Villa del Conde (Gran Canaria), l'un des resort 5 étoiles du Groupe
"Nous avons indiqué clairement notre intérêt pour des discussions avec des représentants de WestLB. Maintenant, c'est eux qui doivent nous appeler", a-t-il dit au Financial Times Deutschland. Lopesan veut mettre sur pied d'ici la fin de l'année un consortium pour mener l'opération.
Il réunirait le groupe de BTP espagnol Satocan et "deux ou trois" autres entreprises espagnoles que M. de Armas n'a pas identifié. Mais des sources proches de l'entreprise ont indiqué au FTD que Lopesan cherchait à convaincre un autre hôtelier espagnol, Riu, de s'allier avec lui. Il devrait même essayer de vendre le projet au patron de TUI, Michael Frenzel, lors d'une rencontre d'ici au 15 novembre, ont ajouté ces sources.
Le financement serait garanti a assuré M. de Armas
Riu est déjà un partenaire de TUI. Les deux sociétés détiennent notamment chacune 50% de Riu II, la société chargée de l'administration des hôtels portant l'enseigne du groupe espagnol. Riu, Lopesan et Satocan, tous trois basés dans les îles Canaries, ont été cités à plusieurs reprises dans la presse comme repreneurs potentiels des parts de WestLB dans TUI.
Le consortium Lopesan/Satocan semblait tenir la corde jusqu'à l'apparition la semaine dernière de rumeurs selon lesquelles les discussions étaient dans l'impasse, notamment pour des problèmes de financement. "Le financement est garanti. Cela ne doit pas être un problème pour les groupes avec lesquels nous discutons", a assuré M. de Armas.
WestLB, qui disait jusqu'alors vouloir vendre si possible ses parts avant la fin de l'année, avait dans le même temps laissé entendre que l'opération pourrait être retardée, car un nouvel investisseur potentiel venait de se manifester.
Il réunirait le groupe de BTP espagnol Satocan et "deux ou trois" autres entreprises espagnoles que M. de Armas n'a pas identifié. Mais des sources proches de l'entreprise ont indiqué au FTD que Lopesan cherchait à convaincre un autre hôtelier espagnol, Riu, de s'allier avec lui. Il devrait même essayer de vendre le projet au patron de TUI, Michael Frenzel, lors d'une rencontre d'ici au 15 novembre, ont ajouté ces sources.
Le financement serait garanti a assuré M. de Armas
Riu est déjà un partenaire de TUI. Les deux sociétés détiennent notamment chacune 50% de Riu II, la société chargée de l'administration des hôtels portant l'enseigne du groupe espagnol. Riu, Lopesan et Satocan, tous trois basés dans les îles Canaries, ont été cités à plusieurs reprises dans la presse comme repreneurs potentiels des parts de WestLB dans TUI.
Le consortium Lopesan/Satocan semblait tenir la corde jusqu'à l'apparition la semaine dernière de rumeurs selon lesquelles les discussions étaient dans l'impasse, notamment pour des problèmes de financement. "Le financement est garanti. Cela ne doit pas être un problème pour les groupes avec lesquels nous discutons", a assuré M. de Armas.
WestLB, qui disait jusqu'alors vouloir vendre si possible ses parts avant la fin de l'année, avait dans le même temps laissé entendre que l'opération pourrait être retardée, car un nouvel investisseur potentiel venait de se manifester.
![Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/85025254-60665965.jpg?v=1734537945 "Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]")
