"Environ 80 voyageurs fréquents de SAS testent actuellement des photographies de leurs yeux permettant l'accès au tourniquet de la porte d'embarquement" sur l'aéroport d'Umeaa (nord de la Suède), a déclaré la compagnie dans un communiqué.
Les passagers du groupe-test arrivant à l'embarquement doivent placer une carte à puce devant un lecteur et montrer leur oeil à une petite caméra. Si l'image de l'iris correspond à celle qui est enregistrée dans la puce de la carte, la porte s'ouvre.
SAS a décidé de faire ces tests en prévision des futures exigences de sécurité renforcée de divers pays vis-à-vis des compagnies aériennes et des aéroports, pouvant conduire à des contrôles supplémentaires des passagers et de leurs bagages. Les Etats-Unis exigeront notamment à partir du 26 octobre des passeports comprenant des "données biométriques" pour les ressortissants des pays pour lesquels ils exigent des visas.
Outre les tests sur l'iris qui viennent de commencer, SAS a planché depuis novembre sur des méthodes d'identification des passagers par les empreintes digitales. Les tests se termineront en avril, a précisé la compagnie scandinave.
Les passagers du groupe-test arrivant à l'embarquement doivent placer une carte à puce devant un lecteur et montrer leur oeil à une petite caméra. Si l'image de l'iris correspond à celle qui est enregistrée dans la puce de la carte, la porte s'ouvre.
SAS a décidé de faire ces tests en prévision des futures exigences de sécurité renforcée de divers pays vis-à-vis des compagnies aériennes et des aéroports, pouvant conduire à des contrôles supplémentaires des passagers et de leurs bagages. Les Etats-Unis exigeront notamment à partir du 26 octobre des passeports comprenant des "données biométriques" pour les ressortissants des pays pour lesquels ils exigent des visas.
Outre les tests sur l'iris qui viennent de commencer, SAS a planché depuis novembre sur des méthodes d'identification des passagers par les empreintes digitales. Les tests se termineront en avril, a précisé la compagnie scandinave.