Je rêvais depuis des années de mettre mes pataugas dans les traces des pionniers (Henri Duveyrier, Paul Flatters, Georges Guillo Lohanqui, Charles de Foucauld…) qui ont foulé, pour la première fois, ce fabuleux désert algérien, certainement l’un des plus beaux au monde.
La partie saharienne couvre plus de 80 % de la superficie de l'Algérie, soit environ 2 millions de km2, parsemés de regs, d'ergs, d'oasis et de massifs montagneux.
Mais force est de reconnaître que, jusqu’ici, le rouge vif du site des Conseils aux voyageurs du ministère français des Affaires étrangères, n'incitait guère au départ.
Depuis une dizaine d’années, les dizaines de milliers de voyageurs du monde entier qui arpentaient le Sud algérien, se sont évanouis, découragés par le contexte politique et sécuritaire.
Un désastre pour le tourisme saharien et ses milliers de professionnels, laissés sur le sable. Pour survivre ils ont dû s'adapter et se diversifier, faire le dos rond en attendant que la tempête passe…
Aujourd’hui le ciel se dégage pour le tourisme d’aventure et de randonnée sur les hauts plateaux du Hoggar et le Tassili. Il était temps, car les places au soleil coûtent de plus en plus cher.
Sans compter que le Moyen-Orient et en particulier l’Arabie Saoudite, dépensent des centaines de millions d’euros pour devenir des destinations touristiques à part entière.
En octobre 2022, le ministère des Affaires étrangères a assoupli les conseils aux voyageurs pour l'Algérie : la zone de Djanet, notamment, est passée du rouge à l'orange, ce qui veut dire qu'après 14 ans de fermeture, le Sud algérien est de nouveau accessible aux voyageurs.
La partie saharienne couvre plus de 80 % de la superficie de l'Algérie, soit environ 2 millions de km2, parsemés de regs, d'ergs, d'oasis et de massifs montagneux.
Mais force est de reconnaître que, jusqu’ici, le rouge vif du site des Conseils aux voyageurs du ministère français des Affaires étrangères, n'incitait guère au départ.
Depuis une dizaine d’années, les dizaines de milliers de voyageurs du monde entier qui arpentaient le Sud algérien, se sont évanouis, découragés par le contexte politique et sécuritaire.
Un désastre pour le tourisme saharien et ses milliers de professionnels, laissés sur le sable. Pour survivre ils ont dû s'adapter et se diversifier, faire le dos rond en attendant que la tempête passe…
Aujourd’hui le ciel se dégage pour le tourisme d’aventure et de randonnée sur les hauts plateaux du Hoggar et le Tassili. Il était temps, car les places au soleil coûtent de plus en plus cher.
Sans compter que le Moyen-Orient et en particulier l’Arabie Saoudite, dépensent des centaines de millions d’euros pour devenir des destinations touristiques à part entière.
En octobre 2022, le ministère des Affaires étrangères a assoupli les conseils aux voyageurs pour l'Algérie : la zone de Djanet, notamment, est passée du rouge à l'orange, ce qui veut dire qu'après 14 ans de fermeture, le Sud algérien est de nouveau accessible aux voyageurs.
Sahara algérien : les planètes sont alignées
Une partie de l'équipe des chauffeurs d'Akar Akar, le réceptif le plus capé du Sud algérien / crédit JDL
Pour l’Algérie, les planètes semblent de nouveau alignées : le contexte politique est apaisé, les opérateurs de retour, les compagnies aériennes opérationnelles et les voyageurs dans les starting blocks.
Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes ? Voire. Il reste quelques fausses notes dans ce concert idyllique que le temps se chargera (ou pas) d’atténuer sinon d’effacer.
Le développement du tourisme, toutes choses égales par ailleurs, passe par une volonté politique. Le gouvernement algérien a donné son feu vert à la relance mais il reste pas mal de points de friction touchant, notamment, aux questions administratives.
