En l’absence de port disposant de quais suffisant grands pour l’accueil des grandes unités de croisière, la rade de Villefranche sur Mer, parfaitement située entre Nice et Monaco, devient un havre privilégié car bien protégé pour les plus grandes unités de croisières.
Seul bémol : la desserte à terre par navettes maritimes qui complique et réduit le séjour en escale d’une journée.
En 2013, la rade aura accueilli 440 000 passagers entre fin mars et fin octobre dont 120 000 Espagnols. Les Français, même s’ils affichent la progression la plus forte, restent minoritaires avec 25 000 croisiéristes.
On constate une évolution du comportement de ces passagers principalement étrangers dont les trois quart n’ont pas acheté d’excursion à bord ; Ils préfèrent de visiter la région en autonomie.
D’ailleurs 80 % des croisiéristes indiquent qu’ils pensent y revenir en vacances. Les responsables de la CCI, qui exploite l’accueil portuaire, ont présenté une étude sur la dépense moyenne de ces croisiéristes étrangers dont 70 % sont actifs. Les Américains et les Canadiens (52 000 croisiéristes recensés) sont les plus gros consommateurs avec une dépense de 1 068 euros, devant les Britanniques (une dépense qui va d’abord sur le shopping avant les bars et cafés).
L’Espagnol, qui dépense 63 euros, est celui qui utilise le plus les bus et le train lors de l’escale.
Mais pour les autorités maritimes, 2014 apparaît moins favorable avec seulement 300 000 passagers prévus à la suite de la défection de la compagnie MSC. Toutefois des réservations à venir pourraient limiter cette défection.
Seul bémol : la desserte à terre par navettes maritimes qui complique et réduit le séjour en escale d’une journée.
En 2013, la rade aura accueilli 440 000 passagers entre fin mars et fin octobre dont 120 000 Espagnols. Les Français, même s’ils affichent la progression la plus forte, restent minoritaires avec 25 000 croisiéristes.
On constate une évolution du comportement de ces passagers principalement étrangers dont les trois quart n’ont pas acheté d’excursion à bord ; Ils préfèrent de visiter la région en autonomie.
D’ailleurs 80 % des croisiéristes indiquent qu’ils pensent y revenir en vacances. Les responsables de la CCI, qui exploite l’accueil portuaire, ont présenté une étude sur la dépense moyenne de ces croisiéristes étrangers dont 70 % sont actifs. Les Américains et les Canadiens (52 000 croisiéristes recensés) sont les plus gros consommateurs avec une dépense de 1 068 euros, devant les Britanniques (une dépense qui va d’abord sur le shopping avant les bars et cafés).
L’Espagnol, qui dépense 63 euros, est celui qui utilise le plus les bus et le train lors de l’escale.
Mais pour les autorités maritimes, 2014 apparaît moins favorable avec seulement 300 000 passagers prévus à la suite de la défection de la compagnie MSC. Toutefois des réservations à venir pourraient limiter cette défection.