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Tour operating, affrètement : la dangereuse spirale des prix bradés

jusqu'où ne pas aller trop loin ?


Les consommateurs qui achètent un prix avant d’acheter leurs vacances sont légion. Les grands canaux de distribution l’ont bien compris. Ils achètent à prix bas des produits de volume à des producteurs qui, séduits pour certains par le « jack pot » annoncé, prennent des risques qui ne sont pas toujours à hauteur de leurs moyens. Démonstration en fut faite cet été avec l’affaire Elégance, un cas isolé qui a entaché toute la profession. A qui la faute ?


Rédigé par Michèle SANI - redaction@tourmag.com le Lundi 16 Octobre 2006

Et si la première faute revenait au consommateur qui se contredit sans cesse ? De plus en plus demandeur de services et de qualité il ne veut pas en payer le prix. Prompt à engager des procédures, il exige toutes les garanties en cas de problème.
La sécurité est devenue une revendication prioritaire mais, in fine, il achètera… un prix ! Et ce prix « bas », même s’il échappe à une certaine logique, fera la différence !

« Tout le monde est piégé. Si nous ne vendons pas les produits à bas prix le client les achètera de toute façon dans une autre agence », déclarait cet été Franck Gücer, spécialiste de la revente de vols secs et l’une des victimes de la défaillance du TO affréteur.

Encore plus déterminant quand il s’agit de vols secs sur compagnies charter, le prix aura toujours sa vérité. Les charters bénéficient rarement des meilleurs horaires. Ils ne sont pas toujours la panacée mais leurs prix alléchants ont un pouvoir attractif que nul ne peut nier.

Il restera tout de même à expliquer à ce consommateur, qui se croit bien informé, qu’en matière de tourisme, activité périssable dans l’instant, un prix bas n’est pas « toujours » synonyme de mauvais produit. La situation est complexe.

Ces TO qui rêvent du « jack pot »


Danger pour ces TO souvent méconnus du grand public – et même de leurs confrères – qui se laissent séduire par les sirènes de la grande distribution sans en mesurer toutes les conséquences. Voyagistes de petite structure ils s’engagent dans des plans de vols ambitieux, réglant la compagnie aérienne selon les lois du marché, avant le décollage, tout en acceptant d’être payés par leurs distributeurs après le retour des clients.

Ils jonglent, font de la cavalerie au risque de chuter, essoufflés, à la fin d’un été. Quand les rouages sont bien huilés, le profit vaut la prise de risque, mais il suffirait d’un retard de paiement pour que la mécanique se dérègle. Danger aussi pour ces TO qui ne diversifient pas leurs canaux de distribution.

« Les agences en ligne paient « aux taquets » mais elles ne sont pas les seules. Il est rare que les conditions de paiement soient respectées à la lettre » reconnaît un voyagiste de moyenne structure spécialisé dans les séjours balnéaires.

Ces distributeurs qui jouent « gagnant - perdant »

Danger d’une distribution qui table sur des contrats d’opportunité à durée très limitée et qui mène le bal, au gré de ses convenance, traitant avec ses producteurs aux prix les plus bas sans partage de risques. Danger de ces distributeurs qui, se jouant des termes contractuels, profitent du premier litige ou de la première erreur de descriptif pour geler les factures et reporter tout règlement.

Danger pour tous, tant le non respect contractuel de l’un peut engager la défaillance de l’autre. Dans ce métier, tout le monde a besoin de tout le monde..

N’affrétera plus qui veut ?

L’importance de la médiatisation des passagers en souffrance en Turquie - et en Israël - en raison de la défaillance financière des affréteurs a amené les Pouvoirs Publics et les instances professionnelles à chercher et à proposer des parades.

« N’importe qui ne pourra plus affréter » déclarait lors d’une conférence de presse début septembre 2006 Léon Bertrand, ministre délégué au tourisme. Il mettait en garde les agences de voyages qui prennent des engagements économiques trop risqués, le danger venant du non paiement des compagnies aériennes.

