Vincent Fonvielle, président d'ATR et PDG de la Balaguère, et Julien Buot, DG d'ATR ont présenté lors du Forum du SETO qui s'est tenu à Lyon les 15 et 16 décembre 2015, le nouveau label Agir pour un Tourisme Responsable (ATR).
« Ce nouveau label est adapté aux tour-opérateurs qui font du mainstream. L'objectif est de changer la culture des grands tour-opérateurs du SETO. Nous souhaitons aussi sortir de l'image qui colle au tourisme responsable, et qui apparaît comme une niche commerciale réservée aux TO d'aventure », explique Vincent Fontvielle.
Pour ce faire, ATR a planché, pendant près d'un an sur le cahier des charges, dans le cadre d'une cellule technique qui a réuni des membres d'ATR, du SETO, des représentants de réceptifs, ainsi que des intervenants extérieurs dont Guillaume Cromer, directeur du cabinet ID-Tourisme et représentant Travelife pour les tour-opérateurs en France.
Sur les 13 membres de l'association, 9 entreprises étaient jusqu'ici certifiées par l'AFNOR sur la base du référentiel "vers un tourisme responsable" (REF-A97-02). Pour la nouvelle mouture, AFNOR a été abandonné au profit d'Ecocert.
« Le label, plus souple, est à la fois exigent, crédible, reconnaissable par les clients et économique accessible. Il regroupe également ATR et TravelLife » souligne le président d'ATR.
« Ce nouveau label est adapté aux tour-opérateurs qui font du mainstream. L'objectif est de changer la culture des grands tour-opérateurs du SETO. Nous souhaitons aussi sortir de l'image qui colle au tourisme responsable, et qui apparaît comme une niche commerciale réservée aux TO d'aventure », explique Vincent Fontvielle.
Pour ce faire, ATR a planché, pendant près d'un an sur le cahier des charges, dans le cadre d'une cellule technique qui a réuni des membres d'ATR, du SETO, des représentants de réceptifs, ainsi que des intervenants extérieurs dont Guillaume Cromer, directeur du cabinet ID-Tourisme et représentant Travelife pour les tour-opérateurs en France.
Sur les 13 membres de l'association, 9 entreprises étaient jusqu'ici certifiées par l'AFNOR sur la base du référentiel "vers un tourisme responsable" (REF-A97-02). Pour la nouvelle mouture, AFNOR a été abandonné au profit d'Ecocert.
« Le label, plus souple, est à la fois exigent, crédible, reconnaissable par les clients et économique accessible. Il regroupe également ATR et TravelLife » souligne le président d'ATR.
3 grands axes déclinés en 16 critères
Pour inciter les voyagistes à aller vers ce label, une période d'accompagnement de deux ans, leur permettra d'entrer pas à pas dans les 16 critères requis (voir image ci-dessous).
Pendant ce délai, ils pourront afficher le logo ATR, accompagné de la mention « Labellisation en cours ». Au préalable, ils devront adhérer à l'association et signer la charte.
Puis, l'audit externe d'Ecocert viendra valider les actions mises en place avant la labellisation définitive.
Le label s'appuie sur trois axes principaux : la transparence vis à vis du client, le partenariat vis à vis des prestataires et des réceptifs, et la cohérence qui s'appliquent aux entreprises elles-mêmes.
« Ce process » poursuit Vincent Fonvielle, « fait énormément progresser nos entreprises en matière de performances économiques, de réduction des coûts, et améliore globalement la qualité. Par ailleurs, on note un engagement du personnel, car il y a une dimension sociale. Enfin, ce label permet d'anticiper sur de futures réglementations. » ajoute t-il.
Lancer dans un premier temps pour séduire les tour-opérateurs, le nouveau label a l'ambition de s'ouvrir dans un deuxième temps, à d'autres composantes de l’industrie touristique.
Pendant ce délai, ils pourront afficher le logo ATR, accompagné de la mention « Labellisation en cours ». Au préalable, ils devront adhérer à l'association et signer la charte.
Puis, l'audit externe d'Ecocert viendra valider les actions mises en place avant la labellisation définitive.
Le label s'appuie sur trois axes principaux : la transparence vis à vis du client, le partenariat vis à vis des prestataires et des réceptifs, et la cohérence qui s'appliquent aux entreprises elles-mêmes.
« Ce process » poursuit Vincent Fonvielle, « fait énormément progresser nos entreprises en matière de performances économiques, de réduction des coûts, et améliore globalement la qualité. Par ailleurs, on note un engagement du personnel, car il y a une dimension sociale. Enfin, ce label permet d'anticiper sur de futures réglementations. » ajoute t-il.
Lancer dans un premier temps pour séduire les tour-opérateurs, le nouveau label a l'ambition de s'ouvrir dans un deuxième temps, à d'autres composantes de l’industrie touristique.
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