Rossiya, dont l’essentiel du capital est détenu par Aeroflot, aurait été choisie, dans le cadre de la libéralisation du trafic aérien avec la France, comme seconde compagnie russe pour assurer la liaison Moscou-Nice.
Cette compagnie assure déjà cinq fois par semaine une liaison Nice -Saint-Pétersbourg.
Cette décision semble avoir surpris Transaero, également candidat à l’exploitation du Nice-Moscou assurée pour l’instant par Aeroflot en partage de code avec Air France.
Aeroflot avait déposé en mai une demande pour augmenter ses fréquences sur la ligne Nice-Moscou de 17 à 24 vols hebdomadaires. Reste que le capital de Rossiya étant détenu à 75 % par Aeroflot, Transareao met en doute l’ouverture à la concurrence de la ligne.
En attendant le client espère que cette rivalité fasse baisser les prix, un aller-retour Moscou-Nice, pour son tarif le moins cher, s’élève à 487 euros.
Et la compétition pourrait le faire baisser de 15à 20%.
Cette compagnie assure déjà cinq fois par semaine une liaison Nice -Saint-Pétersbourg.
Cette décision semble avoir surpris Transaero, également candidat à l’exploitation du Nice-Moscou assurée pour l’instant par Aeroflot en partage de code avec Air France.
Aeroflot avait déposé en mai une demande pour augmenter ses fréquences sur la ligne Nice-Moscou de 17 à 24 vols hebdomadaires. Reste que le capital de Rossiya étant détenu à 75 % par Aeroflot, Transareao met en doute l’ouverture à la concurrence de la ligne.
En attendant le client espère que cette rivalité fasse baisser les prix, un aller-retour Moscou-Nice, pour son tarif le moins cher, s’élève à 487 euros.
Et la compétition pourrait le faire baisser de 15à 20%.
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