Au programme : le départ de Pascal de Izaguirre de TUI France, Air Sénégal, easyjet et Ryanair face au Brexit, Booking et la grande interview de Roland Héguy, président de la Confédération des Acteurs du Tourisme - Crédit photo : Depositphotos enterlinedesign
C'est l'info de la semaine !
Le départ de Pascal de Izaguirre de son poste de Président directeur général de TUI France. Il reste toutefois aux commandes de Corsair qui est en passe d'être vendue.
Le groupe TUI souhaite reprendre la main sur la filiale française et l'intègre en direct à la région Europe de l'Ouest. D'ailleurs c'est Elie Bruyninckx, CEO de TUI Western Region qui va désormais reprendre le poste laissé vacant par Pascal de Izaguirre.
Un changement organisationnel qui inquiète les salariés français. Ils redoutent la mise en oeuvre d'un énième plan de départs après les deux précédents : celui de 2012, lors de la fusion avec Nouvelles Frontières, et celui de 2016, lors du rachat de Transat.
Lire : Pascal de Izaguirre quitte ses fonctions de PDG de TUI France
Le départ de Pascal de Izaguirre de son poste de Président directeur général de TUI France. Il reste toutefois aux commandes de Corsair qui est en passe d'être vendue.
Le groupe TUI souhaite reprendre la main sur la filiale française et l'intègre en direct à la région Europe de l'Ouest. D'ailleurs c'est Elie Bruyninckx, CEO de TUI Western Region qui va désormais reprendre le poste laissé vacant par Pascal de Izaguirre.
Un changement organisationnel qui inquiète les salariés français. Ils redoutent la mise en oeuvre d'un énième plan de départs après les deux précédents : celui de 2012, lors de la fusion avec Nouvelles Frontières, et celui de 2016, lors du rachat de Transat.
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Autre sujet d'actualité : le lancement le 1er février 2019 d'Air Sénégal entre Paris et Dakar. Une liaison sur laquelle elle sera confrontée frontalement à Air France.
Corsair en revanche a été priée par les autorités sénégalaises de stopper l’exploitation de cette ligne - qu’elle opérait avec succès depuis 2012 - à partir du 31 janvier 2019, les accords bilatéraux entre la France et le Sénégal ne permettant qu’à deux compagnies d’opérer cette liaison.
La compagnie sénégalaise affiche désormais ses ambitions sur long-courrier. Elle a d'ailleurs commandé deux A330-900 neo, configurés en tri-classe. Elle sera la compagnie de lancement de cet appareil en Afrique.
Lire : Face à Air France, Air Sénégal se lance sur le long-courrier
Toujours dans l'aérien mais cette fois outre-Manche ! L'accord qui doit permettre de fixer les modalités de sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne aura lieu, normalement, le 29 mars 2019.
Mais le scénario du no deal (sans accord) n'a jamais été aussi probable. Dans ce contexte, les compagnies aériennes, au premier rang desquelles Ryanair et easyJet, ont anticipé cette éventualité.
Comment ont-elles sécurisé leur activité ? Nous vous expliquons tout !
Lire : Brexit : easyJet et Ryanair sont-elles parées pour un "no deal" ?
Corsair en revanche a été priée par les autorités sénégalaises de stopper l’exploitation de cette ligne - qu’elle opérait avec succès depuis 2012 - à partir du 31 janvier 2019, les accords bilatéraux entre la France et le Sénégal ne permettant qu’à deux compagnies d’opérer cette liaison.
La compagnie sénégalaise affiche désormais ses ambitions sur long-courrier. Elle a d'ailleurs commandé deux A330-900 neo, configurés en tri-classe. Elle sera la compagnie de lancement de cet appareil en Afrique.
Lire : Face à Air France, Air Sénégal se lance sur le long-courrier
Toujours dans l'aérien mais cette fois outre-Manche ! L'accord qui doit permettre de fixer les modalités de sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne aura lieu, normalement, le 29 mars 2019.
Mais le scénario du no deal (sans accord) n'a jamais été aussi probable. Dans ce contexte, les compagnies aériennes, au premier rang desquelles Ryanair et easyJet, ont anticipé cette éventualité.
Comment ont-elles sécurisé leur activité ? Nous vous expliquons tout !
Lire : Brexit : easyJet et Ryanair sont-elles parées pour un "no deal" ?
Après Disneyland Paris et Barrière, c'est au tour d'un acteur en ligne d'annoncer une vaste vague de recrutements.
Il s'agit de Booking qui recherche 420 téléconseillers voyages pour son site de Tourcoing. Le site est disponible 24h/24 et 7j/7, en 43 langues et nécessite une large équipe de conseillers.
Pour héberger son personnel, un nouveau bâtiment est en cours de construction, les travaux doivent s’achever en mai 2019.
Lire : Booking.com recherche 420 téléconseillers voyages
Enfin pour terminer la semaine, retour sur la première interview de la série "Je ne vous ai rien dit..." menée d'une main de maître par Dominique Gobert, notre éditorialiste.
A son micro cette semaine : Roland Héguy, président de l'UMIH et de la confédération des acteurs du tourisme qui aborde sans détour les enjeux du secteur du tourisme.
Morceau choisi : "Regardez, dans toutes les branches de l’économie, que ce soient l’industrie, le bâtiment, les banques, les assurances ou que sais-je encore, ils avancent ensemble et se regroupent dans certains intérêts communs.
Nous, nous avançons dans le désordre le plus complet.
Cependant, dès l’année 2019, nous allons arriver à un regroupement des branches. C’est une opportunité extraordinaire."
Pour retrouver l'intégralité de l'entretien c'est par ici !
Lire : Roland Héguy : « Nous ne méritons pas un Ministère du Tourisme ! »
Il s'agit de Booking qui recherche 420 téléconseillers voyages pour son site de Tourcoing. Le site est disponible 24h/24 et 7j/7, en 43 langues et nécessite une large équipe de conseillers.
Pour héberger son personnel, un nouveau bâtiment est en cours de construction, les travaux doivent s’achever en mai 2019.
Lire : Booking.com recherche 420 téléconseillers voyages
Enfin pour terminer la semaine, retour sur la première interview de la série "Je ne vous ai rien dit..." menée d'une main de maître par Dominique Gobert, notre éditorialiste.
A son micro cette semaine : Roland Héguy, président de l'UMIH et de la confédération des acteurs du tourisme qui aborde sans détour les enjeux du secteur du tourisme.
Morceau choisi : "Regardez, dans toutes les branches de l’économie, que ce soient l’industrie, le bâtiment, les banques, les assurances ou que sais-je encore, ils avancent ensemble et se regroupent dans certains intérêts communs.
Nous, nous avançons dans le désordre le plus complet.
Cependant, dès l’année 2019, nous allons arriver à un regroupement des branches. C’est une opportunité extraordinaire."
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