Ryanair rembourse les subventions illégales dues aux aéroports de Charente - Crédit photo : Ryanair
Fait rarissime, jeudi 8 novembre 2018, la Direction générale de l'Aviation civile a demandé la saisie d'un Boeing 737 de Ryanair, à l'aéroport de Bordeaux, obligeant les passagers à débarquer de l'appareil.
La raison de l'opération ? La demande de remboursement, de la part des autorités françaises, d'aides "qui ont été jugées illégales par la Commission européenne par décision du 23 juillet 2014" précise la DGAC.
Face à cette mauvaise publicité, la compagnie low cost s'est acquittée de 524 907 euros, sur les 525 585,05 € restants, faisant par la même occasion un pied-de-nez à la justice en ne remboursant pas la totalité. Ryanair payant, le transporteur irlandais pouvait récupérer l'appareil immobilisé.
Et la DGAC de se féliciter de la nouvelle : «l’État réaffirme par cet acte sa volonté de garantir les conditions d’une concurrence loyale entre les compagnies aériennes et entre les aéroports».
La raison de l'opération ? La demande de remboursement, de la part des autorités françaises, d'aides "qui ont été jugées illégales par la Commission européenne par décision du 23 juillet 2014" précise la DGAC.
Face à cette mauvaise publicité, la compagnie low cost s'est acquittée de 524 907 euros, sur les 525 585,05 € restants, faisant par la même occasion un pied-de-nez à la justice en ne remboursant pas la totalité. Ryanair payant, le transporteur irlandais pouvait récupérer l'appareil immobilisé.
Et la DGAC de se féliciter de la nouvelle : «l’État réaffirme par cet acte sa volonté de garantir les conditions d’une concurrence loyale entre les compagnies aériennes et entre les aéroports».
Autres articles
-
Ryanair peut-elle (vraiment) supprimer 50% de son offre en France ? [ABO]
-
Taxe Chirac : Ryanair menace de stopper ses activités dans 10 aéroports français
-
Marina Ferrari ouvre la 10ème édition des Universités du Tourisme durable
-
Incidents en série : mais que se passe-t-il chez Ryanair ?
-
Guerre eDreams ODIGEO vs Ryanair : Un partout, balle au centre !