Nora Blomefield, responsable marketing des offres de contrôle aux frontières et gestion des passagers chez Thalès, teste la reconnaissance faciale du système de sécurité et identité numérique de Thalès. - CL
Utilisé dans une quinzaine d’aéroports américains, Thalès a mis au point un système de sécurité et identité numérique pour fluidifier le parcours passager dans les aéroports.
De chez lui, à partir de son mobile, ou à l’aéroport, le passager peut scanner ses documents de voyage, passeport et se photographier sans besoin d’être statique, l’outil qui mêle intelligence artificielle et machine learning s’assure ensuite de la véracité des documents et de la bonne identité du porteur des documents.
Au sein de l’aéroport, les points de contrôle sont remplacés par des caméras. Le système de surveillance est capable de reconnaître dans une foule les différents individus.
A la clé un gain de temps : « Le temps d’embarquement de 300 passagers est réduit de 50% », selon Nora Blomefield, responsable marketing des offres de contrôle aux frontières et gestion des passagers chez Thalès.
« Il y a un intérêt économique pour la compagnie aérienne et l’aéroport », poursuit-elle.
En France, la réglementation ne permet pas de créer une base de données biométriques. « Aux Etats-Unis, les données collectés sont gérées par le gouvernement, qui gère le matching », note Nora Blomefield.
De chez lui, à partir de son mobile, ou à l’aéroport, le passager peut scanner ses documents de voyage, passeport et se photographier sans besoin d’être statique, l’outil qui mêle intelligence artificielle et machine learning s’assure ensuite de la véracité des documents et de la bonne identité du porteur des documents.
Au sein de l’aéroport, les points de contrôle sont remplacés par des caméras. Le système de surveillance est capable de reconnaître dans une foule les différents individus.
A la clé un gain de temps : « Le temps d’embarquement de 300 passagers est réduit de 50% », selon Nora Blomefield, responsable marketing des offres de contrôle aux frontières et gestion des passagers chez Thalès.
« Il y a un intérêt économique pour la compagnie aérienne et l’aéroport », poursuit-elle.
En France, la réglementation ne permet pas de créer une base de données biométriques. « Aux Etats-Unis, les données collectés sont gérées par le gouvernement, qui gère le matching », note Nora Blomefield.
FlytX, le cockpit hyper connecté qui facilite le pilotage
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Autre innovation, Thalès présente la suite avionique FlytX, sélectionnée par Airbus Helicopters et la Direction générale de l’armement (DGA) pour équiper les futurs Hélicoptères Interarmées Légers (HIL) H160M.
« Il s’adresse à différents segments de marché, hélicoptères civiles et militaires, aviation régionale, avion de transport militaire et probablement plus tard, l’aviation d’affaires », précise Guillaume Lapeyronnie, directeur marketing chez Flight Avionics (Thalès).
Ce cockpit facilite le pilotage grâce aux technologies les plus récentes en matière d’affichage, il permet un accès plus rapide aux informations, associé à une représentation synthétique de l’environnement extérieur.
FlytX s’appuie sur des interfaces homme-machines tactiles, directes et naturelles. « L’ambition est de réduire l’empreinte avionique de 30 à 40%, ce qui est assez considérable », poursuit Guillaume Lapeyronnie.
La charge de travail est ainsi réduite permettant aux pilotes de se concentrer sur leurs missions avec un niveau de sécurité optimal. Avec sa large zone d’affichage, cette avionique a pour objectif de faciliter l’interaction des équipages, en englobant tous les systèmes avions, fusionnant les informations et rendant ainsi les prises de décisions plus instinctives.
La mise en service est prévue pour 2022.
« Il s’adresse à différents segments de marché, hélicoptères civiles et militaires, aviation régionale, avion de transport militaire et probablement plus tard, l’aviation d’affaires », précise Guillaume Lapeyronnie, directeur marketing chez Flight Avionics (Thalès).
Ce cockpit facilite le pilotage grâce aux technologies les plus récentes en matière d’affichage, il permet un accès plus rapide aux informations, associé à une représentation synthétique de l’environnement extérieur.
FlytX s’appuie sur des interfaces homme-machines tactiles, directes et naturelles. « L’ambition est de réduire l’empreinte avionique de 30 à 40%, ce qui est assez considérable », poursuit Guillaume Lapeyronnie.
La charge de travail est ainsi réduite permettant aux pilotes de se concentrer sur leurs missions avec un niveau de sécurité optimal. Avec sa large zone d’affichage, cette avionique a pour objectif de faciliter l’interaction des équipages, en englobant tous les systèmes avions, fusionnant les informations et rendant ainsi les prises de décisions plus instinctives.
La mise en service est prévue pour 2022.