Par exemple des contrôles à foison, parfois tâtillons et la délivrance des visas sur place où il règne une certaine confusion sinon une confusion certaine.
Sachez qu’en dehors des visas établis par les 18 consulats, vous ne disposez que d’une autorisation d’embarquer. C’est une fois arrivé sur place et moyennant 85 euros pour les Groupes (vs 110 euros au consulat) que vous sera délivré le précieux sésame.
Les habitudes ayant la vie dure, la “PAF” algérienne n’a pas complètement intégré les changements en cours et semble prendre un malin plaisir à multiplier les tracas. Une situation qui occasionne des retards significatifs (souvent plusieurs heures) pour les voyageurs et met à mal les spécialistes de la destination vis-à-vis de leurs clients.
Malgré les formalités accomplies plusieurs semaines en avance, il n’est pas rare de devoir faire le pied de grue plusieurs heures à l’aéroport, pour clarifier la situation d’un groupe.
Mais ces tracasseries s'évanouissent comme par magie face à la magie de l'étendue saharienne, car comme disait St Exupéry, « J’ai toujours aimé le désert. On s’assoit sur une dune de sable. On ne voit rien. On n’entend rien. Et cependant quelque chose rayonne en silence… »
Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes ? Voire. Il reste quelques fausses notes dans ce concert idyllique que le temps se chargera (ou pas) d’atténuer sinon d’effacer.
Le développement du tourisme, toutes choses égales par ailleurs, passe par une volonté politique. Le gouvernement algérien a donné son feu vert à la relance mais il reste pas mal de points de friction touchant, notamment, aux questions administratives.
Par exemple des contrôles à foison, parfois tâtillons et la délivrance des visas sur place où il règne une certaine confusion sinon une confusion certaine.
Sachez qu’en dehors des visas établis par les 18 consulats, vous ne disposez que d’une autorisation d’embarquer. C’est une fois arrivé sur place et moyennant 85 euros pour les Groupes (vs 110 euros au consulat) que vous sera délivré le précieux sésame.
Les habitudes ayant la vie dure, la “PAF” algérienne n’a pas complètement intégré les changements en cours et semble prendre un malin plaisir à multiplier les tracas. Une situation qui occasionne des retards significatifs (souvent plusieurs heures) pour les voyageurs et met à mal les spécialistes de la destination vis-à-vis de leurs clients.
Malgré les formalités accomplies plusieurs semaines en avance, il n’est pas rare de devoir faire le pied de grue plusieurs heures à l’aéroport, pour clarifier la situation d’un groupe.
Mais ces tracasseries s'évanouissent comme par magie face à la magie de l'étendue saharienne, car comme disait St Exupéry, « J’ai toujours aimé le désert. On s’assoit sur une dune de sable. On ne voit rien. On n’entend rien. Et cependant quelque chose rayonne en silence… »
Akar Akar, un réceptif exceptionnel
Sur les traces de Henri Duveyrier, Paul Flatters, Georges Guillo Lohanqui, Charles de Foucauld…) qui ont foulé, pour la première fois, ce fabuleux désert algérien /crédit JDL
Le territoire touareg regorge de gravures rupestres, véritables chefs-d'œuvre figés dans la pierre depuis des millénaires. On les déniche au détour des reliefs escarpés, de pitons et de falaises, ou de murailles burinées par les siècles que l’on dirait sculptées de la main de l’homme.
Pourtant, quelques “naufragés” survivent encore dans cet immense océan de sable blond, fidèles aux traditions, accrochés vaille que vaille à leur culture millénaire.
C'est Air Algérie, qui a pris l'initiative de cet éductour, en partenariat avec le réceptif Akar Akar, l'agence la plus ancienne de Tamanrasset]b, fondée par Mokhtar Zounga, et gérée de main de maître par son fils Mohamed.
