i["A l’attention de Michelle SANI et de Christophe DOURNAUX
L’article de Christophe DOURNAUX « Un portail qui veut faire du neuf avec du vieux… » (voir la cartouche Autre articles) a déclenché des réactions tranchées qui laissent peu de place à un dialogue constructif.
Cet article contient pourtant les ingrédients d’une bonne analyse des dysfonctionnements techniques sur lesquels ces interlocuteurs s’appuient encore aujourd’hui (mauvaise actualisation des stocks, faible représentativité des hébergements existants,….).
Ayant été interrogé, par l’un de vos collègues, sur un sujet proche « Internet, un avenir économique pour l’agence de voyages » (en pièce attachée), j’avais rédigé un texte qui contient des informations constitutives et complémentaires des réflexions de C. DOURNAUX…
Ce n’est absolument pas la querelle des anciens et des modernes mais bien plus l’observation de ce qui, depuis plus de quarante ans (vous souvenez-vous d’ORDIVACANCES ?), freine le fonctionnement de la mise en marché sur internet des destinations touristiques.
Les modèles existants, toujours qualifiés d’innovants, se ressemblent étrangement en s’intéressant toujours à la même frange de 10 à 20% des hébergements français susceptibles d’être commercialisés selon les techniques du « tour operating ».
L’article de Christophe DOURNAUX « Un portail qui veut faire du neuf avec du vieux… » (voir la cartouche Autre articles) a déclenché des réactions tranchées qui laissent peu de place à un dialogue constructif.
Cet article contient pourtant les ingrédients d’une bonne analyse des dysfonctionnements techniques sur lesquels ces interlocuteurs s’appuient encore aujourd’hui (mauvaise actualisation des stocks, faible représentativité des hébergements existants,….).
Ayant été interrogé, par l’un de vos collègues, sur un sujet proche « Internet, un avenir économique pour l’agence de voyages » (en pièce attachée), j’avais rédigé un texte qui contient des informations constitutives et complémentaires des réflexions de C. DOURNAUX…
Ce n’est absolument pas la querelle des anciens et des modernes mais bien plus l’observation de ce qui, depuis plus de quarante ans (vous souvenez-vous d’ORDIVACANCES ?), freine le fonctionnement de la mise en marché sur internet des destinations touristiques.
Les modèles existants, toujours qualifiés d’innovants, se ressemblent étrangement en s’intéressant toujours à la même frange de 10 à 20% des hébergements français susceptibles d’être commercialisés selon les techniques du « tour operating ».
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Bien qu’ayant passé de très nombreuses années sur le sujet, et incidemment y avoir lourdement investi, c’est la première fois que je découvre un article qui « fouille » les ficelles techniques et pointe, avec une grande exactitude, les différents aspects qui expliquent pourquoi cette initiative n’a aujourd’hui que peu d’intérêt, sur le plan de l’innovation.
Ceci étant, cette initiative ne dérange personne car il n’y a pas matière à l’être. Le point de départ de l’affaire ALLINFRANCE repose, bien évidemment, sur l’état de la concurrence entre trois équipes informatiques privées distinctes qui, à partir d’outils informatiques aujourd’hui dépassés, lancent une pseudo « guerre » des portails de destination.
Certains mobiliseront plus de moyens que d’autres mais cela ne changera rien même si la notoriété de cette dernière initiative repose essentiellement sur l’identité de certains associés.
Est-ce suffisant pour s’extraire des lourdes évolutions technologiques dans le monde de la communication sur internet ?
il suffira d’attendre… que l’on veuille bien ouvrir les yeux sur la réalité de ce qui est mis en œuvre.
Merci Christophe DOURNAUX d’avoir entretemps ouvert la porte …, c’est rassurant.
Bien cordialement."]i
Claude MORIN
INFOTOUR® web: e.services pour les destinations touristiques
Ceci étant, cette initiative ne dérange personne car il n’y a pas matière à l’être. Le point de départ de l’affaire ALLINFRANCE repose, bien évidemment, sur l’état de la concurrence entre trois équipes informatiques privées distinctes qui, à partir d’outils informatiques aujourd’hui dépassés, lancent une pseudo « guerre » des portails de destination.
Certains mobiliseront plus de moyens que d’autres mais cela ne changera rien même si la notoriété de cette dernière initiative repose essentiellement sur l’identité de certains associés.
Est-ce suffisant pour s’extraire des lourdes évolutions technologiques dans le monde de la communication sur internet ?
il suffira d’attendre… que l’on veuille bien ouvrir les yeux sur la réalité de ce qui est mis en œuvre.
Merci Christophe DOURNAUX d’avoir entretemps ouvert la porte …, c’est rassurant.
Bien cordialement."]i
Claude MORIN
INFOTOUR® web: e.services pour les destinations touristiques