Richard Vainopoulos, a rappelé l’urgence de trouver une solution pour protéger les consommateurs et les agences de voyages en cas de faillite d’une compagnie aérienne.
Selon lui, la fragilité financière de nombreuses compagnies justifie la constitution urgente d’une caisse de garantie permettant de rembourser les consommateurs et les agences de voyages en cas de faillite d’une compagnie aérienne.
A l’instar de l’Association Professionnelle de Solidarité, qui remplit cette fonction pour les agences de voyages, cette caisse de garantie devrait être financée par les compagnies aériennes.
Une proposition que Georges Colson, Président de Fram et également présent au forum, a vivement soutenue.
Anticiper dès aujourd’hui les faillites de demain...
En vertu de la loi de 1992, les agences de voyages qui ont vendu un trajet aérien dans le cadre d’un forfait sont en effet responsables en cas de défaillance de la compagnie.
Quant aux consommateurs qui ont acheté seulement un billet auprès de la compagnie ou d’une agence de voyages, aucun remboursement ne leur est aujourd’hui garanti.
Dans ces deux cas, le droit commun des faillites s’applique : l’agence de voyages et le consommateur viennent s’ajouter à la longue liste des créanciers de la compagnie défaillante.
Pour Richard Vainopoulos, "la faillite d’AirLib est la confirmation qu’il faut anticiper dès aujourd’hui les faillites qui se reproduiront inévitablement dans le paysage aérien, au détriment de la distribution comme du client."
Selon lui, la fragilité financière de nombreuses compagnies justifie la constitution urgente d’une caisse de garantie permettant de rembourser les consommateurs et les agences de voyages en cas de faillite d’une compagnie aérienne.
A l’instar de l’Association Professionnelle de Solidarité, qui remplit cette fonction pour les agences de voyages, cette caisse de garantie devrait être financée par les compagnies aériennes.
Une proposition que Georges Colson, Président de Fram et également présent au forum, a vivement soutenue.
Anticiper dès aujourd’hui les faillites de demain...
En vertu de la loi de 1992, les agences de voyages qui ont vendu un trajet aérien dans le cadre d’un forfait sont en effet responsables en cas de défaillance de la compagnie.
Quant aux consommateurs qui ont acheté seulement un billet auprès de la compagnie ou d’une agence de voyages, aucun remboursement ne leur est aujourd’hui garanti.
Dans ces deux cas, le droit commun des faillites s’applique : l’agence de voyages et le consommateur viennent s’ajouter à la longue liste des créanciers de la compagnie défaillante.
Pour Richard Vainopoulos, "la faillite d’AirLib est la confirmation qu’il faut anticiper dès aujourd’hui les faillites qui se reproduiront inévitablement dans le paysage aérien, au détriment de la distribution comme du client."