La monopole de la SNCF connait ses derniers trimestres d'existence. La concurrence prend forme au niveau du rail français, et celle-ci devrait apparaître du côté de l'ouest de la France.
La ministre des Transports a annoncé, mercredi 9 novembre 2019, la publication dans les prochains jours "d'un avis de préinformation pour la mise en concurrence des lignes Intercités Nantes-Bordeaux et Nantes-Lyon" selon le document publié par le gouvernement.
Actuellement exploitées par la SNCF Mobilités, suite à un accord passé avec l'Etat qui a été renouvelé en 2016, le prochain contrat prévoit qu'il n'y aura pas différents opérateurs sur ces deux lignes, mais un seul.
Ainsi, le renouvellement de l'accord passé pour les liaisons Nantes-Bordeaux et Nantes-Lyon prend fin en 2020, ce qui explique sans doute le choix porté par l'Etat.
La ministre des Transports a annoncé, mercredi 9 novembre 2019, la publication dans les prochains jours "d'un avis de préinformation pour la mise en concurrence des lignes Intercités Nantes-Bordeaux et Nantes-Lyon" selon le document publié par le gouvernement.
Actuellement exploitées par la SNCF Mobilités, suite à un accord passé avec l'Etat qui a été renouvelé en 2016, le prochain contrat prévoit qu'il n'y aura pas différents opérateurs sur ces deux lignes, mais un seul.
Ainsi, le renouvellement de l'accord passé pour les liaisons Nantes-Bordeaux et Nantes-Lyon prend fin en 2020, ce qui explique sans doute le choix porté par l'Etat.
Le futur contrat de service public portera sur l'exploitation de ces deux lignes et la future entreprise bénéficiera du matériel roulant mis à disposition par le gouvernement.
Cette première étape doit permettre à l'ensemble "des acteurs intéressés" par l'ouverture à la concurrence d'en être informée, mais n'équivaut pas à un appel d'offres. Ce dernier devant intervenir au minimum 12 mois après l'avis de pré-information.
L'Etat souhaite que l'exploitation débute en 2022.
Cette première étape doit permettre à l'ensemble "des acteurs intéressés" par l'ouverture à la concurrence d'en être informée, mais n'équivaut pas à un appel d'offres. Ce dernier devant intervenir au minimum 12 mois après l'avis de pré-information.
L'Etat souhaite que l'exploitation débute en 2022.