Le plus important rendez-vous professionnel du tourisme en France a attiré pour sa 26e édition 15.739 visiteurs, contre quelque 14.300 en 2003, selon les organisateurs lundi. Top Résa, regroupait cette année 1.360 marques du monde entier, dont 78 nouvelles: tour-opérateurs, hôteliers, offices de tourisme étrangers, transports, parcs de loisirs et services.
Avec les exposants, le nombre de professionnels présents atteint 20.706. L'affluence semble avoir un peu débordé la SNCF, qui n'avait déployé aucun moyen supplémentaire en dehors des trois trains spéciaux Paris-Deauville et retour affrétés par les organisateurs du salon, alors que la ligne comporte peu de trains directs.
Des passagers et des bagages entassés dans un tortillard...
Le dimanche, des dizaines de passagers refoulés, car ne disposant pas de la contremarque permettant de monter à bord du train spécial direct, se sont entassés dans le tortillard de 13h10, avec changement à Lisieux. A tel point que les bagages des passagers de retour du Salon encombraient les plate formes, rendant difficile l'accès d'une voiture à l'autre.
Des passagers fort mécontents de l'organisation et de la Sncf qui a préféré, pour des raisons évidentes, faire du surbooking tandis que le train spécial sur le quai voisin partait à moitié vide.
Sncf, c'est possible !
Jean DA LUZ - redaction@tourmag.com
Avec les exposants, le nombre de professionnels présents atteint 20.706. L'affluence semble avoir un peu débordé la SNCF, qui n'avait déployé aucun moyen supplémentaire en dehors des trois trains spéciaux Paris-Deauville et retour affrétés par les organisateurs du salon, alors que la ligne comporte peu de trains directs.
Des passagers et des bagages entassés dans un tortillard...
Le dimanche, des dizaines de passagers refoulés, car ne disposant pas de la contremarque permettant de monter à bord du train spécial direct, se sont entassés dans le tortillard de 13h10, avec changement à Lisieux. A tel point que les bagages des passagers de retour du Salon encombraient les plate formes, rendant difficile l'accès d'une voiture à l'autre.
Des passagers fort mécontents de l'organisation et de la Sncf qui a préféré, pour des raisons évidentes, faire du surbooking tandis que le train spécial sur le quai voisin partait à moitié vide.
Sncf, c'est possible !
Jean DA LUZ - redaction@tourmag.com