« Il faudra mettre en place un dispositif permettant d’étendre aux vols secs la garantie de retour des voyageurs. Cela est techniquement difficile et implique une modification législative » avait ajouté le ministre.

Les garanties diffèrent selon les volumes d’affaires

Les agences de voyages licenciées ont les mêmes droits et les mêmes devoirs à ce détail près : leurs garanties diffèrent en fonction de leurs activités et de leurs volumes d’affaires. Affréter demande des règles techniques précises et une réelle compétence professionnelle. Le risque surgit quand une agence traditionnelle de quartier change d’activité et affrète à tout va sans avoir les compétences et la surface financière nécessaire.

L’APS a proposé la mise en place d’une procédure selon laquelle les affréteurs donneraient à la DGAC, qui accorde les droits de trafic, les accords préalables de leur garant financier et de leur assureur en responsabilité civile professionnelle.

Cette procédure ne concernerait que les affréteurs ponctuels ou nouveaux venus sur le marché et non les voyagistes qui exercent à plein temps une activité de tour-opérateur.
« Il faut garder à l’esprit que nombre des affaires pour lesquelles l’APS a apporté son aide relève avant tout d’une accumulation d’incompétences » déclarait Bernard Didelot, président de l’APS.

De son côté Georges Colson, président du SNAV, souhaite engager une réflexion sur certains aspects économiques de la profession. « Les partenaires distributeurs et producteurs doivent avoir conscience des risques financiers vers lesquels ils s’engagent et être à l’écoute les uns des autres, sans occulter leurs difficultés éventuelles » déclarait-il récemment à Tourmag.com.

Ce thème devrait d’ailleurs être l’un des sujets de la Convention de janvier 2007 qui se déroulera à Biarritz.

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Commentaires

1.Posté par Zazou voyages le 17/10/2006 08:43 | Alerter
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Et que penser des TO qui servent de banque aux réseaux ?
Pourquoi existe-t-il deux vitesses dans cette profession ? :

1/ d'un côté, les conditions de vente que signent les clients dans les agences leur imposent de régler le solde de leur voyage 30 jours avant le départ.
2/ Les réseaux, grde distribution, webistes règlent le TO 15, 30, voire 60 jours après le départ du client.

L'argent est donc en stand by pendant une période de 45 à 90 jours.
Le TO pendant ce temps là doit régler ses fournisseurs (aériens et terrestres) qui, eux, ne l'entendent pas de cette oreille.
Donc le TO fait une avance conséquente de trésorerie.
Cela s'appelle, jouer au banquier.
Si on considère qu'il faut être "fou" pour laisser de grosses sommes d'argent en stand by, sans les faire travailler, on peut dire que, bien placées sur des sicav monétaires, ces petites économies peuvent engendrer des points de com supplémentaires.
Il est pourtant question de ne pas jouer avec l'argent des clients (voir avec l'APS). Or que celui qui ne le fait pas jette le premier pavé.

Nous avons donc, en final :
- un client qui a payé rubis sur l'ongle
- des distributeurs, qui, sous le prétexte qu'ils sont regroupés, utilisent leur fournisseur comme une banque
- des TO, qui en plus de leur rôle de producteur, d'affrèteur et de preneur de risques (puisque les distributeurs ne s'engagent pas financièrement sur les stocks) jouent aux banquiers. Le tout après avoir distribuer des commissions substantielles, des surcommissions pas toujours justifiées, prévu des fonds marketing, des workshops, des caravanes de leaders, des éductours et j'en passe...Si ce n'est pas de l'engraissage....

La semaine dernière, nous parlions des TO qui veulent supprimer les commissions, et faire du B to C leur fond de commerce.
N'est ce pas parceque l'eau est en train de déborder du vase ?

