En ce qui concerne le trafic en Europe, le taux moyen d'occupation des sièges s'est élevé à 68,6%, ce qui représente un accroissement de 4,9 % par rapport au 3e trimestre 2002, a précisé la compagnie. Elle souligne encore qu'une croissance "remarquable" avait été enregistrée sur les marchés anglais, allemand, autrichien, belge, scandinave, polonais et tchèque, où le taux d'occupation des sièges s'est accru de 10% à 24% selon les destinations.
La situation est inverse en revanche sur le réseau intercontinental, qui enregistre un taux d'occupation des sièges de 81,4%, contre 84,4% pour la même période de l'an passé, un résultat qui s'explique notamment par un net recul du trafic sur l'Atlantique Nord (-4%), explique encore la compagnie.
Quid de la recette unitaire ?
Grâce à son concept "Swiss en Europe", qui fait largement appel à la vente en ligne, la Compagnie a littéralement dopé son taux d'occupation mais dû faire face à une véritable fronde en Suisse. La Distribution helvétique l'accuse de favoriser la vente directe au détriment des agences. En France aussi, des protestations ont vu le jour sur la question.
Reste à savoir si la recette unitaire de la Compagnie a progressé dans les mêmes proportions. En effet, la rentabilité n'est pas à rechercher côté tourisme mais plutôt côté billetterie affaires. ET celle-ci reste pour le moment l'apanage des réseaux de distribution.
La Rédaction - 09 octobre 2003
redaction@tourmag.com
La situation est inverse en revanche sur le réseau intercontinental, qui enregistre un taux d'occupation des sièges de 81,4%, contre 84,4% pour la même période de l'an passé, un résultat qui s'explique notamment par un net recul du trafic sur l'Atlantique Nord (-4%), explique encore la compagnie.
Quid de la recette unitaire ?
Grâce à son concept "Swiss en Europe", qui fait largement appel à la vente en ligne, la Compagnie a littéralement dopé son taux d'occupation mais dû faire face à une véritable fronde en Suisse. La Distribution helvétique l'accuse de favoriser la vente directe au détriment des agences. En France aussi, des protestations ont vu le jour sur la question.
Reste à savoir si la recette unitaire de la Compagnie a progressé dans les mêmes proportions. En effet, la rentabilité n'est pas à rechercher côté tourisme mais plutôt côté billetterie affaires. ET celle-ci reste pour le moment l'apanage des réseaux de distribution.
La Rédaction - 09 octobre 2003
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