La compagnie, représentée par Mounia Bertouche, a mis les petits plats dans les grands, soutenue par la remarquable logistique du réceptif de Djanet, lors des bivouacs pour accueillir une vingtaine (cf infra) de spécialistes français du voyage d’aventure, de randonnée et religieux.
Des tentes confortables, des tables en bois et des chaises en toile, ainsi que des équipements sanitaires (toilettes, douche…) rendent la randonnée saharienne accessible à tous. Les lieux de campements nomades sont soigneusement repérés et situés dans des spots à couper le souffle.
Il ne faut guère plus d’une heure (au départ de Marseille) et environ 2 heures (départ de Paris) pour rejoindre Alger. Il existe également des vols Paris/Alger/Tamanrasset ou Paris/Tamanrasset/Djanet.
Le transporteur national va développer aussi significativement ses lignes directes à partir d’octobre prochain, pour accéder aux deux aéroports, et proposera des vols directs de Paris et Marseille à destination de Djanet et Tamanrasset.
Il envisage aussi la relance du Timimoun et de Ghardaïa avec une fréquence par semaine en vols directs depuis Paris dès la saison saharienne, qui débutera le 22 octobre 2023 et s'en donne les moyens : il vient de commander 15 nouveaux appareils moyens et gros porteurs, dont 8 Boeing 737-9 MAX, 5 Airbus 330-900 et 2 Airbus 350-1000, exploitables en 2025.
Afin de compléter sa flotte actuelle, 10 avions en leasing seront opérationnels dès le milieu du mois de juin 2023.
Parmi les voyagistes invités, certains programmaient déjà la destination, d’autres la découvraient, stupéfaits par la beauté et le potentiel de la région. Venus de Paris, de Lyon ou de l’Ardèche, ils sont unanimes. Pour autant, il convient d’être prudent sur la relance comme le remarque Laid Semmadi, archéologue et guide-accompagnateur.
“Le Sahara algérien ne sera jamais une destination de masse, précise-t-il, corroborant les propos du prêtre qui gère l’Hermitage d'Assekrem, et qui met aussi en garde contre les exactions et l’effet néfaste d’un développement non maîtrisé du tourisme saharien.
Pourtant, quelques “naufragés” survivent encore dans cet immense océan de sable blond, fidèles aux traditions, accrochés vaille que vaille à leur culture millénaire.
C'est Air Algérie, qui a pris l'initiative de cet éductour, en partenariat avec le réceptif Akar Akar, l'agence la plus ancienne de Tamanrasset]b, fondée par Mokhtar Zounga, et gérée de main de maître par son fils Mohamed.
La compagnie, représentée par Mounia Bertouche, a mis les petits plats dans les grands, soutenue par la remarquable logistique du réceptif de Djanet, lors des bivouacs pour accueillir une vingtaine (cf infra) de spécialistes français du voyage d’aventure, de randonnée et religieux.
Des tentes confortables, des tables en bois et des chaises en toile, ainsi que des équipements sanitaires (toilettes, douche…) rendent la randonnée saharienne accessible à tous. Les lieux de campements nomades sont soigneusement repérés et situés dans des spots à couper le souffle.
Il ne faut guère plus d’une heure (au départ de Marseille) et environ 2 heures (départ de Paris) pour rejoindre Alger. Il existe également des vols Paris/Alger/Tamanrasset ou Paris/Tamanrasset/Djanet.
Le transporteur national va développer aussi significativement ses lignes directes à partir d’octobre prochain, pour accéder aux deux aéroports, et proposera des vols directs de Paris et Marseille à destination de Djanet et Tamanrasset.
Il envisage aussi la relance du Timimoun et de Ghardaïa avec une fréquence par semaine en vols directs depuis Paris dès la saison saharienne, qui débutera le 22 octobre 2023 et s'en donne les moyens : il vient de commander 15 nouveaux appareils moyens et gros porteurs, dont 8 Boeing 737-9 MAX, 5 Airbus 330-900 et 2 Airbus 350-1000, exploitables en 2025.