Est ce que l'erreur de viendrait pas du fait que les réseaux abusent de leur position ?
Mais en même temps, les To n'ont-ils pas scié la branche sur laquelle ils étaient assis.
Pourquoi avoir accepté toutes ces conditions ? Pourquoi accepter d'être référencés partout ? Pourquoi donner 17% de com à une agence réseau, qui ne réalise qu'un dossier par an, alors que dans la rue d'à côté, une agence indépendante (qui elle est moins bien rémunérée) réalise beaucoup plus de CA ?
Pourquoi avoir ignoré les plus grands pourvoyeurs d'affaires que sont les indépendants, qui eux paient à 30 jours, ne réclament pas de rémunérations exorbitantes et font souvent de plus beaux dossiers que les "réseauifiés".
Ils sont sympas les indépendants, parceque finalement, quand les TO prévoient 25 points de marge, commissions et autres, et que seulement 10 à 13 points vont aux indépendants, il y a quelques points qui servent encore pour les réseaux. Donc on pourrait dire que le travail des indépendants subventionne celui des réseaux.
Certains vont dire que les indépendants n'ont qu'à rejoindre un réseau. OUi comme cela il y aura encore des cotisations qui circuleront.

Il est vraiment temps que chacun se pose les bonnes questions.

Bonne journée
Z

2.Posté par marcel voyages le 17/10/2006 09:02 | Alerter
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z tu as raison !!!
en independant je me limitais a qques TO pour avoir les meilleurs taux de com
j'ai été considéré comme un pigeon par ces to
depuis, j'ai payé une adhesion a un reseau et maintenant je n'ai plus a les vendre en priorité
c'est plus confortable pour moi vis a vis des clients et plus lucratif tant pis pour eux
les TO se sont sabordés sur l'hôtel du volume virtuel
bonne journée

3.Posté par J.P. Simeon le 17/10/2006 09:24 | Alerter
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on ne peut pas reprocher au consommateur d'acheter le meilleur prix; C'est devenu une véritable culture, dans tous les domaines, meubles, épicerie....
Le problème est que consommateur se retrouve désorienté quand les prix sont normaux.
Pour prendre l'exemple de la république Dominicaine, voici 6 ans, 600 € pour un 3* all incl était un prix cassé.
A cette époque, un siège dans le cadre d'engagement très lourds coutait 400 €
une demi double all incl bon marché 20 € et un transfert 10 €, soit un total achat de 550 €.
Passe il y a 2 ans Maxi, qui n'a aucune idée de la saisonnalité ni des règles du long courrier.
On se retrouve à des prix de vente de 240 € sur le Web. Or tout à augmenté de 20%!!!
Et là, magie !!!
Certains gros distributeurs réactifs comprennent l'intéret des très bas prix, surtout quand on vend en ligne, c'est à dire avec des frais de traitement très faibles. Il suffit en effet de faire entendre le chant des sirènes à de petits producteurs :
vas y, prends de la capacité, on te suit, on te fera des newsletters, on te mettra en avant...
et vlan, le marché se retourne un peu, on casse, cela fait baisser les autres de manière quasi mécanique, comme à la bourse, cela s'appelle le benchmark.
le petit producteur a vendu 10 % de ses sièges à 15 % de marge, 20 % prix coutant, 50 % à forte perte, et le reste tout perdu.
2 avions, et c'est fini.
Y a t il des solutions ?
la prudence ? l'auto régulation
ne rèvons pas.
Le gendarme ? ma grand mêre disait que c'était le commencement de la sagesse !!
2 pistes : la proposition de Monsieur Didelot, de réglementer l'affrètement en est une excellente, mieux vaut qu'un petit producteur débutant commence par un coaff de 20 sièges, gagne de l'argent et en fasse 50 la saison d'après, plutot que de déposer le bilan.
Une intervention de la répression des fraudes ?
Vraiment pas souhaitable, on a déja le permis à point, les impots, la csg, la loi de 92.
il ne reste donc que Monsieur Didelot, je lui fais confiance.

