Les stations nord alpines considèrent cette saison hivernale 2004-2005 comme étant « plutôt bonne » et les autres massifs l’annoncent majoritairement bonne, à l’exception des stations des Alpes du Sud qui, pénalisées par un enneigement insuffisant, la jugent plutôt mauvaise.
En termes de comparaison, la saison 2004-2005 se révèle identique à la précédente pour les stations nord alpines et pour les Vosges. Elle est même jugée supérieure sur le Jura, le Massif Central et les Pyrénées et en recul sur les Alpes du Sud.
Taux d’occupation variables selon les massifs
Du fait d’un enneigement limité, induisant des indices de skiabilité faibles, les taux d’occupation, tant marchands que locatifs pour cette période sont annoncés par l’ensemble des stations en deçà des 50 %.
Ces faibles taux s’expliquent aussi par des vacances de Pâques particulièrement tardives cette année, notamment pour les Parisiens. Ces taux sont jugés en retrait par rapport à l’année précédente pour les stations de l’ensemble du massif alpin et en progression pour les stations pyrénéennes et vosgiennes.
Présence accrue des vacanciers étrangers
La fréquentation étrangère, au cours de cette période, est jugée en progression par rapport à la saison précédente. Une nouvelle fois, les clientèles britanniques et belges ont été plus présentes au sein des stations françaises au cours de ces vacances de Pâques ; les Britanniques privilégiant les stations nord alpines, ainsi que celles aux capacités en lits les plus importantes.
Tout comme l’année passée, malgré la bonne tenue, voire la progression de la clientèle étrangère, la perception générale de la fréquentation au cours de cette période est plutôt mauvaise. Seuls les répondants pyrénéens et auvergnats estiment cette fréquentation plutôt bonne.
Confirmation de la tendance « hors ski »
Tout comme la saison hivernale précédente, l’activité ski de fond est plutôt jugée en recul, notamment sur le massif alpin. Dans le même temps, alors que les écoles de ski enregistrent un niveau d’activité supérieur à la saison dernière, notamment sur les Alpes du Nord, l’engouement existant pour les activités hors ski (promenades en raquettes, à pied et en chiens de traîneaux) ne se dément pas.
Enfin, comme les saisons précédentes, les professionnels de la montagne observent toujours une diminution des dépenses. En revanche, ils annoncent une nouvelle progression des réservations de dernière minute, des courts séjours et des ventes de tout compris.
La Rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com
En termes de comparaison, la saison 2004-2005 se révèle identique à la précédente pour les stations nord alpines et pour les Vosges. Elle est même jugée supérieure sur le Jura, le Massif Central et les Pyrénées et en recul sur les Alpes du Sud.
Taux d’occupation variables selon les massifs
Du fait d’un enneigement limité, induisant des indices de skiabilité faibles, les taux d’occupation, tant marchands que locatifs pour cette période sont annoncés par l’ensemble des stations en deçà des 50 %.
Ces faibles taux s’expliquent aussi par des vacances de Pâques particulièrement tardives cette année, notamment pour les Parisiens. Ces taux sont jugés en retrait par rapport à l’année précédente pour les stations de l’ensemble du massif alpin et en progression pour les stations pyrénéennes et vosgiennes.
Présence accrue des vacanciers étrangers
La fréquentation étrangère, au cours de cette période, est jugée en progression par rapport à la saison précédente. Une nouvelle fois, les clientèles britanniques et belges ont été plus présentes au sein des stations françaises au cours de ces vacances de Pâques ; les Britanniques privilégiant les stations nord alpines, ainsi que celles aux capacités en lits les plus importantes.
Tout comme l’année passée, malgré la bonne tenue, voire la progression de la clientèle étrangère, la perception générale de la fréquentation au cours de cette période est plutôt mauvaise. Seuls les répondants pyrénéens et auvergnats estiment cette fréquentation plutôt bonne.
Confirmation de la tendance « hors ski »
Tout comme la saison hivernale précédente, l’activité ski de fond est plutôt jugée en recul, notamment sur le massif alpin. Dans le même temps, alors que les écoles de ski enregistrent un niveau d’activité supérieur à la saison dernière, notamment sur les Alpes du Nord, l’engouement existant pour les activités hors ski (promenades en raquettes, à pied et en chiens de traîneaux) ne se dément pas.
Enfin, comme les saisons précédentes, les professionnels de la montagne observent toujours une diminution des dépenses. En revanche, ils annoncent une nouvelle progression des réservations de dernière minute, des courts séjours et des ventes de tout compris.
La Rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com