Afin de compléter sa flotte actuelle, 10 avions en leasing seront opérationnels dès le milieu du mois de juin 2023.
Parmi les voyagistes invités, certains programmaient déjà la destination, d’autres la découvraient, stupéfaits par la beauté et le potentiel de la région. Venus de Paris, de Lyon ou de l’Ardèche, ils sont unanimes. Pour autant, il convient d’être prudent sur la relance comme le remarque Laid Semmadi, archéologue et guide-accompagnateur.
“Le Sahara algérien ne sera jamais une destination de masse, précise-t-il, corroborant les propos du prêtre qui gère l’Hermitage d'Assekrem, et qui met aussi en garde contre les exactions et l’effet néfaste d’un développement non maîtrisé du tourisme saharien.
CE QU'ILS EN PENSENT
Les professionnels unanimementconvaincus par le retour de ce joyau dans la couronne du tourisme... /crédit JDL
Manon de Chaffaut (Excplorator) : "Nous ne sommes pas des touristes mais des invités !"
Une immersion dans un désert est toujours une expérience incroyablement riche en émotion, en découverte, en expérience. Mais le désert Algérien a cette particularité supplémentaire d’avoir une diversité des paysages assez extraordinaire.
Encore une fois la réputation de l’accueil chaleureux des algériens a été au rendez-vous et plus particulièrement celle des Touaregs, toujours aussi bien bienveillants et soucieux du bien-être des « invités », car ici nous ne sommes pas des touristes mais des invités.
Aussi bien le Hoggar que le Tassili des Ajjer méritent tout notre soutien pour la promotion de cette destination, doucement mais sûrement tout est en train de se mettre en place pour en faire une grande destination dans les années à venir. Air Algérie avec l’arrivée de Yassin Benslimane aux commandes nous prouve cette volonté avec l’ouverture de nouvelles lignes, l’augmentation de la fréquence des vols et la possibilité de faire des réservations sur une période plus étendue, de nouveaux appareils et de nouveaux hubs.
Les agences réceptives sur place sont prêtes à être aussi souples et flexibles que la diversité des touristes à venir, du campeur en trek au tourisme haut de gamme, tout le monde y trouvera son bonheur.
Les points positifs :
L’accueil chaleureux, la beauté des paysages parcourus, les bienfaits pour le corps et l’esprit, le rythme plus naturel du voyage (moins chronométré), une fenêtre ouverte sur la vie des touaregs, le confort des 4x4 (surtout ne N°4), la qualité de l’équipement bivouac proposé par Akar Akar, la qualité des chauffeurs / catering, la diversité des repas, la qualité des intervenants (guide à Alger, guide archéologue de Tam à Djanet,… La musique diffusée et l’excellente ambiance dans les véhicules.
Les points négatifs :
L’encadrement un peu aléatoire, le manque de sommeil (sur cet eductour), la quantité des bouteilles plastique utilisées, …
Encore une fois la réputation de l’accueil chaleureux des algériens a été au rendez-vous et plus particulièrement celle des Touaregs, toujours aussi bien bienveillants et soucieux du bien-être des « invités », car ici nous ne sommes pas des touristes mais des invités.
Aussi bien le Hoggar que le Tassili des Ajjer méritent tout notre soutien pour la promotion de cette destination, doucement mais sûrement tout est en train de se mettre en place pour en faire une grande destination dans les années à venir. Air Algérie avec l’arrivée de Yassin Benslimane aux commandes nous prouve cette volonté avec l’ouverture de nouvelles lignes, l’augmentation de la fréquence des vols et la possibilité de faire des réservations sur une période plus étendue, de nouveaux appareils et de nouveaux hubs.
Les agences réceptives sur place sont prêtes à être aussi souples et flexibles que la diversité des touristes à venir, du campeur en trek au tourisme haut de gamme, tout le monde y trouvera son bonheur.
