La forte concurrence, la vigueur du dollar face à l’euro et à la livre sterling, ainsi que l’activité volcanique en Islande ont entraîné une baisse des profits de Transat, au cours du 2ème trimestre et du 1er semestre 2010.
Compte tenu de cette conjoncture, le Groupe reste prudent et préfère ne pas s'aventurer sur le terrain des pronostics.
Pour l'heure, il annonce pour le second semestre un taux de remplissage "légèrement supérieur à celui de 2009 à la même date, les réservations au départ du Canada et de l’Europe étant supérieures. "
Du côté des prix, ils sont aussi supérieurs sur les deux marchés, "mais compte tenu de la baisse des devises européennes, le revenu moyen par réservation est identique à celui de l’été dernier à la même date" (conversion faite en dollars canadiens).
Toujours pour le second semestre, en France, le voyagiste annonce des ventes moyen-courriers en "retard par rapport à 2009" précisant que "les prix de vente sont sous très fortes pressions". Sur le long-courriers, les ventes et les prix de vente sont supérieurs à ceux de l’été 2009.
"Une proportion importante des stocks demeure encore à vendre tant au Canada qu’en Europe"
Compte tenu de cette conjoncture, le Groupe reste prudent et préfère ne pas s'aventurer sur le terrain des pronostics.
Pour l'heure, il annonce pour le second semestre un taux de remplissage "légèrement supérieur à celui de 2009 à la même date, les réservations au départ du Canada et de l’Europe étant supérieures. "
Du côté des prix, ils sont aussi supérieurs sur les deux marchés, "mais compte tenu de la baisse des devises européennes, le revenu moyen par réservation est identique à celui de l’été dernier à la même date" (conversion faite en dollars canadiens).
Toujours pour le second semestre, en France, le voyagiste annonce des ventes moyen-courriers en "retard par rapport à 2009" précisant que "les prix de vente sont sous très fortes pressions". Sur le long-courriers, les ventes et les prix de vente sont supérieurs à ceux de l’été 2009.
"Une proportion importante des stocks demeure encore à vendre tant au Canada qu’en Europe"
Perte nette au 1er semestre 2010
Quant aux résultats financiers, le bénéfice net du groupe s'établit au cours du deuxième trimestre 2010, à près de 6,2 millions de dollars canadiens (4,9 M€), en net recul comparé aux 42,2 millions de dollars canadiens (33,7 M€) enregistrés à la même période l'année précédente.
Le Groupe affiche des revenus à 1,06 milliard de dollars canadiens (846,2M€) pour le trimestre terminé le 30 avril 2010, soit une baisse 6,1 % par rapport à 2009.
Sur le premier semestre, Transat accuse une perte nette de 7,7 millions de dollars canadiens (6,1 M€) contre un profit net de 12,7 millions de dollars canadiens par rapport au premier semestre 2009.
Le revenus sont également en retrait sur la période, passant de 2 milliards de dollars canadiens en 2009, à 1,8 milliard au 1er semestre 2010.
Le Groupe affiche des revenus à 1,06 milliard de dollars canadiens (846,2M€) pour le trimestre terminé le 30 avril 2010, soit une baisse 6,1 % par rapport à 2009.
Sur le premier semestre, Transat accuse une perte nette de 7,7 millions de dollars canadiens (6,1 M€) contre un profit net de 12,7 millions de dollars canadiens par rapport au premier semestre 2009.
Le revenus sont également en retrait sur la période, passant de 2 milliards de dollars canadiens en 2009, à 1,8 milliard au 1er semestre 2010.
Volumes en baisse en France au 1er semestre
Les revenus des filiales européennes, "qui proviennent de ventes faites à des clients en Europe et au Canada" ont diminué de 12,3 %, avec un nombre de voyageur en hausse.
A noter toutefois des disparités : si les volumes progressent du côté de Canadian Affair, ils baissent en revanche en France.
Les activités européennes ont affiché une perte d’exploitation de 13,4 millions de dollars, contre 9,5 millions de dollars par rapport à 2009. "La baisse des marges résulte aussi des coûts encourus par Transat en Europe à la suite de l’activité volcanique en Islande."
Jean-Marc Eustache, président et chef de la direction précise que "l’activité volcanique en Islande a entraîné des coûts imprévus de 4 millions de dollars"
A noter toutefois des disparités : si les volumes progressent du côté de Canadian Affair, ils baissent en revanche en France.
Les activités européennes ont affiché une perte d’exploitation de 13,4 millions de dollars, contre 9,5 millions de dollars par rapport à 2009. "La baisse des marges résulte aussi des coûts encourus par Transat en Europe à la suite de l’activité volcanique en Islande."
Jean-Marc Eustache, président et chef de la direction précise que "l’activité volcanique en Islande a entraîné des coûts imprévus de 4 millions de dollars"
W. Brian Edwards a été nommé administrateur indépendant de la Société.
En 1988, W. Brian Edwards a fondé BCE Emergis qui est devenue une des plus importantes sociétés de commerce électronique en Amérique du Nord.
Il est président du conseil d'administration de Technologies Miranda inc (TSX: MT) et de Biotonix 2010 inc. (TSX: BTX-V) et membre du conseil de Camoplast inc. et de Impath Networks Canada Corporation.
Il est vice-président du conseil des gouverneurs de l'Université Concordia et a longtemps œuvré auprès de Centraide y compris à titre de coprésident de la campagne. Brian Edwards est titulaire d'un baccalauréat en commerce de l'Université Concordia.
En 1988, W. Brian Edwards a fondé BCE Emergis qui est devenue une des plus importantes sociétés de commerce électronique en Amérique du Nord.
Il est président du conseil d'administration de Technologies Miranda inc (TSX: MT) et de Biotonix 2010 inc. (TSX: BTX-V) et membre du conseil de Camoplast inc. et de Impath Networks Canada Corporation.
Il est vice-président du conseil des gouverneurs de l'Université Concordia et a longtemps œuvré auprès de Centraide y compris à titre de coprésident de la campagne. Brian Edwards est titulaire d'un baccalauréat en commerce de l'Université Concordia.