
Le moteur endommagé sera analysé afin de connaître les raisons de sa dislocation partielle - Crédit photo : BEA
Le 30 septembre 2017, un A380 affrété par Air France se posait d'urgence au Canada, la raison : une avarie d'un des 4 moteurs de l'appareil.
Quasiment deux mois plus tard, un Antonov va prendre les airs avec à son bord un nouveau moteur, afin de permettre à l'A380 d'effectuer son vol retour entre l'aéroport militaire de Goose Bay et celui de Paris.
"Cet incident est placé sous la responsabilité d'une enquête menée conjointement par le BEA et le constructeur, tout ce qui concerne le rapatriement du moteur concerne le fournisseur de la mécanique,"à savoir Engine Alliance, nous informe la compagnie française. Du côté d'Airbus, personne n'est au courant de l'échange de moteurs.
L'opération doit permettre de rééquilibrer l'avion, qui disposera donc de quatre moteurs, comme à l'accoutumée.
L'appareil pourra par la suite reprendre sa route habituelle à partir du mois de janvier 2018, quant au moteur il sera rapatrié pour être analysé dans l'usine de General Electric à Cardiff.
Quasiment deux mois plus tard, un Antonov va prendre les airs avec à son bord un nouveau moteur, afin de permettre à l'A380 d'effectuer son vol retour entre l'aéroport militaire de Goose Bay et celui de Paris.
"Cet incident est placé sous la responsabilité d'une enquête menée conjointement par le BEA et le constructeur, tout ce qui concerne le rapatriement du moteur concerne le fournisseur de la mécanique,"à savoir Engine Alliance, nous informe la compagnie française. Du côté d'Airbus, personne n'est au courant de l'échange de moteurs.
L'opération doit permettre de rééquilibrer l'avion, qui disposera donc de quatre moteurs, comme à l'accoutumée.
L'appareil pourra par la suite reprendre sa route habituelle à partir du mois de janvier 2018, quant au moteur il sera rapatrié pour être analysé dans l'usine de General Electric à Cardiff.
Autres articles
-
Air France renforce sa lutte contre les violences sexuelles
-
Air France - KLM : désormais, vos Miles payent aussi vos billets de train !
-
Air France : une nouvelle option payante pour les tarifs light !
-
Air Antilles met la pression sur Air France et Corsair !
-
Air France et KLM suspendent (temporairement) Zanzibar en 2025