Les points positifs :
L’accueil chaleureux, la beauté des paysages parcourus, les bienfaits pour le corps et l’esprit, le rythme plus naturel du voyage (moins chronométré), une fenêtre ouverte sur la vie des touaregs, le confort des 4x4 (surtout ne N°4), la qualité de l’équipement bivouac proposé par Akar Akar, la qualité des chauffeurs / catering, la diversité des repas, la qualité des intervenants (guide à Alger, guide archéologue de Tam à Djanet,… La musique diffusée et l’excellente ambiance dans les véhicules.
Les points négatifs :
L’encadrement un peu aléatoire, le manque de sommeil (sur cet eductour), la quantité des bouteilles plastique utilisées, …
Sonia Esseghir (Point-Afrique Voyages) : "partenaires et amis depuis plus de 20 ans !"
1999 : Point-Afrique Voyages est invitée par Air Algérie à un eductour à Tamanrasset via Alger en vue d’une relance du tourisme dans le sud algérien. Pari réussi, de 2001 à 2008, nous avons affrété 5 lignes directes hebdomadaires au départ de Paris et Marseille vers Tamanrasset, Djanet et Timimoun.
2023 : Nouvelle invitation d'Air Algérie pour participer à un eductour au départ de Tamanrasset, l'occasion est parfaite pour poursuivre l'écriture de notre histoire avec l'Algérie. Le désert est servi sur un plateau de grès entre les paysages volcaniques et lunaires du massif du Hoggar, le chapelet de dunes de l'erg Admer, le dédale labyrinthique rocheux de la région de Tikoubaouine et l'accueil bienveillant de nos hôtes touaregs.
Du côté des autorités algériennes, tout est mis en place pour assurer cette relance du tourisme dans les meilleures conditions. Le visa touristique se délivre dorénavant à l'arrivée pour le Grand Sud et les territoires réouvrent petit à petit leurs accès. Il se chuchote même sur place la réouverture prochaine du Tassili du Hoggar...
De notre côté, nous apportons tout notre soutien à l'Algérie en ouvrant dès cet automne des lignes aériennes directes Tamanrasset et Djanet au départ de Paris et Marseille, en partenariat avec Air Algérie. Sur place, nos randonnées chamelières et circuits en 4x4 reprennent du service grâce au professionnalisme de nos guides, chameliers, cuisiniers... partenaires et amis depuis plus de 20 ans !
L'activité touristique, telle que nous l'organisons, a cette particularité de distribuer de manière tentaculaire les revenus générés par la venue des voyageurs. Du pompiste à l'aubergiste en passant par le marchand de légumes, une grande majorité de locaux perçoit un revenu lié à l'activité touristique locale. Une sorte de goutte à goutte terriblement efficace.
2023 : Nouvelle invitation d'Air Algérie pour participer à un eductour au départ de Tamanrasset, l'occasion est parfaite pour poursuivre l'écriture de notre histoire avec l'Algérie. Le désert est servi sur un plateau de grès entre les paysages volcaniques et lunaires du massif du Hoggar, le chapelet de dunes de l'erg Admer, le dédale labyrinthique rocheux de la région de Tikoubaouine et l'accueil bienveillant de nos hôtes touaregs.
Du côté des autorités algériennes, tout est mis en place pour assurer cette relance du tourisme dans les meilleures conditions. Le visa touristique se délivre dorénavant à l'arrivée pour le Grand Sud et les territoires réouvrent petit à petit leurs accès. Il se chuchote même sur place la réouverture prochaine du Tassili du Hoggar...
De notre côté, nous apportons tout notre soutien à l'Algérie en ouvrant dès cet automne des lignes aériennes directes Tamanrasset et Djanet au départ de Paris et Marseille, en partenariat avec Air Algérie. Sur place, nos randonnées chamelières et circuits en 4x4 reprennent du service grâce au professionnalisme de nos guides, chameliers, cuisiniers... partenaires et amis depuis plus de 20 ans !
