Le plan, dévoilé par le ministre du Tourisme Anura Bandaranaike, prévoit le réhabilitation rapide des installations sur les régions côtières frappées par le tsunami du 26 décembre, accompagnée d'une campagne internationale de presse dont le slogan est: "Le Sri Lanka rebondit".
La priorité sera donnée à 15 zones côtières identifiées, où la population dépend quasi-uniquement du tourisme, a indiqué le ministre. Les hôtels et autres entreprises liées au secteur bénéficieront de détaxes pour remplacer véhicules et meubles perdus dans le raz-de-marée. La réparation des stations touristiques coûtera environ 195 millions de dollars, selon le chef de la Direction du tourisme, Udaya Nanayakkara.
L'accent sera également mis sur la promotion des parcs naturels, des sites inscrits au patrimoine de l'humanité, des stations de montagne et des Etats
producteurs de thé.
"Nous espérons que les ambassades vont bientôt" lever ces restrictions
Si les ambassades étrangères cessaient immédiatement de conseiller à leurs ressortissants de ne pas se rendre au Sri Lanka, près de la moitié de l'industrie du tourisme pourrait être remise sur pieds dans les zones affectées d'ici fin février, a estimé M. Nanayakkara.
Mais les restrictions émises par les Etats-Unis, l'Australie, la Grande-Bretagne, l'Allemagne ou la France poussent les assurances à augmenter leurs primes et les touristes à ne pas venir, a-t-il poursuivi.
"Nous espérons que les ambassades vont bientôt" lever ces restrictions, a-t-il ajouté. Quelque 1.120 km de côte sri-lankaise sur un total de 1.330 ont été frappées de plein fouet par le raz-de-marée qui a fait près de 31.000 morts dont 107 touristes étrangers. Sur 107 hôtels, 58 ont été endommagés, huit ont été très endommagés, soit une perte de 3.500 chambres.
Les revenus issus du tourisme qui devaient atteindre 510 millions de dollars en 2005 devraient finalement être de 10 à 15% inférieurs.
La rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com
La priorité sera donnée à 15 zones côtières identifiées, où la population dépend quasi-uniquement du tourisme, a indiqué le ministre. Les hôtels et autres entreprises liées au secteur bénéficieront de détaxes pour remplacer véhicules et meubles perdus dans le raz-de-marée. La réparation des stations touristiques coûtera environ 195 millions de dollars, selon le chef de la Direction du tourisme, Udaya Nanayakkara.
L'accent sera également mis sur la promotion des parcs naturels, des sites inscrits au patrimoine de l'humanité, des stations de montagne et des Etats
producteurs de thé.
"Nous espérons que les ambassades vont bientôt" lever ces restrictions
Si les ambassades étrangères cessaient immédiatement de conseiller à leurs ressortissants de ne pas se rendre au Sri Lanka, près de la moitié de l'industrie du tourisme pourrait être remise sur pieds dans les zones affectées d'ici fin février, a estimé M. Nanayakkara.
Mais les restrictions émises par les Etats-Unis, l'Australie, la Grande-Bretagne, l'Allemagne ou la France poussent les assurances à augmenter leurs primes et les touristes à ne pas venir, a-t-il poursuivi.
"Nous espérons que les ambassades vont bientôt" lever ces restrictions, a-t-il ajouté. Quelque 1.120 km de côte sri-lankaise sur un total de 1.330 ont été frappées de plein fouet par le raz-de-marée qui a fait près de 31.000 morts dont 107 touristes étrangers. Sur 107 hôtels, 58 ont été endommagés, huit ont été très endommagés, soit une perte de 3.500 chambres.
Les revenus issus du tourisme qui devaient atteindre 510 millions de dollars en 2005 devraient finalement être de 10 à 15% inférieurs.
La rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com