A côté de son master en tourisme international, Anaïs Panier a vécu une vie de « baroudeuse ».
Népal, Nouvelle-Zélande, Chili, Pérou... Entre ses voyages personnels et ses missions d'accompagnement pour des agences locales, elle a acquis une solide expérience du trekking et du voyage d'aventure.
« Travailler pour des agences réceptives m'a permis de les tester, mais aussi de constater qu'il y avait énormément de femmes dans les groupes que j'accompagnais », explique Anaïs Panier.
En novembre 2018, alors qu'elle est avec un groupe de 11 personnes au Népal, les participantes l'encouragent à monter sa propre société, Tekana. « Ça a été le parcours du combattant, se remémore Anaïs Panier. J'ai monté un business plan en 2 - 3 mois, obtenu un prêt d'honneur de ma banque pour ma communication et à partir de là, j'ai pu avoir ma garantie financière et mon immatriculation ».
Népal, Nouvelle-Zélande, Chili, Pérou... Entre ses voyages personnels et ses missions d'accompagnement pour des agences locales, elle a acquis une solide expérience du trekking et du voyage d'aventure.
« Travailler pour des agences réceptives m'a permis de les tester, mais aussi de constater qu'il y avait énormément de femmes dans les groupes que j'accompagnais », explique Anaïs Panier.
En novembre 2018, alors qu'elle est avec un groupe de 11 personnes au Népal, les participantes l'encouragent à monter sa propre société, Tekana. « Ça a été le parcours du combattant, se remémore Anaïs Panier. J'ai monté un business plan en 2 - 3 mois, obtenu un prêt d'honneur de ma banque pour ma communication et à partir de là, j'ai pu avoir ma garantie financière et mon immatriculation ».
De la rando yoga à la préparation pour l'UTMB
Autres articles
Pour l'heure, Anaïs Panier travaille sur ses produits et ses partenariats.
Elle est également en contact avec plusieurs clientes potentielles. « Ce sont principalement des femmes d'une trentaine d'années, sportives, qui vivent près de montagnes, notamment en région Rhône-Alpes et qui veulent se lancer un défi pour 2020 », analyse Anaïs Panier.
Car les voyages qu'elle propose demandent une certaine condition physique.
Divisés en quatre niveaux, ils s'adressent à la sportive du dimanche (mais sportive quand même) pour le plus accessible à la sportive de l’extrême, qui pratique une activité physique 4 fois par semaine minimum (trekking, trail, VTT, vélo de route, natation, alpinisme, escalade…).
« Ce dernier niveau est adapté aux filles qui souhaitent s’entraîner pour un ultra trail ou un triathlon », précise la fondatrice de Tekana.
Les séjours comprennent aussi bien du trekking, du vélo, du kayak, que du yoga ou de la découverte culturelle. « Je propose les destinations que je connais : Népal, Pérou, Bolivie, Tanzanie, et bientôt la France et la Suisse », ajoute Anaïs Panier.
Les séjours ne comprennent pas les vols internationaux, ce qui permet aux clientes de rester quelques jours de plus sur place si elles le souhaitent.
Elle est également en contact avec plusieurs clientes potentielles. « Ce sont principalement des femmes d'une trentaine d'années, sportives, qui vivent près de montagnes, notamment en région Rhône-Alpes et qui veulent se lancer un défi pour 2020 », analyse Anaïs Panier.
Car les voyages qu'elle propose demandent une certaine condition physique.
Divisés en quatre niveaux, ils s'adressent à la sportive du dimanche (mais sportive quand même) pour le plus accessible à la sportive de l’extrême, qui pratique une activité physique 4 fois par semaine minimum (trekking, trail, VTT, vélo de route, natation, alpinisme, escalade…).
« Ce dernier niveau est adapté aux filles qui souhaitent s’entraîner pour un ultra trail ou un triathlon », précise la fondatrice de Tekana.
Les séjours comprennent aussi bien du trekking, du vélo, du kayak, que du yoga ou de la découverte culturelle. « Je propose les destinations que je connais : Népal, Pérou, Bolivie, Tanzanie, et bientôt la France et la Suisse », ajoute Anaïs Panier.
Les séjours ne comprennent pas les vols internationaux, ce qui permet aux clientes de rester quelques jours de plus sur place si elles le souhaitent.
Sortir de sa zone de confort
Anaïs Panier a fondé Tekana en 2019. Avec ce TO, elle souhaite mettre en lumière le plein potentiel de chaque aventurière, à travers le voyage d'aventure et les possibles difficultés physiques rencontrées, avec un message bien précis : toute personne ordinaire est capable de choses extraordinaires - DR : Tekana
Pour se faire connaître auprès de la clientèle française mais aussi suisse romande, Anaïs Panier mise sur le bouche-à-oreille, la participation à des salons spécialisés (randonnée, nature), les événements sportifs (triathlon de Lausanne).
Elle communique également dans des revues spécialisées et cherche à se faire un nom dans le milieu du personnel saisonnier en montagne. « Il y a énormément de concepts qui se développent pour les femmes. Cela va des clubs de fitness aux clubs alpins », ajoute-t-elle.
Avec Tekana, Anaïs Panier espère également casser une barrière. « Il y a des filles qui veulent faire une ascension, mais qui n'ont pas confiance en elles, qui s’imaginent qu'elles vont être un "boulet" vis-à-vis des hommes du groupe. Le but ultime de mon projet est de montrer qu'en sortant de sa zone de confort, on réussit souvent à se découvrir soi-même ».
Et pour mettre en lumière le plein potentiel de chacune, « à travers le voyage d'aventure et les possibles difficultés physiques rencontrées », la fondatrice de Tekana a pour projet de réaliser en 2020, un film documentaire, qui pourrait être diffusé dans les festivals de montagne dédiés aux femmes, et pourquoi pas, dans les collèges, pour inspirer les jeunes filles.
Un film avec un message bien précis : toute personne ordinaire est capable de choses extraordinaires.
Elle communique également dans des revues spécialisées et cherche à se faire un nom dans le milieu du personnel saisonnier en montagne. « Il y a énormément de concepts qui se développent pour les femmes. Cela va des clubs de fitness aux clubs alpins », ajoute-t-elle.
Avec Tekana, Anaïs Panier espère également casser une barrière. « Il y a des filles qui veulent faire une ascension, mais qui n'ont pas confiance en elles, qui s’imaginent qu'elles vont être un "boulet" vis-à-vis des hommes du groupe. Le but ultime de mon projet est de montrer qu'en sortant de sa zone de confort, on réussit souvent à se découvrir soi-même ».
Et pour mettre en lumière le plein potentiel de chacune, « à travers le voyage d'aventure et les possibles difficultés physiques rencontrées », la fondatrice de Tekana a pour projet de réaliser en 2020, un film documentaire, qui pourrait être diffusé dans les festivals de montagne dédiés aux femmes, et pourquoi pas, dans les collèges, pour inspirer les jeunes filles.
Un film avec un message bien précis : toute personne ordinaire est capable de choses extraordinaires.