Chez TUI France, les réunions s'enchaînent. Actuellement, les représentants du personnel, le comité central d'entreprise (CCE) et la direction se rencontrent au moins deux fois par semaine.
Des rendez-vous qui entrent dans le cadre des discussions préalables au déploiement du nouveau plan de départs volontaires (PDV) pour le projet One lancé à la suite de la reprise de Transat France par TUI.
Le 21 février 2017, la direction de TUI France a ainsi annoncé que 220 postes allaient être supprimés sur les 1 304 que comptent, à l'heure actuelle, Transat France et TUI France.
Un total qui a légèrement diminué ces derniers jours puisque les 3 postes du service « set up » que le plan prévoyait de supprimer seront finalement sauvés.
C'est l'un des groupes de travail de salariés mis en place jusqu'au 6 juin 2017 pour la définition de l'organisation cible qui l'a suggéré à la direction du groupe. Un avis auquel cette dernière a décidé de se ranger.
"C'est grâce aux remontées des salariés que nous avons obtenu cette avancée positive. Cela va dans le sens de notre objectif de sauvegarder un maximum d'emplois", se félicite Lazare Razkallah, secrétaire du CCE de TUI France.
Des rendez-vous qui entrent dans le cadre des discussions préalables au déploiement du nouveau plan de départs volontaires (PDV) pour le projet One lancé à la suite de la reprise de Transat France par TUI.
Le 21 février 2017, la direction de TUI France a ainsi annoncé que 220 postes allaient être supprimés sur les 1 304 que comptent, à l'heure actuelle, Transat France et TUI France.
Un total qui a légèrement diminué ces derniers jours puisque les 3 postes du service « set up » que le plan prévoyait de supprimer seront finalement sauvés.
C'est l'un des groupes de travail de salariés mis en place jusqu'au 6 juin 2017 pour la définition de l'organisation cible qui l'a suggéré à la direction du groupe. Un avis auquel cette dernière a décidé de se ranger.
"C'est grâce aux remontées des salariés que nous avons obtenu cette avancée positive. Cela va dans le sens de notre objectif de sauvegarder un maximum d'emplois", se félicite Lazare Razkallah, secrétaire du CCE de TUI France.
Se mettre d'accord avant de commencer à négocier
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Autre point positif pour les syndicats : la possibilité pour les quelque 30 salariés des 15 agences Look Voyages destinées à la franchise de se positionner sur le PDV ou de demander un reclassement en interne selon les possibilités.
"La direction est globalement à l'écoute, salue Lazare Razkallah. Mais, dans ce plan, il y a, à la fois, du volontariat, des licenciements et des modifications de contrats. Il faut trouver des solutions pour chaque cas de figure."
Il reste néanmoins de nombreuses autres questions à éclaircir comme celle de la taille des catégories professionnelles touchées par le plan pour éviter de « cibler » certains salariés, ou celle de la fusion entre 10 points de ventes Look Voyages et 10 TUI Store.
"Nous devons nous mettre d'accord sur le périmètre du projet et des plans avant de commercer à vraiment négocier", résume le secrétaire du CCE.
Du côté des salariés du groupe, l'inquiétude semble plus présente chez les ex-Transat France. Sur les 114 personnes qui ont consulté les points d'information-conseil (PIC), 78 l'ont fait à Ivry-sur-Seine, au siège de Transat France. Ils ne sont que 17 à s'être tournés vers celui de Levallois-Perret, au siège de TUI France, et 19 à Lyon.
"Les collaborateurs de Transat France sont plus inquiets, c'est normal. Chez TUI France, nous sommes malheureusement plus habitués aux plan sociaux, analyse le secrétaire du CCE.
Globalement, les gens attendent pour prendre leur décision. Sur ce point, nous invitons la direction à mettre en place des partenariats pour les solutions de reclassement comme cela a été fait avec la MAIF lors du dernier plan.
Mais il faut aussi qu'elle mette les moyens sur les conditions de départ. Sans quoi, elles n'obtiendra pas le nombre de volontaires souhaité."
Les délégués du personnel de l'ex-Transat France demandent, quand à eux, un traitement équitable de l'ensemble des salariés.
"La direction est globalement à l'écoute, salue Lazare Razkallah. Mais, dans ce plan, il y a, à la fois, du volontariat, des licenciements et des modifications de contrats. Il faut trouver des solutions pour chaque cas de figure."
Il reste néanmoins de nombreuses autres questions à éclaircir comme celle de la taille des catégories professionnelles touchées par le plan pour éviter de « cibler » certains salariés, ou celle de la fusion entre 10 points de ventes Look Voyages et 10 TUI Store.
"Nous devons nous mettre d'accord sur le périmètre du projet et des plans avant de commercer à vraiment négocier", résume le secrétaire du CCE.
Du côté des salariés du groupe, l'inquiétude semble plus présente chez les ex-Transat France. Sur les 114 personnes qui ont consulté les points d'information-conseil (PIC), 78 l'ont fait à Ivry-sur-Seine, au siège de Transat France. Ils ne sont que 17 à s'être tournés vers celui de Levallois-Perret, au siège de TUI France, et 19 à Lyon.
"Les collaborateurs de Transat France sont plus inquiets, c'est normal. Chez TUI France, nous sommes malheureusement plus habitués aux plan sociaux, analyse le secrétaire du CCE.
Globalement, les gens attendent pour prendre leur décision. Sur ce point, nous invitons la direction à mettre en place des partenariats pour les solutions de reclassement comme cela a été fait avec la MAIF lors du dernier plan.
Mais il faut aussi qu'elle mette les moyens sur les conditions de départ. Sans quoi, elles n'obtiendra pas le nombre de volontaires souhaité."
Les délégués du personnel de l'ex-Transat France demandent, quand à eux, un traitement équitable de l'ensemble des salariés.