Au programme : Joon - Air France, XL Airways, Aigle Azur, les Gilets Jaunes et Disneyland Paris - Crédit photo : Depositphotos enterlinedesign
Renaud chantait dans son dernier album sorti en 2016 "Toujours vivant, rassurez vous Toujours la banane toujours debout" (clip vidéo à la fin).
Cette chanson, en coup de gueule, avait pour but de montrer que malgré l'attaque du temps, et la baisse de forme, le chanteur existait toujours. Des paroles qui auraient pu inspirer l'écriture de quelques articles de la semaine.
Toujours vivant, rassurez-vous. Ces dernières semaines n'ont pas été des plus agréables pour les agences de voyages situées dans certains centres-villes de France.
A l'image de Globe Travel se trouvant à Bordeaux, et qui subit chaque semaine les attaques répétées de casseurs, à la fin des défilés des Gilets Jaunes.
La responsable du point de vente confiait à TourMaG.com "nous avons encore fait les frais des Gilets Jaunes, samedi 12 janvier 2019, au soir. C'est la 3e fois qu'ils cassent notre vitrine, sauf que cette fois-ci, ils ont réussi à rentrer."
Et les intrus n'ont pas fait dans la demi-mesure. Ils ont littéralement saccagés l'agence dont il ne reste plus que "les quatre murs et le sol. Tout le matériel a été brûlé."
Si vous souhaitez relire le témoignage poignant d'Emmanuelle, mais aussi de son voisin Laurent Menanteau, de l'agence Promovacances du Cour Alsace-Lorraine à Bordeaux : Gilets Jaunes : l'énorme coup de gueule de la directrice "d'une agence dévastée" à Bordeaux !
Cette chanson, en coup de gueule, avait pour but de montrer que malgré l'attaque du temps, et la baisse de forme, le chanteur existait toujours. Des paroles qui auraient pu inspirer l'écriture de quelques articles de la semaine.
Toujours vivant, rassurez-vous. Ces dernières semaines n'ont pas été des plus agréables pour les agences de voyages situées dans certains centres-villes de France.
A l'image de Globe Travel se trouvant à Bordeaux, et qui subit chaque semaine les attaques répétées de casseurs, à la fin des défilés des Gilets Jaunes.
La responsable du point de vente confiait à TourMaG.com "nous avons encore fait les frais des Gilets Jaunes, samedi 12 janvier 2019, au soir. C'est la 3e fois qu'ils cassent notre vitrine, sauf que cette fois-ci, ils ont réussi à rentrer."
Et les intrus n'ont pas fait dans la demi-mesure. Ils ont littéralement saccagés l'agence dont il ne reste plus que "les quatre murs et le sol. Tout le matériel a été brûlé."
Si vous souhaitez relire le témoignage poignant d'Emmanuelle, mais aussi de son voisin Laurent Menanteau, de l'agence Promovacances du Cour Alsace-Lorraine à Bordeaux : Gilets Jaunes : l'énorme coup de gueule de la directrice "d'une agence dévastée" à Bordeaux !
Benjamin Smith est "toujours debout" malgré le poids des décisions
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Toujours debout. Il y en a un qui ne courbe pas l'échine, malgré l'ampleur de la tâche.
Le nouveau patron d'Air France-KLM est toujours droit dans ses bottes. En effet, après avoir réglé le problème des rémunérations des salariés de la compagnie nationale, Benjamin Smith a aussi rayé Joon de la carte des marques du Groupe.
Ni vraiment compagnie classique, ni complètement compagnie low cost, "la marque a dès le début été difficilement comprise par les clients, par les salariés, par les marchés, par les investisseurs," a bien reconnu Air France dans un communiqué. Problème réglé.
Il en est un autre aussi sur le bureau du patron : celui de Hop! La compagnie régionale ne devrait pas connaître le même avenir que sa jeune sœur. "Il croit en notre avenir, et semble confiant sur le sujet," expliquait un salarié de Hop! à notre spécialiste de l'aérien.
Si vous voulez connaître la vision de Benjamin Smith pour Transavia et Hop!, je vous laisse lire l'excellent papier : Joon, Transavia et Hop!... la valse à trois temps de Benjamin Smith
Tous ceux qui tombent, tombent à tour de bras et à tire d'ailes. Une ligne, une de moins pour ce début d'année 2019. Elle n'était pas la plus facile à lancer, mais Aigle Azur avait pris le pari, en 2018, de proposer Lyon Saint-Exupéry-Nantes.
Cette liaison très concurrentielle, entre deux aéroports qui connaissent un fort développement, n'aura tenu que 3 mois.
La raison invoquée, pour expliquer la suppression de la ligne, pourrait trouver une résonance dans la contestation populaire qui touche la France depuis novembre 2018. De l’avis du dirigeant d’Aigle Azur, "il est difficile d’investir en pleine incertitude sur la taxe sur le kérosène."
Gilets Jaunes et Aigle Azur n'ont pas vraiment le même combat. Je vous conseille fortement de consulter : Lyon Saint-Exupéry/Nantes : Aigle Azur jette l'éponge après 3 mois d'exploitation
Le nouveau patron d'Air France-KLM est toujours droit dans ses bottes. En effet, après avoir réglé le problème des rémunérations des salariés de la compagnie nationale, Benjamin Smith a aussi rayé Joon de la carte des marques du Groupe.