L'activité touristique, telle que nous l'organisons, a cette particularité de distribuer de manière tentaculaire les revenus générés par la venue des voyageurs. Du pompiste à l'aubergiste en passant par le marchand de légumes, une grande majorité de locaux perçoit un revenu lié à l'activité touristique locale. Une sorte de goutte à goutte terriblement efficace.
Jean-Luc Pintaud (TUI/Nouvelles Frontières): "complètement convaincu..."
Je suis parti sur cet éductour dans l’idée de reproposer à l’horizon Brochure circuits Nouvelles Frontières 2025, un circuit dans cette région de Tamanrasset et Djanet.
Le programme Air Algérie avec ses vols directs sur Tam et Djanet, l’accueil des Touaregs et la qualité des prestations bivouac et 4X4 du réceptif Akar-Akar, la simplification de l’obtention du visa en cours, les paysages époustouflants du désert et les richesses archéologiques, m’ont complètement convaincu.
J’espère bien sortir un circuit découverte du Sahara sud algérien et rencontre des Touaregs, adapté à nos clients.
Le programme Air Algérie avec ses vols directs sur Tam et Djanet, l’accueil des Touaregs et la qualité des prestations bivouac et 4X4 du réceptif Akar-Akar, la simplification de l’obtention du visa en cours, les paysages époustouflants du désert et les richesses archéologiques, m’ont complètement convaincu.
J’espère bien sortir un circuit découverte du Sahara sud algérien et rencontre des Touaregs, adapté à nos clients.
Badye Ouertani : "S'il y a un voyage à entreprendre dans sa vie..."
Nous avons été Invités par la direction d’Air Algérie et le réceptif Algérien Akar Akar pour relancer une destination touristique fantastique, merveilleuse, exceptionnelle : le Sud Algérien,le Sahara, le plus beau désert du monde comme définit par photographe Yann Arthus Bertrand.
Ce projet a été initié par Mounia Bertouche, Directrice et assistante du Directeur et Mohamed Zounga, PDG du groupe Akar-Akar. guide de voyage admirable.
Tous deux nous ont permis de découvrir pour certains et de redécouvrir pour les autres, la magie d'une destination qui mérite de se placer dans le top 3 des destinations touristiques du bassin méditerranéen.
Un grand merci à Yacine Benslimane, DG d'Air Algérie d'avoir sponsorisé cet événement dans le cadre de la relance de cette destination féerique. Lors de notre premier stop dans la capitale algérienne, nous avons réalisé toutes les formalités d’entrée et obtenu un visa de Groupe.
Nous avons ensuite visité et découvert les beautés de la capitale algérienne avant d'atteriir à Tamanrasset où Mohamed Zounga est venu nous accueillir. Après la visite des lieux emblématiques de de Tamanrasset, tels le fort et la maison du Foucauld de Pontbriand (Père Charles de Foucauld), nous nous sommes rendus à l’ Assekrem pour découvrir une vue à 360 degrés du Hoggar.
Après un bivouac dans des conditions plus proches d'un hôtel 3 hôtels que de celles d’un camping les Touaregs nous ont fait découvert les beautés du Hoggar entre peintures préhistoriques, tombeaux funéraires et paysages magiques, somptueux.
J'ai adoré la simplicité et la sagesse des Touaregs. Unanimement, nous revenons tous transformés d’un si beau voyage et n’avons qu'une idée en tête : relancer cette destination qui le mérite en faisant partager notre expérience mais aussi en voulant protéger ce patrimoine au combien fragile d'un tourisme de masse non contrôlé.
Ce que l’on retiendra de ce voyage exceptionnel c’est la gentillesse, l’humanité, la sagesse, la bonté des Touaregs mais surtout leur sens du partage, leur dévouement et leur joie de vivre au service de tous. Une palette d’odeurs de couleurs, une richesse incroyable, des trésors inestimables et un sentiment de liberté indescriptible et de paix intérieure.