4.Posté par Zazou voyages le 17/10/2006 10:14 | Alerter
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C'est une très bonne analyse Mr Siméon.
Les "petits malins" n'ont qu'une solution : brader pour pouvoir s'imposer. Il est vrai qu'en backoffice il est facile de travailler avec du personnel réduit et payer à "coup de figues molles". Mais là, encore une fois, c'est la distribution et les réseaux qui se laissent bercer par le chant des sirènes et vendent ces produits. Les webistes (dont je vous retire puisque vous êtes à part) qui courent après les parts de marché et ont besoin de beaucoup de stocks font marcher les "bradeurs".
Il faut arrêter la sousenchères des prix. Jusqu'où allons nous ? Bientôt devra-t-on payer le client pour qu'il parte ? Encore que cela se fait déjà avec les responsables de CE....(na!!!)
Trouverons nous les fameux "Conseillers en voyage" dont rêvent tous nos chefs d'entreprises ? Croyez vous que nous aurons du personnel compétent sous-payé, sous prétexte que nos marges sont faibles, voire inexistantes ?
Et si nous n'arrivons pas à conseiller le client, à lui vendre un produit à valeur ajoutée, ce client ira de plus en plus acheter sur internet, UN PRIX et non pas un voyage. Et un prix, c'est un produit de M....non sécurisé, sur des compagnies "bananières" etc....Mais on y est déjà non ?
Alors message à Mr COLSON. Un jour dans la presse professionelle, vous avez lancé un message disant que votre société ne voulait pas brader son travail, son personnel, mais aussi les populations locales qui recoivent nos clients (que pensent nos amis marocains et tunisiens des promos à moins de 100 € ?). C'était une excellente initiative. Pourquoi ne pas transmettre cette philosophie, aujourd'hui, à l'ensemble de la profession ?
Pourquoi ne pas décider, tous ensemble , de relever nos marges et de faire payer aux clients notre travail à sa juste valeur ? Pourquoi quand on vend un jean, on a 50% de marge, et pas quand on vend un voyage à l'autre bout du monde, avec toutes les sommes de travail que cela demande ?

Certains vont me traiter d'utopiste .... Qu'est ce qu'on fait alors ? On continue à foncer vers le MUR ?

Z

5.Posté par Cordier Pascal Ambre Voyages le 17/10/2006 10:25 | Alerter
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les zazous, marcel et tartanpion voyages, soyez un peu courageux et signé votre réel nom, de quoi avez vous peur que l'on vous reconnaisse? et alors.....
Ce discours que vous avez, je le dit haut et fort depuis mon ouverture cad 5 ans. et depuis 5 ans j'essaye aussi de faire comprendre au TO qu'ils scient la branche sur laquelle il sont assis , c'est à dire les indépendants. Je suis comme vous l'avez compris un indépendant aussi,qui n'as pas besoin de payer mes fournisseurs après le départ pour réussir, preuve en ai, j'ai crée ou repris 2 agences depuis.
Mais effectivement j'ai besoin d'un taux de commissionnement décent soit 13 voir 14,
Je dirai respectons les engagement des TO, et que les TO donnent des taux de commissions honorables aux agences indépendantes qui existent depuis longtemps ou qui débutent, car c'est aussi leur survie qui est en jeu.
Les TO ont raison de dire que les réseaux les étrangles, c'est d'ailleurs peut être pour cela que nous subissons les n° de tel payants, que les TO développent leur canaux de distrib BTOC, Je pense que si les réseaux étaient un plus raisonnable nous n'en serions peut être pas là.
Au TO de savoir avec qui ils veulent travailler . La majorité des personnes qui sont à la tête des réseaux ne sont pas des bénévoles, alros forcement cela coûte cher, très cherà leur adhérents, en même temps il faut les comprendre pour la majorité d'entre eux ils n'ont plus d'agences pour les faire vivre, mais alors sont ils à même de comprendre les difficultés de leurs adhérents? . Existe t il un réseau ou les reponsables sont des bénévoles?qui ont encore leurs agences de voyages? qui ne coûte pas très cher aux adhérents?, un réseau qui s'occupe plus de la vie ou survie de leurs adhérents plutôt que la survie économique du bureau du réseau.
A bientôt sur la vie trépidante des indépendants.....
CORDIER PASCAL -AMBRE VOYAGES