Ni vraiment compagnie classique, ni complètement compagnie low cost, "la marque a dès le début été difficilement comprise par les clients, par les salariés, par les marchés, par les investisseurs," a bien reconnu Air France dans un communiqué. Problème réglé.
Il en est un autre aussi sur le bureau du patron : celui de Hop! La compagnie régionale ne devrait pas connaître le même avenir que sa jeune sœur. "Il croit en notre avenir, et semble confiant sur le sujet," expliquait un salarié de Hop! à notre spécialiste de l'aérien.
Si vous voulez connaître la vision de Benjamin Smith pour Transavia et Hop!, je vous laisse lire l'excellent papier : Joon, Transavia et Hop!... la valse à trois temps de Benjamin Smith
Tous ceux qui tombent, tombent à tour de bras et à tire d'ailes. Une ligne, une de moins pour ce début d'année 2019. Elle n'était pas la plus facile à lancer, mais Aigle Azur avait pris le pari, en 2018, de proposer Lyon Saint-Exupéry-Nantes.
Cette liaison très concurrentielle, entre deux aéroports qui connaissent un fort développement, n'aura tenu que 3 mois.
La raison invoquée, pour expliquer la suppression de la ligne, pourrait trouver une résonance dans la contestation populaire qui touche la France depuis novembre 2018. De l’avis du dirigeant d’Aigle Azur, "il est difficile d’investir en pleine incertitude sur la taxe sur le kérosène."
Gilets Jaunes et Aigle Azur n'ont pas vraiment le même combat. Je vous conseille fortement de consulter : Lyon Saint-Exupéry/Nantes : Aigle Azur jette l'éponge après 3 mois d'exploitation
Low cost forever ?
Toutes ces rumeurs sur ma santé, on va pas en faire une affaire. L'année 2018 aura été sanglante pour les compagnies aériennes low cost long-courriers. Le modèle économique qui a démontré tout son intérêt sur les tarmacs européens, ne parvient pas à faire de même sur les vols transatlantiques.
Notre éditorialiste vedette est revenu sur la récente stratégie du "père Magnin" patron de XL Airways. Ce dernier entend pratiquer "des tarifs d’appel qui seront bientôt aussi bas que nos petits camarades de Norwegian ou Level."
Un choix qui ne semble pas être du goût de notre Dom' national "il va purement et simplement pratiquer le nivellement par le bas." Il est vrai que l'exemple de Norwegian est à suivre tant la santé financière de la compagnie norvégienne est...catastrophique voire même inquiétante.
Retrouver un édito empreint d'inquiétude : La case de l’Oncle Dom : XL Airways en un combat douteux...
J'suis retapé, remis sur pied. Si la situation financière de Disneyland Paris n'a jamais été très reluisante, le rêve attire toujours autant les visiteurs, que les salariés.
Pour offrir de la magie aux touristes, le parc d'attraction entend recruter en 2019 pas moins de 8 000 personnes. Pas 50, 500 ou 5000, mais bien 8 000. Un chiffre à faire avancer l'heure de l'apéritif au ministère du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social.
Et du dialogue il va en falloir car la recherche n'a pas l'air bien cadrée. "Nous cherchons des personnes ayant ou non des qualifications, des jeunes et moins jeunes, des débutants comme des personnes expérimentées" explique Daniel Dreux, vice-président des ressources humaines chez Disneyland Paris.
Bon ok, mais pour quels postes ? Notre spécialiste de l'emploi vous dit tout ici : 8 000 postes à pourvoir chez Disneyland Paris
Renaud vous donne quelques conseils après ce top 5 dont l'actualité n'a pas toujours été très réjouissante : "et que celui qui n'a jamais titubé, me jette la première bière."
La rédaction vous souhaite un excellent week-end... Tout en modération, bien sûr...
Notre éditorialiste vedette est revenu sur la récente stratégie du "père Magnin" patron de XL Airways. Ce dernier entend pratiquer "des tarifs d’appel qui seront bientôt aussi bas que nos petits camarades de Norwegian ou Level."
Un choix qui ne semble pas être du goût de notre Dom' national "il va purement et simplement pratiquer le nivellement par le bas." Il est vrai que l'exemple de Norwegian est à suivre tant la santé financière de la compagnie norvégienne est...catastrophique voire même inquiétante.
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J'suis retapé, remis sur pied. Si la situation financière de Disneyland Paris n'a jamais été très reluisante, le rêve attire toujours autant les visiteurs, que les salariés.
Pour offrir de la magie aux touristes, le parc d'attraction entend recruter en 2019 pas moins de 8 000 personnes. Pas 50, 500 ou 5000, mais bien 8 000. Un chiffre à faire avancer l'heure de l'apéritif au ministère du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social.
Et du dialogue il va en falloir car la recherche n'a pas l'air bien cadrée. "Nous cherchons des personnes ayant ou non des qualifications, des jeunes et moins jeunes, des débutants comme des personnes expérimentées" explique Daniel Dreux, vice-président des ressources humaines chez Disneyland Paris.
Bon ok, mais pour quels postes ? Notre spécialiste de l'emploi vous dit tout ici : 8 000 postes à pourvoir chez Disneyland Paris
Renaud vous donne quelques conseils après ce top 5 dont l'actualité n'a pas toujours été très réjouissante : "et que celui qui n'a jamais titubé, me jette la première bière."
La rédaction vous souhaite un excellent week-end... Tout en modération, bien sûr...