Le tribunal de Grosseto, en Toscane, a prononcé cinq condamnations dans l'affaire du naufrage du Costa Concordia, samedi 20 juillet 2013, selon Reuters.
"Le responsable de la gestion des crises au sein de Costa Croisières, Roberto Ferrarini, a été condamné à 34 mois de prison, la peine la plus lourde, et le directeur des services hôteliers du navire, Manrico Giampedroni, à 30 mois".
Trois autres membres d'équipage ont été condamnés, "à l'issue d'une procédure négociée, les accusés ayant plaidé coupables d'homicides involontaires et de négligences".
"Aucun des cinq condamnés de samedi ne devrait aller en prison - les peines inférieures à 24 mois sont automatiquement assorties du sursis et les autres peuvent faire l'objet d'appel ou être remplacées par des travaux d'intérêt collectif", précise l'agence de presse.
En attendant la suite du procès, Francesco Schettino, le capitaine du navire, poursuivi pour homicides involontaires et abandon de poste, "voudrait lui aussi plaider coupable dans le cadre d'une procédure négociée en échange d'une peine de prison réduite".
Le tribunal n'a pas encore rendu sa décision sur cette demande et les audiences ont été suspendues jusqu'en septembre.
"Le responsable de la gestion des crises au sein de Costa Croisières, Roberto Ferrarini, a été condamné à 34 mois de prison, la peine la plus lourde, et le directeur des services hôteliers du navire, Manrico Giampedroni, à 30 mois".
Trois autres membres d'équipage ont été condamnés, "à l'issue d'une procédure négociée, les accusés ayant plaidé coupables d'homicides involontaires et de négligences".
"Aucun des cinq condamnés de samedi ne devrait aller en prison - les peines inférieures à 24 mois sont automatiquement assorties du sursis et les autres peuvent faire l'objet d'appel ou être remplacées par des travaux d'intérêt collectif", précise l'agence de presse.
En attendant la suite du procès, Francesco Schettino, le capitaine du navire, poursuivi pour homicides involontaires et abandon de poste, "voudrait lui aussi plaider coupable dans le cadre d'une procédure négociée en échange d'une peine de prison réduite".
Le tribunal n'a pas encore rendu sa décision sur cette demande et les audiences ont été suspendues jusqu'en septembre.