Pour ce faire, le voyagiste adopte une stratégie expansive auprès des agences de voyages ainsi qu’une diversification de sa production. Désormais, aux voyages de groupes et autres G.I.R., viendront s’ajouter des produits “pré-formatés“ pour les clients individuels.
C’est ainsi que pour la saison été, le voyagiste ouvre son catalogue à des produits plus standardisés et prend des engagements aériens sur des destinations comme Dubrovnik (100 à 150 sièges), ainsi que Prague, Budapest et Saint-Peterbourg (3000 sièges pour les week-ends de ponts).
Mais Sept-et-demi entend bien conserver les critères de qualité qui lui sont reconnus. À l’image de Dominique Friedman, Directeur Général, qui insiste clairement sur ce point : “Nous excluons toute idée de mass-market“. Mais la volonté de se rapprocher des agences est bel et bien présente.
À l’image des commerciaux , qui sont désormais au nombre de trois, respectivement pour l’Île-de-France, le grand-ouest, et le sud-est. L’objectif étant de réduire la part de “voyage sur mesure“, jusque-là cheval de bataille du TO, à seulement 50 % du chiffre d’affaires.
Exit le catalogue papier, voici venir la brochure en ligne
Mais l’autre nouveauté notable est la disparition du catalogue papier, pour un catalogue en ligne. Les agences de voyages pourront, après inscription on-line, y consulter la production ainsi que les tarifs du voyagiste.
En termes de destinations, la production reste principalement centrée sur l’Europe de l’Est et la Scandinavie (depuis le rachat de Norvista), même si des ouvertures sur l’Irlande ou les Pays Baltes ne sont pas à exclure. Arrivée également de la Croatie, destination incontournable de la saison, où le TO propose, pour 460 euros, un séjour à l’hôtel Bon repos 3*, sur l’île de Korcula.
Pour 2005, Sept-et-demi / Norvista espère conforter son positionnement sur la Laponie par la biais d’accords avec Finnair , ainsi que sur la Croatie où il envisage une production plus originale comme des croisières en goélettes, ou des combinés avec le Montenegro ou la Slovénie.
Mais pour les voyagistes français, arrivés assez tard sur la destination, la difficulté du marché croate reste l’insuffisance de l’hébergement, qui a du mal à se développer faute de réelle volonté politique locale.
C’est ainsi que pour la saison été, le voyagiste ouvre son catalogue à des produits plus standardisés et prend des engagements aériens sur des destinations comme Dubrovnik (100 à 150 sièges), ainsi que Prague, Budapest et Saint-Peterbourg (3000 sièges pour les week-ends de ponts).
Mais Sept-et-demi entend bien conserver les critères de qualité qui lui sont reconnus. À l’image de Dominique Friedman, Directeur Général, qui insiste clairement sur ce point : “Nous excluons toute idée de mass-market“. Mais la volonté de se rapprocher des agences est bel et bien présente.
À l’image des commerciaux , qui sont désormais au nombre de trois, respectivement pour l’Île-de-France, le grand-ouest, et le sud-est. L’objectif étant de réduire la part de “voyage sur mesure“, jusque-là cheval de bataille du TO, à seulement 50 % du chiffre d’affaires.
Exit le catalogue papier, voici venir la brochure en ligne
Mais l’autre nouveauté notable est la disparition du catalogue papier, pour un catalogue en ligne. Les agences de voyages pourront, après inscription on-line, y consulter la production ainsi que les tarifs du voyagiste.
En termes de destinations, la production reste principalement centrée sur l’Europe de l’Est et la Scandinavie (depuis le rachat de Norvista), même si des ouvertures sur l’Irlande ou les Pays Baltes ne sont pas à exclure. Arrivée également de la Croatie, destination incontournable de la saison, où le TO propose, pour 460 euros, un séjour à l’hôtel Bon repos 3*, sur l’île de Korcula.
Pour 2005, Sept-et-demi / Norvista espère conforter son positionnement sur la Laponie par la biais d’accords avec Finnair , ainsi que sur la Croatie où il envisage une production plus originale comme des croisières en goélettes, ou des combinés avec le Montenegro ou la Slovénie.
Mais pour les voyagistes français, arrivés assez tard sur la destination, la difficulté du marché croate reste l’insuffisance de l’hébergement, qui a du mal à se développer faute de réelle volonté politique locale.