Si il y a un voyage à entreprendre dans sa vie c’ est bien celui-là, la découverte du Sahara, du Hoggar au Tassili sur les pas du père Charles de Foucauld.
Ce projet a été initié par Mounia Bertouche, Directrice et assistante du Directeur et Mohamed Zounga, PDG du groupe Akar-Akar. guide de voyage admirable.
Tous deux nous ont permis de découvrir pour certains et de redécouvrir pour les autres, la magie d'une destination qui mérite de se placer dans le top 3 des destinations touristiques du bassin méditerranéen.
Un grand merci à Yacine Benslimane, DG d'Air Algérie d'avoir sponsorisé cet événement dans le cadre de la relance de cette destination féerique. Lors de notre premier stop dans la capitale algérienne, nous avons réalisé toutes les formalités d’entrée et obtenu un visa de Groupe.
Nous avons ensuite visité et découvert les beautés de la capitale algérienne avant d'atteriir à Tamanrasset où Mohamed Zounga est venu nous accueillir. Après la visite des lieux emblématiques de de Tamanrasset, tels le fort et la maison du Foucauld de Pontbriand (Père Charles de Foucauld), nous nous sommes rendus à l’ Assekrem pour découvrir une vue à 360 degrés du Hoggar.
Après un bivouac dans des conditions plus proches d'un hôtel 3 hôtels que de celles d’un camping les Touaregs nous ont fait découvert les beautés du Hoggar entre peintures préhistoriques, tombeaux funéraires et paysages magiques, somptueux.
J'ai adoré la simplicité et la sagesse des Touaregs. Unanimement, nous revenons tous transformés d’un si beau voyage et n’avons qu'une idée en tête : relancer cette destination qui le mérite en faisant partager notre expérience mais aussi en voulant protéger ce patrimoine au combien fragile d'un tourisme de masse non contrôlé.
Ce que l’on retiendra de ce voyage exceptionnel c’est la gentillesse, l’humanité, la sagesse, la bonté des Touaregs mais surtout leur sens du partage, leur dévouement et leur joie de vivre au service de tous. Une palette d’odeurs de couleurs, une richesse incroyable, des trésors inestimables et un sentiment de liberté indescriptible et de paix intérieure.
Si il y a un voyage à entreprendre dans sa vie c’ est bien celui-là, la découverte du Sahara, du Hoggar au Tassili sur les pas du père Charles de Foucauld.
Axel Roubaud : "ce séjour a parfaitement répondu à mes attentes"
En tant que fondateur d’AutentikA, TO spécialiste dans les voyages dits d’« aventure » en petits groupes à dimension humaine, je ne pouvais rester insensible à la ré-ouverture de l’Algérie.
Conquis, il y a bien des années, par la qualité de l’accueil algérien, je fus depuis échaudé par les problèmes d’obtention de visa, qui semblent désormais résolus.
Lorsque Air Algérie m’a proposé de rejoindre cet « Eductour » la décision fut immédiate. Je suis venu plein d’espoir sur la promesse d’un retour en grâce de cette destination qui nous tenait tant à cœur. Ce séjour a parfaitement répondu à mes attentes.
D’une part, la gentillesse des Algériens est toujours là. On se sent tellement bien à flâner dans les rues, rencontrer les gens, serviables à l’extrême. Le pays est grandiose, et tellement diversifié ! Tout un chacun peut y trouver son compte.
J’ai beaucoup apprécié le choix fait dans la typologie des participants : un mix TO, journalistes, photographes, opérateurs aériens, agences de voyages. Une véritable symbiose s’est opérée, avec plein de belles rencontres humaines, et des échanges très riches professionnellement.
Je garde un souvenir excellentissime de ce séjour en tout point enrichissant. Un grand merci à Air Algérie, et à toute l’équipe touareg qui nous a pris en charge sur place !
Conquis, il y a bien des années, par la qualité de l’accueil algérien, je fus depuis échaudé par les problèmes d’obtention de visa, qui semblent désormais résolus.