6.Posté par j.p.Simeon le 17/10/2006 10:55 | Alerter
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je pense , en effet, zazou, que c'est utopique, car ce n'est pas la racine du problème.
L'origine de la baisse des prix est un sur-engagement général, dû à un marché flat face au désir légitime des petits de devenir gros.
Vous ne pourrez pas décider, seule, ou même avec 80 % de la distribution derrière vous, de maintenir un niveau de prix élevé, tant qu'il existera 1 seul couple infernal, distributeur internet important non engagé / TO trop engagé.
Je ne pense pas non plus, Pascal, que les réseaux soient responsables de cet état de fait, leur jeu n'est pas nocif, il permet à des petits de mettre en commun des moyens qui ne sont pas dénués d'efficacité.
Si les prix ne s'effondraient pas, les TO pourraient supporter le faible coût des réseaux.
Je maintiens que les 2 seules pistes sont la limitation de l'offre, ou la règlementation des limites du yield, encore qu'en l'espèce, le terme soit dévoyé, utilisons plutot le terme réel de vente à perte. Mais cela, même sans être utopique n'est pas simple.

7.Posté par laurence le 17/10/2006 11:41 | Alerter
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en fait, c'est un problème général de consommation.C'est vrai ! pour le consommateur, pourquoi ne pas chercher à consommer plus, si l'on peut consommer moins cher. Et donc, pourquoi , par exemple, se priver de la production chinoise moins cher, au lieu d'acheter français plus cher. Sauf que celà a des conséquences graves sur l'économie française, que le consommateur ne veut pas voir, jusqu'au jour où il est lui-même touché !!!protectionnisme ? civisme ?dans notre domaine, effectivement, le consommateur n'est pas très cohérent , mais c'est sa logique de consommateur qui le guide : il exige du charter français , avec la sécurité , les créneaux horaires évoqués par mr Siméon, mais au prix du charter venant des pays réceptifs, sans les créneaux horaires de ces derniers charters

8.Posté par Zazou voyages le 17/10/2006 11:59 | Alerter
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Je pense que nous avons tous cerné différents problèmes. Il faut trouver des solutions afin que notre solution s'en sorte. Oui Laurence le consommateur veut payer moins cher. MAIS si nous ne lui fournissons pas de prix "bradés", il sera bien obligé de payer le véritable prix. Il fera des économies sur d'autres postes (bricolage, vêtements, resto...) car le loisir, les vacances sont devenues tellement importants pour nos chers clients.
PS : salut mon pascalou....

9.Posté par Cordier Pascal Ambre Voyages le 17/10/2006 22:32 | Alerter
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zazou rime avec pascalou mais pas avec grenouille..dommage....

10.Posté par JC le 21/10/2006 20:41 | Alerter
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Pauvres TO qui comme Croisitour par exemple paye ses fournisseurs à 730 Jours... sans parler de ceux qui comme Maxi ont planté tout le monde ... et la liste serait longue. Alors que les TO ne s'étonnent pas de voir débarquer les réceptifs sérieux en direct avec les agences.... en s'offusquant d'une concurrence déloyale... alors qu'ils ne se gènent pas poour ouvrir leurs propres bureaux ou alors pour contracter des hôtels en direct.
JC

11.Posté par Jilou le 23/10/2006 18:02 | Alerter
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Et si tout simplement l'aerien n'etait pas democratisable???
Que les clients arretent de se plaindre d'un probleme quand ils paient un sejour a prix ultra casses. Rouler en Mercedes ou en Lada, c'est pas la meme chose ! C'est pareil en aerien. Si vous prenez des risques, assumez les ! Le client est responsable. Il n'est pas bete a ce point. Et s'il n'a pas les moyens de se payer un voyage decent et sans risques alors qu'il change de destination!
Y'en a plus que marre de repeter toujours la meme chose. Tout a un prix. Chers clients, Vous ne voulez pas payer cher votre sejour, ca vous regarde, mais ne vous plaignez pas ! vous le saviez avant de partir !


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