zones de précaution, ce qui signifie que la réouverture de l’ensemble des aéroports va être progressivement engagée.
Réouverture partielle des aéroports au nord de la ligne Nantes-Nice
En coordination avec nos partenaires européens et au vu des derniers vols tests effectués sous le contrôle de la DGAC, les décisions suivantes ont été prises :
Une réouverture partielle des aéroports au nord de la ligne Nantes – Nice, qui permettra une reprise progressive du trafic.
Des corridors aériens seront ouverts entre Paris et les aéroports du sud, notamment Bordeaux-Paris, Toulouse-Paris, Marseille-Paris, Nice-Paris, dès mardi 20 avril au matin, 8h00 (heure locale).
Les aéroports au sud de cette ligne, Nantes compris, vont demeurer ouverts. L’aéroport de Lyon vient d'ouvrir ses portes ce soir.
Le maintien de l’ouverture des aéroports du sud et l’ouverture des corridors aériens permettront de réacheminer le plus grand nombre possible de passagers en provenance de l’étranger, et de reprogrammer des vols vers l’étranger au départ de Paris.
Les passagers doivent préalablement contacter leur compagnie aérienne ou leur agence de voyages avant de se rendre dans les aéroports.
La cellule de crise, mise en place sous l’autorité de Jean-Louis Borloo et de Dominique Bussereau, continue à coordonner l’action en matière de transports, et assure la mobilisation des capacités ferroviaires, terrestres et maritimes nécessaires.
Christine Lagarde et Hervé Novelli réuniront dès mardi les représentants des compagnies aériennes et des tours opérateurs pour évaluer l’impact de l’interruption du trafic aérien pour ces secteurs.
Une réouverture partielle des aéroports au nord de la ligne Nantes – Nice, qui permettra une reprise progressive du trafic.
Des corridors aériens seront ouverts entre Paris et les aéroports du sud, notamment Bordeaux-Paris, Toulouse-Paris, Marseille-Paris, Nice-Paris, dès mardi 20 avril au matin, 8h00 (heure locale).
Les aéroports au sud de cette ligne, Nantes compris, vont demeurer ouverts. L’aéroport de Lyon vient d'ouvrir ses portes ce soir.
Le maintien de l’ouverture des aéroports du sud et l’ouverture des corridors aériens permettront de réacheminer le plus grand nombre possible de passagers en provenance de l’étranger, et de reprogrammer des vols vers l’étranger au départ de Paris.
Les passagers doivent préalablement contacter leur compagnie aérienne ou leur agence de voyages avant de se rendre dans les aéroports.
La cellule de crise, mise en place sous l’autorité de Jean-Louis Borloo et de Dominique Bussereau, continue à coordonner l’action en matière de transports, et assure la mobilisation des capacités ferroviaires, terrestres et maritimes nécessaires.
Christine Lagarde et Hervé Novelli réuniront dès mardi les représentants des compagnies aériennes et des tours opérateurs pour évaluer l’impact de l’interruption du trafic aérien pour ces secteurs.