Lorsque Air Algérie m’a proposé de rejoindre cet « Eductour » la décision fut immédiate. Je suis venu plein d’espoir sur la promesse d’un retour en grâce de cette destination qui nous tenait tant à cœur. Ce séjour a parfaitement répondu à mes attentes.
D’une part, la gentillesse des Algériens est toujours là. On se sent tellement bien à flâner dans les rues, rencontrer les gens, serviables à l’extrême. Le pays est grandiose, et tellement diversifié ! Tout un chacun peut y trouver son compte.
J’ai beaucoup apprécié le choix fait dans la typologie des participants : un mix TO, journalistes, photographes, opérateurs aériens, agences de voyages. Une véritable symbiose s’est opérée, avec plein de belles rencontres humaines, et des échanges très riches professionnellement.
Je garde un souvenir excellentissime de ce séjour en tout point enrichissant. Un grand merci à Air Algérie, et à toute l’équipe touareg qui nous a pris en charge sur place !
Muriel Legal : "Je rentre en France des paillettes plein les yeux..."
Spécialiste du Maghreb, je suis partis à la découverte d'une région encore méconnue pour moi. Passionné, amoureuse de ce pays qu'est l'Algérie, j'y vais régulièrement pour valider les programmes que je monte pour ma clientèle d'agences de voyages.
J'ai découvert et redécouvert le grand sud, de Tamanrasset à Djanet. Au rendez-vous ces paysages grandioses du Sahara, l'hospitalité légendaire des Touaregs Je rentre en France des paillettes plein les yeux et avec un seul souhait celui de partager avec tous, l'envie de découvrir l'Algérie.
J'ai découvert et redécouvert le grand sud, de Tamanrasset à Djanet. Au rendez-vous ces paysages grandioses du Sahara, l'hospitalité légendaire des Touaregs Je rentre en France des paillettes plein les yeux et avec un seul souhait celui de partager avec tous, l'envie de découvrir l'Algérie.
LES PARTICIPANTS PROFESSIONNELS
1/Point Afrique : Sonia Esseghir
2/Horizons nomades : Mohamed Torche - Alexandre Laroche
3/Ikhar : Valérie Volpe
4/Tui/nouvelles frontières : Jean-Luc Pintaud
5/ VDM/Terres d aventure : Florent Bochet
6/Africa Voyages (Tourcom) : Badiye Ouertani
7/Meissarah voyages (Selectour) Djamila Ahmes Malek
8/Envie d Algérie : Muriel Legal
9/Colombes Voyages (Selectour) : Rachid Belahid
10/Explorator : Manon du Chaffaut
11/Warrior trip : Samira Tebbiche
12/ Development voyages : Fares DIF
13/Riwaya travel : Merwane Boultif
14/ Autentika : Axel roubaud
15/ Routes Bibliques : Dominique Marniquet
16/Bipel : Nadine Beliard
17/ALEST Voyages (Cediv) : Richard Soubielle
18/ Ethiques voyages : Selim Amara
2/Horizons nomades : Mohamed Torche - Alexandre Laroche
3/Ikhar : Valérie Volpe
4/Tui/nouvelles frontières : Jean-Luc Pintaud
5/ VDM/Terres d aventure : Florent Bochet
6/Africa Voyages (Tourcom) : Badiye Ouertani
7/Meissarah voyages (Selectour) Djamila Ahmes Malek
8/Envie d Algérie : Muriel Legal
9/Colombes Voyages (Selectour) : Rachid Belahid
10/Explorator : Manon du Chaffaut
11/Warrior trip : Samira Tebbiche
12/ Development voyages : Fares DIF
13/Riwaya travel : Merwane Boultif
14/ Autentika : Axel roubaud
15/ Routes Bibliques : Dominique Marniquet
16/Bipel : Nadine Beliard
17/ALEST Voyages (Cediv) : Richard Soubielle
18/ Ethiques voyages : Selim Amara